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bendav

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Toutes les questions posées par bendav

Chabbat

question urgente avant chabbat

- Vendredi 18 mai 2018 à 13h09 vu 848 fois

bonjour rav,

nous avons de gros problèmes de plomberie à la maison, peut on faire intervenir un plombier goy pendant yom tov ou chabbat ?

merci

Chalom !

 

C'est vraiment embettant de passer des jours de fête avec ces problèmes ?

Il ne peut pas venir aujourd'hui ? 

electricite porte

- Mercredi 18 octobre 2017 à 15h56 vu 960 fois

Bonjour,

je vous ai appelé ce matin pour vous poser une question au sujet des detecteurs de mouvement pour la lumière pendant chabbat, je vous avez dit que les ampoules étaient surement des néons, mais après renseignement il semblerait que ce soit des ampoules à incandescences cela change t il le psak ?

d'autre part vous m'aviez dit que ce psak n'était pas celui de rav weiss mais le votre, or j'ai lu que vous lui en aviez parlé, l'a t il approuvé ?

merci beaucoup

Chalom !

 

1- C'est plus difficile à autoriser puisque c'est Déoraita d'après tout le monde. Il en nous reste plus que le Chinouy et le Grama. 

Mais en grande nécessité c'est permis mais en faisant un bon Chinouy lorsque vous ouvrez la porte.

 

2- Non je disais que ce Psak j'y crois profondément parce que j'y suis arrivé de moi même, simplement j'ai eu l'accord oral du Rav Weiss à ce Psak. Tput comme celui des codes d'entrées où j'ai autorisé de demander à un non-juif par allusion qu'il l'ouvre. C'est mon Psak et le Rav Weiss l'a approuvé; Cf : http://www.torahacademy.fr/code-porte

 

Kol touv !

Chauffage avec thermostat

- Samedi 07 novembre 2020 à 20h02 vu 518 fois

Bonjour rav,

 

Il y a chez moi des chauffages à thermostat, c'est à dire qu'ils veillent à ce que la pièce soit toujours à une certaine température et si la température de la pièce baisse, le chauffage se met à fonctionner.

 

Dans plusieurs des pièces de la maison le chauffage se trouve proche de la fenêtre.

 

Ma question : a-t-on le droit d'ouvrir la fenêtre pour aérer la pièce pendant chabbat. Sachant que l'air froid va rentrer dans la pièce et le chauffage va augmenter.

 

Il me semble de plus que dans le chauffage ce sont des résistances donc il y a une avara.

 

J'ai réfléchi : tout d'abord on parle surement d'un grama, puisqu'il faut que l'air rentre dans la pièce, puis le chauffage détecte le froid et augmente de température. Cela prend quelques secondes et ce n'est pas la manière de faire en hol (on n'augmente pas ainsi la température du chauffage).

 

D'autre part il y a surement un psik reche, qui est delo niha lei parce que je ne suis pas intéressé par la chaleur produite par le chauffage à ce moment-là.

 

De plus, l'ouverture de la fenêtre constitue en soi un chinouy.

 

Donc psik reche delo niha lei bederabanan, qui devrait être autorisé au moins selon rav ovadia. Peut-être même selon le michna beroura, puisqu'il n'est pas très mekhoubad que la pièce ne soit pas aérée et qu'en ce moment les médecins recommandent d'aérer les pièces au maximum.

 

Est-ce vrai selon vous ?

 

Si oui, doit on faire une différence entre aérer la pièce [où la chaleur produite ne m'intéresse pas à ce moment-là] et ouvrir le balcon pour aller chercher une chose [dans ce cas-là il est possible que je sois intéressé par la chaleur qui va être produite, pour réchauffer la pièce].

 

Merci d'avance

Chalom !

 

Je suis d'accord avec votre raisonnement. Je pense que même pour chercher quelque chose sur le balcon est autorisé. Selon moi, ce n'est pas Psik Réché, puisque ce n'est pas certain que le fait que vous ayez ouvert la fenêtre va entrainer l'allumage du Chofar immédiatement. Il se peut qu'il aurait déjà dû s'allumer à ce moment de toute façon, un peu comme les décisionnaires le disent au sujet d'ouvrir un réfrigérateur Chabbat etc..

Mais si vous voulez faire Glat Cacher, ouvrez votre fenêtre à un moment oùm le chauffage est déjà en marche.

 

Béhatsla'ha !

detecteurs de mouvements grama

- Dimanche 17 mai 2020 à 21h46 vu 523 fois

Bonjour Rav, pouvez vous faire un troisième cours sur les détecteurs de mouvement dans les immeubles, pour expliquer le safek grama dont vous avez mention ? Merci d'avance

Chalom !

 

A quoi de précis faites vous allusion ? 

 

Je pense que j'ai tout dit au sujet des détecteurs de lumière. Qu'est ce que vous souhaitez que je traite de plus ?

 

Merci. 

kriat hatorah et confinement

- Dimanche 15 mars 2020 à 16h58 vu 548 fois

Bonjour Rav, Quelques questions à propos de la situation actuelle:

 

J'habite en France et jusqu'hier les synagogues étaient ouvertes et les rassemblements de moins de 100 personnes autorisés.

 

Hier (chabbat para), j'ai été à la synagogue, mais à un moment donné il y avait trop de monde (plus que 100) et tout le monde n'avait pas où s'asseoir, tout le monde n'avaient pas l'air d'être en très bonne santé (certains étaient enrhumés) je suis donc rentré chez moi sans écouter parachat para. Ai-je bien fait à votre avis ? Existe-t-il un moyen de la rattraper ?

 

D'autre part, pour la parachat hahodech, nous n'allons sûrement pas pourvoir organiser de minyan, est ce que cela va poser problème halahiquement où est ce que l'obligation ne repose que sur le tsibour. Lorsque nous pourrons reprendre le mynian va t on devoir rattraper toutes les parachiot manquées (le rama 135,2, est il en vigueur dans ce cas ?) ?

 

Merci

Chalom !

 

Il faudra lire ces Parachiot dans un 'Houmach et puis c'est tout !

 

Kol touv !

remez

- Mardi 29 octobre 2019 à 21h13 vu 661 fois

Dans votre dernière vidéo, vous avez dit qu'on a le droit de dire le code à un goy, et lui demander d'ouvrir la porte beremez. Mais le fait de dire le code au goy ne rend il pas le remez un peu trop direct comme dans la distinction que fait le michna beroura (107,76) ?

Chalom !

 

Vous vouliez dire 307 pas 107.

 

Non, rendre le Rémez direct serait lui dire "Fais le numéro 151554 et la porte s'ouvrira", c'est à dire lui donner l'ordre de faire ce que le Rémez indique.

 

Moi je dis de dire " je ne peux pas entrer tant que la porte n'est pas ouverte grâce au code 151554

 

Béhatsla'ha !

détecteur de lumières

- Mercredi 23 octobre 2019 à 15h09 vu 625 fois

Bonjour rav,

 

J'ai écouté vos chiourim sur les détecteurs de lumières.

 

J'aimerai tout d'abord vous dire merci, en étudiant ce sujet aussi profondément que vous l'avez fait vous avez sorti un heter fiable et honnête que vous avez en plus mis à notre portée.

 

Si jusqu'à présent votre magnifique projet n'était pas forcément unique en son genre (puisque bh d'autres sites existent), avec ce travail vous vous êtes fait l'une des autorités halahique indispensables à la communauté juive françaises (au moins).

 

J'ai à présent quelques questions :

 

1- Même si les ampoules sont incandescentes, puisque c'est un psik reche delo niha lé bederabanan (le fait de marcher), ca devrait être encore autorisé.

 

2- Si les ampoules sont des LEDS, et qu'on ne peut avancer sans, pourquoi n'autorise t on pas quand meme en considérant que c'est un chvout dechvout letsoreh gadol (rav ovadia autorise le chvout dechvout meme par le juif lui-même, il me semble)

 

Merci beaucoup kvod harav

Chalom !

 

En général je joue le rôle de Moré Horaa (Rav qui répond aux questions de Halakha). Mais lorsque des sujets d'une telle ampleur se soulèvent je me sens le devoir de jouer le rôle de Possek (décisionnaire). La différence entre Moré Horaa et Possek est claire et nette. Le Possek doit décider et ce n'est pas toujours facile ! Ce Psak je l'ai beaucoup beaucoup réfléchi.

 

1- Oui, mais ce n'est qu'un Dérabanan (si on accepte le fait que d'allumer en marchant c'est un Dérabanan) or, pas tous les décisionnaires autorisent lorsqu'il ne s'agit que d'un Dérabanan. Beaucoup de décisionnaires tels que le 'Hafets 'Haïm etc. tranchent que ce principe n'est valable que dans un double Dérabanan.

 

2- Chvout Déchvout est interdit par un juif. Que pour un non-juif (Choul'han Aroukh chap. 307). 

 

Kol touv !

Problèmes liés à l’électricité

electricite porte

- Mercredi 18 octobre 2017 à 15h56 vu 960 fois

Bonjour,

je vous ai appelé ce matin pour vous poser une question au sujet des detecteurs de mouvement pour la lumière pendant chabbat, je vous avez dit que les ampoules étaient surement des néons, mais après renseignement il semblerait que ce soit des ampoules à incandescences cela change t il le psak ?

d'autre part vous m'aviez dit que ce psak n'était pas celui de rav weiss mais le votre, or j'ai lu que vous lui en aviez parlé, l'a t il approuvé ?

merci beaucoup

Chalom !

 

1- C'est plus difficile à autoriser puisque c'est Déoraita d'après tout le monde. Il en nous reste plus que le Chinouy et le Grama. 

Mais en grande nécessité c'est permis mais en faisant un bon Chinouy lorsque vous ouvrez la porte.

 

2- Non je disais que ce Psak j'y crois profondément parce que j'y suis arrivé de moi même, simplement j'ai eu l'accord oral du Rav Weiss à ce Psak. Tput comme celui des codes d'entrées où j'ai autorisé de demander à un non-juif par allusion qu'il l'ouvre. C'est mon Psak et le Rav Weiss l'a approuvé; Cf : http://www.torahacademy.fr/code-porte

 

Kol touv !

Cacherout

micro onde

- Dimanche 24 mai 2020 à 21h52 vu 544 fois

Chalom Rav, je vous ai posé une question à propos de votre chiour sur le micro onde la semaine dernière, vous pouvez y répondre ? Merci beaucoup

Je ne me rappelle pas de votre question !

 

Pouvez vous svp la reposer.

 

Merci.

Fêtes juives

meguila du rav

- Dimanche 15 mars 2020 à 16h41 vu 613 fois

Bonjour rav, je vous ai déjà posé la question en commentaire de la vidéo mais je crois qu'elle est passée inaperçue, donc je me permet de la reposer: comment se fait il que lorsque vous lisez la meguila vous la réenrouler au cours de la lecture ? Je crois pas qu'il existe des avis de ce type Merci

Chalom !

 

Vous avez raison que des propos des Richonim et du Choul'han ARoukh en particulier il ressort que l'essentiel de la coutume de l'ouvrir complètement c'est au début et pas à la fin. 

 

Le seul problème est que techniquement c'est difficile d'empêcher à la Méguila de se plier sur elle même, un peu comme c'est compliqué quand on l'ouvre au début de faire en sorte que les dernières colonnes restent ouvertes, elles se ferment automatiquement. 

 

Mais effectivement, je pense que vous avez raison et qu'il faut mettre quelqu'un à côté pour empêcher qu'elle ne se plie et pouvoir ainsi la Mitsva de la façon la meilleure.

 

Je vous remercie de votre remarque très pertinente. 

 

Kol touv !

pessah

- Mardi 09 avril 2019 à 19h01 vu 689 fois

bonjour,

j'aurai voulu savoir si les gens qui mange du riz à pessah peuvent se permettre de ne pas le trier dans le cas où il est écrit sur le paquet qu'il y a déjà eu un tri au laser pour enlever les grains étrangers, sachant que je n'ai jamais trouvé dedans de grains de blé et que je vois que les poskim sont de plus en plus mekilim quant à cela.

Allez vous faire une vente de hametz pour les Français cette année ?

Si oui, quand prendra-t- elle effet et quand finira -t- elle.

Puisque il y a une différence dans les horaires entre la France et Israël, et les autres années même au niveau des jours. J'aurai été très intéressé par un chiour sur ce genre de questions et sur le processus de la vente de hametz en général d'ailleurs merci beaucoup rav, pessah cacher vessameah !

Chalom !

 

Je ne connais pas ce genre de procédés au laser.
Il faudrait savoir si ce procédé est vraiment fiable et à combien de pourcentage l'est-il ?
S'il l'est complètement c'est autorisé.

 

Dans la vente d'une façon générale il y a une clause en Israël qui rende cela valable aussi en Israël.

 

On fera la vente Béézrat Hachem cette année aussi !

 

Kol touv !

soucah

- Dimanche 20 octobre 2019 à 12h23 vu 739 fois

Bonjour rav, je me suis posé un certains nombre de question pendant les fêtes, 1. Concernant la mitsvah de manger sous la soukah le premier soir : le choulhan arouh dit que même avec un kazayt on s?acquitte de la mitsvah de manger sous la souccah. Et donc jusque hatzot, on pourrait dire la beraha sur un kazayt seulement. A. Admettons qu?on soit dans une souccah communautaire et qu?il n?y ait pas de place, ou bien que l?on ne puisse pas s?y rendre tout de suite. Peut-on quand même faire kiddouch, manger entre kazayt et kabetza en dehors de la souccah en ayant l?intention de manger un peu pus tard (avant hatzot) un kazayt pour la mitsvah ? ceci dans la mesure où quelqu?un nous rappellera de faire la mitsva. B. Si non, peut-on manger moins que kazayt en dehors de la souccah avant d?avoir manger le kazayt dans la souccah ? par exemple en faisant le kiddouch et en buvant un reviit de vin juste après pour etre considéré comme bimkom seouda (bien que la validité du reviit soit discutée) 2. Doit on faire attention à ne pas trouver de solutions (même honnêtes) pour se dispenser de souccah. Je m?explique : si je mange juste un kabetza (en admettant que je sache trouver la mesure exacte) pendant les seoudot de yom tov (hors premier soir) et chabbat, je m?acquitte de la mitsvah de seouda et je suis patour de souccah. Ou  bien si je m?empresse de manger au moment où il pleut pour ne pas avoir à le faire sous la souccah au moment ou il fera beau? . Dans la mitsva de tsitsit la guemara nous enseigne qu?il ne faut pas se rendre patour de la mitsva en arrondissant les coins de notre vêtement, mais à propos de souccah le choulhan arouh dit clairement que si on veut on ne mange que des fruits tous les sept jours et pas besoin de manger sous la souccah 3. Si ces manières de faire ne sont pas recommandables peut on au moins faire motsi sous la souccah, faire birkat et rentrer à la maison pour manger une seouda sans pain ni mezonot, puisque de toute façon on aura déjà accompli la mitsva. Merci d?avance, et désolé pour la longueur de mes questions. Hag saméah !

Bonjour rav,

 

Chalom Ouvrakha !

 

je me suis posé un certains nombre de question pendant les fêtes,

 

C'est un très bon signe !

 

1. Concernant la mitsvah de manger sous la soukah le premier soir : le choulhan arouh dit que même avec un kazayt on s'acquitte de la mitsvah de manger sous la souccah. Et donc jusque hatzot, on pourrait dire la beraha sur un kazayt seulement.

 

A. Admettons qu'on soit dans une souccah communautaire et qu'il n'y ait pas de place, ou bien que l'on ne puisse pas s'y rendre tout de suite.

 

Peut-on quand même faire kiddouch, manger entre kazayt et kabetza en dehors de la souccah en ayant l'intention de manger un peu pus tard (avant hatzot) un kazayt pour la mitsvah ?

 

ceci dans la mesure où quelqu'un nous rappellera de faire la mitsva.

 

Non ce n'est pas faisable ! En effet, le premier soir ce n'est pas simplement qu'il y a un devoir de manger un Cazaït dans la Soucca, c'est plus que cela. Le premier soir il est interdit de manger un Cazaït en dehors de la Soucca bien que les autres jours on peut manger en dehors de la Soucca jusqu'à un Cabétsa.

 

Pour bien comprendre ce que je vous ai dit, consultez le Michna Béroura (chap. 639 § 22).

Au passage les décisionnaires rapportent qu'il est important le premier soir si possible de ne pas se suffire d'un Cazaït mais plutôt de manger un peu plus qu'un Cabétsa. 

 

B. Si non, peut-on manger moins que kazayt en dehors de la souccah avant d'avoir manger le kazayt dans la souccah ? par exemple en faisant le kiddouch et en buvant un reviit de vin juste après pour etre considéré comme bimkom seouda (bien que la validité du reviit soit discutée)

 

Prenez 2 Réviit ou plus précisément un Réviit plus un Rov Réviit. Le Michna Béroura valide une telle option dans les lois du Kiddouch.

 

Cette solution est valable !

 

2. Doit on faire attention à ne pas trouver de solutions (même honnêtes) pour se dispenser de souccah.

 

Je m'explique : si je mange juste un kabetza (en admettant que je sache trouver la mesure exacte) pendant les seoudot de yom tov (hors premier soir) et chabbat, je m'acquitte de la mitsvah de seouda et je suis patour de souccah.

 

Ou bien si je m'empresse de manger au moment où il pleut pour ne pas avoir à le faire sous la souccah au moment ou il fera beau ? .

 

Dans la mitsva de tsitsit la guemara nous enseigne qu'il ne faut pas se rendre patour de la mitsva en arrondissant les coins de notre vêtement, mais à propos de souccah le choulhan arouh dit clairement que si on veut on ne mange que des fruits tous les sept jours et pas besoin de manger sous la souccah

 

Cette question m'a déjà été posée sous plusieurs formes différentes. L'une d'entre elle. Une personne était invitée le premier soir de Souccot chez ses beaux parents qui habitent dans les Chta'him (territoires occupés), où il est interdit de dormir dans la Soucca pour des raisons de sécurité.

 

La question était de savoir si elle peut accepter cette invitation sachant qu'elle ne pourra pas dormir dans la Soucca ou pas.

 

Il y aurait beaucoup de choses à dire à ce sujet, au passage la Guémara dans Ménahot que vous mentionnez fait une distinction entre les moments où D. est en colère et les autres moments etc.

 

Mais dans votre cas c'est plus simple, parce que vous parlez des autres jours que le premier soir, où il n'y a pas de véritable obligation de manger du pain dans la Soucca. 

 

Dans tous les cas il faut savoir que D. lit nos intentions et une personne qui s'empresse quand il pleut avec joie à se dispenser de la Soucca, ne sera pas digne d'éloges. Si elle mange en dehors de la Soucca parce qu'elle a faim et ne pense pas que la pluie va s'arrêter elle est tout à fait dans son droit.

 

3. Si ces manières de faire ne sont pas recommandables peut on au moins faire motsi sous la souccah, faire birkat et rentrer à la maison pour manger une seouda sans pain ni mezonot, puisque de toute façon on aura déjà accompli la mitsva.

 

Oui c'est permis ! Aucun problème !

 

Merci d'avance, et désolé pour la longueur de mes questions.

 

Avec plaisir !

 

Hag saméah !

 

Pour vous aussi rétroactivement !

vente des kelim au goy

- Mardi 31 mars 2020 à 21h56 vu 564 fois

Bonjour rav, j'ai écouté votre vidéo sur les solutions pour la tvilat kelim.

Je voudrais savoir s'il est possible de donner le keli à un des membres de la famille afin qu'il nous le redonne et qu'on ne le reçoive pas et qu'il soit ainsi efker. Ou faut il que ce soit un membre extérieur ?

Si on déclare devant trois personnes qu'on a donné le keli: ces personnes doivent elles être des hommes ?

Peuvent elles etre des "krovim" entre elles, ou krovim du donneur/receveur ?

Si la personne a qui l'on donne se trouve devant nous et qu'elle fait un maassei kinyan il n'y pas besoin de déclarer le don devant trois personnes, n'est ce pas ? Merci beaucoup

Bonjour rav,

 

Chalom Ouvrakha !

 

j'ai écouté votre vidéo sur les solutions pour la tvilat kelim.

Je voudrais savoir s'il est possible de donner le keli à un des membres de la famille afin qu'il nous le redonne et qu'on ne le reçoive pas et qu'il soit ainsi efker. Ou faut il que ce soit un membre extérieur ?

 

Il existe à ce sujet plusieurs opinions entre les Richonim au début des lois de Erouvin, cf. Choul'han Aroukh chap. 366. Le Choul'han Aroukh conclut qu'il vaut mieux dans la mesure du possible, donner à une personne extérieure. 

 

Si possible demandez à un voisin, sinon vous pouvez vous reposer sur l'opinion autorisant à votre femme de le faire !

 

Si on déclare devant trois personnes qu'on a donné le keli: ces personnes doivent elles être des hommes ?

Peuvent elles etre des "krovim" entre elles, ou krovim du donneur/receveur ?

Pas forcément des hommes. 

Concernant les proches parents : Le Maharit (tome 1 chap. 85) tranche qu'on peut faire devant eux.

Toutefois le Kaf Ha'haïm chap. 246 tranche qu'il faut que ce soit fait devant au moins deux personnes pas proches et si le troisième est proche pas de problème !

 

Si la personne a qui l'on donne se trouve devant nous et qu'elle fait un maassei kinyan il n'y pas besoin de déclarer le don devant trois personnes, n'est ce pas ?

 

Exactement, mais elle devra faire le Hefker devant 3 personnes. 

 

Merci beaucoup

 

Avec plaisir !

pourim

- Mardi 20 février 2018 à 18h57 vu 1001 fois

Bonjour rav, J?ai plusieurs questions sur pourim à vous poser: À propos de ad delo yada, en général on boit pendant le michté, mais chez moi on commence le michhte un peu avant la chkia et on termine une fois la nuit tombée. Il est alors possible que l'effet de l'alcool ne survienne que pendant la nuit. Est ce qu'à ce sujet également on dit que l'on va selon le commencement, c'est à dire si l'on commence à boire selon la chkia on est quitte ? Faut-il dans ce cas boire tous les verres avant la chkia ? D'autant plus si on fait la mitsvah comme le rama qui, lui, préconise de dormir, cela se passera une fois, la nuit tombée? . D?autre part j?aurai voulu savoir comment se fait il que beaucoup de posskim arrive si facilement à ne pas trancher comme maran pour cette mitsvah qui lui semble dire qu?il faille réellement se saouler à pourim, est ce seulement à cause du hachach que les gens ne se contrôlent pas ? Enfin j?aurai voulu savoir si lorsqu?on rattrape des mots de la meguila que l?on a raté il est nécessaire de s?entendre au risque de déranger les autres ? Que faire bediavad si on ne s?est pas entendu mais qu?on a bien prononcé les mots. Merci rav pourim sameah


Chalom et Pourim Saméah',

 

1- Bien que concernant certains dinims on considère que tout le repas est "rattaché" à son début, il est difficile, semble t-il, de raisonner identiquement pour la mitsva de boire. Surtout, comme vous le suggérez, si l'on considère l'essentiel comme étant l'effet de la boisson et non son ingurgitation. Ceci étant, dans la mesure où beaucoup se suffisent de boire davantage que d'habitude, sans se souler, il suffira de boire un peu plus que d'habitude avant la chkia pour éviter le problème. Restera néanmoins le problème d'avoir fait la majorité de la séouda durant la nuit, ce que décommande le Rama (siman 695/2) 

2- Le Beth Yossef ayant ramené des maitres, comme le orh'ot h'ayim, qui n'encouragent pas du tout à se souler, il est difficile de savoir pourquoi dans son Choulkhan Aroukh Rabbi Y. Karo ne nuance pas son énoncé. Le Aroukh Hachoulkhan, par exemple, dit que cette contradiction mérite Iyoun. En y ajoutant que beaucoup de Richonim et Ah'aronims (méiri, h'ayé adam, etc.)  vont dans le sens du "boire plus qu'à l'accoutumé", on comprend que beaucoup de rabbanims restent prudent en la matière. En réalité, chacun se connaît  et doit savoir s'il peut se permettre de boire sans trop de risques.

3-  On considère généralement pour l'ensemble des textes à réciter que celui qui n'a pas entendu ce qu'il a dit est tout de même quitte, contrairement à l'opinion de Rabbi Yossi dans la guémara. Toutefois, le Beth Yossef émet la possibilité d'une exception concernant la méguila, ce qui expliquerait pourquoi le sourd ne rend pas quitte autres. Ce serait dû à l'exigence du pirssoumé nissa. Au final, contenu qu'il s'agit d'une makhloket entre les décisionnaires et que l'opinion du C.A. elle même n'est pas interprétée par tous identiquement, il semble que l'on soit quitte dans ce cas de figure, surtout si c'est le bruit qui n'a pas permis de s'écouter et non la faiblesse de la voix.

kol touv.        

université hol amoed

- Mardi 20 mars 2018 à 23h04 vu 707 fois

Bonjour,

j'ai plusieurs questions à propos de hol amoed

Est il permis de travailler les cours de la fac et aller en cours lorsque il y a urgence ou bien que l'on risque de prendre du retard ce qui peut être angoissant.

Egalement peut on aller en cours et prendre des notes (papier ou ordinateur), surtout si l'absence risque d'être notée Egalement puis je accepter un rdv avec le directeur d'une école pour m'entretenir avec lui, est ce que cela s'appel un travail ? Merci

Bonjour,

 

Chalom !

 

j'ai plusieurs questions à propos de hol amoed

Est il permis de travailler les cours de la fac et aller en cours lorsque il y a urgence ou bien que l'on risque de prendre du retard ce qui peut être angoissant.

 

S'il y a urgence, c'est permis, écrivez avec un Chinouy.

 

Egalement peut on aller en cours et prendre des notes (papier ou ordinateur), surtout si l'absence risque d'être notée

 

Oui. Vraiment si c'est urgent !

 

Egalement puis je accepter un rdv avec le directeur d'une école pour m'entretenir avec lui, est ce que cela s'appel un travail ?

 

Il vaut mieux plus tard s'il n'y a pas de raison. Mais en soi un rendez vous ce n'est pas un travail.

 

Merci

vente de hametz

- Mercredi 21 mars 2018 à 00h40 vu 781 fois

bonjour, a propos de la vente de hametz j'ai plusieurs questions: 1. Vendez vous la vaisselle, si non vendez vous le hametz qui s'y trouve ? Seulement la mamachout ou également le baloua ? 2. Peut on passer occasionnellement dans les pieces vendues au goy (pour y récupérer quelque chose par exemple) 3. A quelle prix est vendue le hametz est ce la valeur du marché en general ? 4. peux on par exemple vendre des paquets de pate entamés ou ce sont des choses que le goy n'achete pas ? 5. peut on mettre plusieurs adresse (par exemple l'adresse de la maison et celle du burreau) dans un seul acte ou vaut il mieux faire deux actes differents ? merci et desole de vous posez autant de questions

bonjour,

 

Chalom Ouvrakha !

 

a propos de la vente de hametz j'ai plusieurs questions :

 

1. Vendez vous la vaisselle, si non vendez vous le hametz qui s'y trouve ? Seulement la mamachout ou également le baloua ?

 

Uniquement le 'Hamets qui se trouve dans les ustensiles et Baloua. 

 

2. Peut on passer occasionnellement dans les pieces vendues au goy (pour y récupérer quelque chose par exemple)

 

Dans certains actes il est écrit explicitement ainsi que le demande le Rav Sternbukh qu'on se laisse la possibilité d'y rentrer très occasionnellement. 

 

3. A quelle prix est vendue le hametz est ce la valeur du marché en general ?

 

Ca dépend, souvent moins ! Mais en tout état de cause le Goy ne paie jamais toute la somme, il donne une avance et ensuite s'il souhaite prendre le 'Hamets on fait le calcul avec lui.

 

4. peux on par exemple vendre des paquets de pate entamés ou ce sont des choses que le goy n'achete pas ?

 

Il achète cela car c'est inclus avec tant d'autres choses qu'il achète et qui a une importance pour lui. Dites moi vous pensez qu'il est intéressé à ce qui est Baloua dans les parois d'un ustensile ?

 

5. peut on mettre plusieurs adresse (par exemple l'adresse de la maison et celle du burreau) dans un seul acte ou vaut il mieux faire deux actes differents ?

 

Demandez au Rav qui s'occupe de votre acte de vente, de quelle façon ça fonctionne chez lui. 

 

Pour notre part vous pouvez vendre sur le site et mettez les deux adresses et on les mettra dans deux actes différents.

 

merci et desole de vous posez autant de questions

 

Pessa'h cacher Vésaméa'h !

 

hametz cheavar alav pessah

- Mardi 24 avril 2018 à 18h21 vu 719 fois

Bonjour rav,

j'ai acheté par erreur des légumes en conserve dans une enseigne où il est interdit d'acheter après pessah.

Sachant que le dirigeant de toute cette chaine de magasin est surement juif (et il n'a surement pas fait de vente de hametz)

Est il quand meme possible de profiter de ces legumes, sachant que finalement c'est une safek sur une taarovet hametz et qu'on ne sait meme pas quand ce produit a été fabriqué (avant ou apres pessah) et que les responsables du magasin en question sont surement goym... il n'ezt pas possible de rendre ces produits

Merci rav

Chalom !

 

Aucun problème !

 

Kol touv !

soukah korona

- Mardi 29 septembre 2020 à 20h29 vu 483 fois

Chalom harav je voulais vous poser la question concernant la yechiva basoukah en temps de korona comment faire si nous craignons que les mesures sanitaires ne soient pas respectées sous la soukah communautaire ? En ademettant qu'il faut essayer de se forcer à manger un kazayt le premier soir ? Est ce la meme chose 2ieme soir en houl ? Doit on manger avec brakha ? Selon rav ovadia qui tient le din de mitstaer meme le premier soir, il y aurait besoin de se forcer ? Peut on quand meme manger du pain en dehors de la soukkah et faire toutes les autres seoudot de yom tov avec du pain ? merci chana tova

Chalom !

 

Excellente question !

 

J'ai fait un cours pour vous à ce sujet

 

http://www.torahacademy.fr/souccot-en-temps-de-coronavirus

 

Béhatsla'ha !!

 

H'ol hamoèd

université hol amoed

- Mardi 20 mars 2018 à 23h04 vu 707 fois

Bonjour,

j'ai plusieurs questions à propos de hol amoed

Est il permis de travailler les cours de la fac et aller en cours lorsque il y a urgence ou bien que l'on risque de prendre du retard ce qui peut être angoissant.

Egalement peut on aller en cours et prendre des notes (papier ou ordinateur), surtout si l'absence risque d'être notée Egalement puis je accepter un rdv avec le directeur d'une école pour m'entretenir avec lui, est ce que cela s'appel un travail ? Merci

Bonjour,

 

Chalom !

 

j'ai plusieurs questions à propos de hol amoed

Est il permis de travailler les cours de la fac et aller en cours lorsque il y a urgence ou bien que l'on risque de prendre du retard ce qui peut être angoissant.

 

S'il y a urgence, c'est permis, écrivez avec un Chinouy.

 

Egalement peut on aller en cours et prendre des notes (papier ou ordinateur), surtout si l'absence risque d'être notée

 

Oui. Vraiment si c'est urgent !

 

Egalement puis je accepter un rdv avec le directeur d'une école pour m'entretenir avec lui, est ce que cela s'appel un travail ?

 

Il vaut mieux plus tard s'il n'y a pas de raison. Mais en soi un rendez vous ce n'est pas un travail.

 

Merci

Soukkot

soukah korona

- Mardi 29 septembre 2020 à 20h29 vu 483 fois

Chalom harav je voulais vous poser la question concernant la yechiva basoukah en temps de korona comment faire si nous craignons que les mesures sanitaires ne soient pas respectées sous la soukah communautaire ? En ademettant qu'il faut essayer de se forcer à manger un kazayt le premier soir ? Est ce la meme chose 2ieme soir en houl ? Doit on manger avec brakha ? Selon rav ovadia qui tient le din de mitstaer meme le premier soir, il y aurait besoin de se forcer ? Peut on quand meme manger du pain en dehors de la soukkah et faire toutes les autres seoudot de yom tov avec du pain ? merci chana tova

Chalom !

 

Excellente question !

 

J'ai fait un cours pour vous à ce sujet

 

http://www.torahacademy.fr/souccot-en-temps-de-coronavirus

 

Béhatsla'ha !!

 

Pessah'

vente des kelim au goy

- Mardi 31 mars 2020 à 21h56 vu 564 fois

Bonjour rav, j'ai écouté votre vidéo sur les solutions pour la tvilat kelim.

Je voudrais savoir s'il est possible de donner le keli à un des membres de la famille afin qu'il nous le redonne et qu'on ne le reçoive pas et qu'il soit ainsi efker. Ou faut il que ce soit un membre extérieur ?

Si on déclare devant trois personnes qu'on a donné le keli: ces personnes doivent elles être des hommes ?

Peuvent elles etre des "krovim" entre elles, ou krovim du donneur/receveur ?

Si la personne a qui l'on donne se trouve devant nous et qu'elle fait un maassei kinyan il n'y pas besoin de déclarer le don devant trois personnes, n'est ce pas ? Merci beaucoup

Bonjour rav,

 

Chalom Ouvrakha !

 

j'ai écouté votre vidéo sur les solutions pour la tvilat kelim.

Je voudrais savoir s'il est possible de donner le keli à un des membres de la famille afin qu'il nous le redonne et qu'on ne le reçoive pas et qu'il soit ainsi efker. Ou faut il que ce soit un membre extérieur ?

 

Il existe à ce sujet plusieurs opinions entre les Richonim au début des lois de Erouvin, cf. Choul'han Aroukh chap. 366. Le Choul'han Aroukh conclut qu'il vaut mieux dans la mesure du possible, donner à une personne extérieure. 

 

Si possible demandez à un voisin, sinon vous pouvez vous reposer sur l'opinion autorisant à votre femme de le faire !

 

Si on déclare devant trois personnes qu'on a donné le keli: ces personnes doivent elles être des hommes ?

Peuvent elles etre des "krovim" entre elles, ou krovim du donneur/receveur ?

Pas forcément des hommes. 

Concernant les proches parents : Le Maharit (tome 1 chap. 85) tranche qu'on peut faire devant eux.

Toutefois le Kaf Ha'haïm chap. 246 tranche qu'il faut que ce soit fait devant au moins deux personnes pas proches et si le troisième est proche pas de problème !

 

Si la personne a qui l'on donne se trouve devant nous et qu'elle fait un maassei kinyan il n'y pas besoin de déclarer le don devant trois personnes, n'est ce pas ?

 

Exactement, mais elle devra faire le Hefker devant 3 personnes. 

 

Merci beaucoup

 

Avec plaisir !

pessah

- Mardi 09 avril 2019 à 19h01 vu 689 fois

bonjour,

j'aurai voulu savoir si les gens qui mange du riz à pessah peuvent se permettre de ne pas le trier dans le cas où il est écrit sur le paquet qu'il y a déjà eu un tri au laser pour enlever les grains étrangers, sachant que je n'ai jamais trouvé dedans de grains de blé et que je vois que les poskim sont de plus en plus mekilim quant à cela.

Allez vous faire une vente de hametz pour les Français cette année ?

Si oui, quand prendra-t- elle effet et quand finira -t- elle.

Puisque il y a une différence dans les horaires entre la France et Israël, et les autres années même au niveau des jours. J'aurai été très intéressé par un chiour sur ce genre de questions et sur le processus de la vente de hametz en général d'ailleurs merci beaucoup rav, pessah cacher vessameah !

Chalom !

 

Je ne connais pas ce genre de procédés au laser.
Il faudrait savoir si ce procédé est vraiment fiable et à combien de pourcentage l'est-il ?
S'il l'est complètement c'est autorisé.

 

Dans la vente d'une façon générale il y a une clause en Israël qui rende cela valable aussi en Israël.

 

On fera la vente Béézrat Hachem cette année aussi !

 

Kol touv !

vente de hametz

- Mercredi 21 mars 2018 à 00h40 vu 781 fois

bonjour, a propos de la vente de hametz j'ai plusieurs questions: 1. Vendez vous la vaisselle, si non vendez vous le hametz qui s'y trouve ? Seulement la mamachout ou également le baloua ? 2. Peut on passer occasionnellement dans les pieces vendues au goy (pour y récupérer quelque chose par exemple) 3. A quelle prix est vendue le hametz est ce la valeur du marché en general ? 4. peux on par exemple vendre des paquets de pate entamés ou ce sont des choses que le goy n'achete pas ? 5. peut on mettre plusieurs adresse (par exemple l'adresse de la maison et celle du burreau) dans un seul acte ou vaut il mieux faire deux actes differents ? merci et desole de vous posez autant de questions

bonjour,

 

Chalom Ouvrakha !

 

a propos de la vente de hametz j'ai plusieurs questions :

 

1. Vendez vous la vaisselle, si non vendez vous le hametz qui s'y trouve ? Seulement la mamachout ou également le baloua ?

 

Uniquement le 'Hamets qui se trouve dans les ustensiles et Baloua. 

 

2. Peut on passer occasionnellement dans les pieces vendues au goy (pour y récupérer quelque chose par exemple)

 

Dans certains actes il est écrit explicitement ainsi que le demande le Rav Sternbukh qu'on se laisse la possibilité d'y rentrer très occasionnellement. 

 

3. A quelle prix est vendue le hametz est ce la valeur du marché en general ?

 

Ca dépend, souvent moins ! Mais en tout état de cause le Goy ne paie jamais toute la somme, il donne une avance et ensuite s'il souhaite prendre le 'Hamets on fait le calcul avec lui.

 

4. peux on par exemple vendre des paquets de pate entamés ou ce sont des choses que le goy n'achete pas ?

 

Il achète cela car c'est inclus avec tant d'autres choses qu'il achète et qui a une importance pour lui. Dites moi vous pensez qu'il est intéressé à ce qui est Baloua dans les parois d'un ustensile ?

 

5. peut on mettre plusieurs adresse (par exemple l'adresse de la maison et celle du burreau) dans un seul acte ou vaut il mieux faire deux actes differents ?

 

Demandez au Rav qui s'occupe de votre acte de vente, de quelle façon ça fonctionne chez lui. 

 

Pour notre part vous pouvez vendre sur le site et mettez les deux adresses et on les mettra dans deux actes différents.

 

merci et desole de vous posez autant de questions

 

Pessa'h cacher Vésaméa'h !

 

Pourim

(Réponse) Pourim

- Dimanche 11 mars 2018 à 16h19 vu 450 fois

Merci beaucoup de vos réponses aussi détaillées.

 

Est ce que je pourrais avoir pour le troisième point quelques mekorot à étudier s'il vous plait ?

Chalom,

 

Le sujet est lié à la lecture de la Méguila par le sourd. Voir Méguila 19b où la guémara fait un lien entre la discussion à propos du Chéma. Donc voir aussi Brakhot 15b.

 

Voir aussi Beth Yossef 689 au sujet du sourd, qui s'étonne de la différence entre le chéma et la méguila et qui émet l'hypothèse du pirssoumé nissa.

 

Voir aussi les commentaires classiques du Choukhan Aroukh (même Siman) qui ne sont pas tous d'accord.

 

Si vous avez besoin de références plus précises, dites-moi.

 

Amicalement.  

 

meguila du rav

- Dimanche 15 mars 2020 à 16h41 vu 613 fois

Bonjour rav, je vous ai déjà posé la question en commentaire de la vidéo mais je crois qu'elle est passée inaperçue, donc je me permet de la reposer: comment se fait il que lorsque vous lisez la meguila vous la réenrouler au cours de la lecture ? Je crois pas qu'il existe des avis de ce type Merci

Chalom !

 

Vous avez raison que des propos des Richonim et du Choul'han ARoukh en particulier il ressort que l'essentiel de la coutume de l'ouvrir complètement c'est au début et pas à la fin. 

 

Le seul problème est que techniquement c'est difficile d'empêcher à la Méguila de se plier sur elle même, un peu comme c'est compliqué quand on l'ouvre au début de faire en sorte que les dernières colonnes restent ouvertes, elles se ferment automatiquement. 

 

Mais effectivement, je pense que vous avez raison et qu'il faut mettre quelqu'un à côté pour empêcher qu'elle ne se plie et pouvoir ainsi la Mitsva de la façon la meilleure.

 

Je vous remercie de votre remarque très pertinente. 

 

Kol touv !

Rituel de la prière

alcool avant la tefila

- Mercredi 30 octobre 2019 à 19h24 vu 702 fois

Bonjour rav si je veux m'attabler quelques temps avant l'heure de la tefilah en nommant un chomer, ai-je le droit de boire plus d'un reviit de vin ou d'alcool, dans la mesure ou le vin qui est dans la seouda ne saoul pas ? j'ai vu dans les écrits de rav ovadia yossef qu'un cohen qui voudrait faire kiddouch avant moussaf et n'aurait pas de biscuits pour faire une seouda bimkom kiddouch devrait plutot manger sans kiddouch et s'appuyer le sfek sfeka, et non boire un reviit de vin. Mais je m'étonne, le choulhan arouh (473,3) semble trancher que l'alcool qu'on boit dans un repas (et meikar hadin, meme avant, (michna beroura 473,15)) ne saoul pas.

Chalom !

 

Je comprend votre question.

Ecoutez, une personne ayant bu un Réviit de vin n'a pas le droit de prier. Ceci est explicite dans les propos des décisionnaires (cf. Choul'han Aroukh chap. 99). Les décisionnaires ne font pas de différence entre le cas où ona  bu pendant un repas ou après.

 

Au sujet du Birkat Hamazon par exemple les décisionnaires précisent qu'il est autorisé de le réciter alors qu'on est un peu ivre. Ceci est déduit du terme du verset "Tu mangera, tu sera rassasié et tu bénira", or, lorsqu'on a bien mangé bu et que l'on est rassasié, on est aussi généralement un peu ivre, et pourtant la Torah donne l'ordre de bénir le Birkat Hamazon.

 

La différence fondamentale entre la Téfila et le Birkat c'est que lors de la Téfila nous avons le devoir de nous tenir devant D. dans la même posture que l'on se tient devant un roi.

 

Pour en revenir à votre problème, lorsque le Choul'han Aroukh recommande de ne pas boire trop de vin le soir du séder de Pessa'h, ce n'est pas parce que le Séder c'est comme la Amida où on doit se tenir comme devant un roi. C'est uniquement de sorte à ce que la personne soit consciente et présente lors du séder. 

 

Dès lors, on recommande si une personne a besoin de boire qu'elle boive au moment du repas et pas avant etc. de sorte à ne pas être trop ivre, parce qu'effectivement il y a des moments où le vin a plus d'effet qu'à d'autres moments.

 

Ceci me semble être très clair !

 

Béhatsla'ha !

Deuil

Ner nechama

- Dimanche 09 mai 2021 à 12h07 vu 421 fois

Bonjour Rav, je transmet une question de mon père : il y a une vingtaine d'année j'ai payé un ner nechama pour mon père dans une synagogue que je ne fréquente plus depuis bien longtemps (elle ne se trouve pas dans ma ville)

 

Du coup il y a un ou deux ans, j'ai payé un autre ner dans une synagogue que je fréquente. Sachant que ce sont des souscriptions à l'année.

 

Est ce que j'ai le droit d'arrêter la souscription de la première synagogue (que je ne fréquente plus) ou non ? Si non puis je arrêter la deuxième ?

 

La messirat modaa que je fais chaque année à kippour peut elle servir à quelque chose dans ce cas ? J

 

e précise que ce sont des synagogues et non batei midrachot, on y étudie un peu, mais ca fonctionne surtout autour des tefilot...

 

De plus, il y a toujours de la lumière sans ces nerot, elles sont vraiment là symboliquement j'ai l'impression

 

Merci

Chalom !

 

Mais il y a 20 ans quand vous avez payé ce Ner Néchama c'était à vie ? Ou juste pour un an ou quoi ?

 

Expliquez moi un peu plues les détails de ces engagements que je puisse vous aider !

 

Merci !

Tsédaka et Maasser

tsedaka à une association "douteuse"

- Lundi 15 février 2021 à 12h22 vu 420 fois

Bonjour Rav, je vous transmet une question :

 

"Bonjour rav, Il y a quelques temps j'ai fait un neder que si je réussissais un examen important je donnerais 100euros au vaad Rabbanim. Hors, on m'a dit après que cette association n'était pas fiable.

 

Qu'en pensez-vous ? Dois-je toujours donner cette somme ou privilégier d'autres asociatons, indigents, ou avrehim ? J'ai pensé à cette association car elle diffuse le fait que les gens qui s'y engageaient voyait leur requête exaucé.

 

Merci beaucoup Rav

Chalom !

 

Ne croyez pas ce que les gens disent !

 

Vaad Harabanim Léinyané Tsédaka est une institution très sérieuse !!

 

De plus vous voyez que vous avez réussi votre examen !!

 

Béhatsla'ha !

Maasser sur héritage

- Lundi 19 octobre 2020 à 10h18 vu 657 fois

Bonjour,

 

Mes parents vont toucher une somme d'argent suite à la vente d'un appartement reçu en héritage.

 

Ils se demandent s'ils doivent donner le maasser sur cette somme. Sachant qu'ils ont prévu d'utiliser cet argent pour payer nos mariage (à nous leurs enfants).

 

Je me disait que le fait même de payer les mariages est déjà un hessed, pour lequel on peut employer le maasser.

 

Merci d'avance

Chalom !

 

Si ils avaient reçu un appartement en héritage, ils n'auraient pas eu besoin d'en prélever le Maasser. Cet argent si je comprend bien est l'argent obtenu après avoir vendu cet appartement. 

 

Vous n'avez donc plus besoin de prélever le Maasser de cette somme.

 

Béhatsla'ha !

Comportement

Hanhaga : Mon Rav est trop strict !?

- Dimanche 20 octobre 2019 à 12h51 vu 659 fois

Bonjour rav, je me suis fixé de suivre un rav dans la halakha, que je m'efforce de suivre autant que possible. Mais il arrive parfois qu'il soit mahmir negued le rov haposkim et c'est parfois difficile pour moi de me conformer à cet avis. Ai je le droit dans ce genre de cas de ne pas suivre ce rav est de me conformer à l'avis du rov haposskim ?

Merci beaucoup

Chalom !

 

Vous avez le droit de suivre l'opinion que vous souhaitez dès lors que c'est une opinion retenue par les grands décisionnaires.

Par contre, si vous avez pris sur vous en tant que voeu de suivre tel Rav, il faudra faire une Hatarat Nédarim.

 

Kol touv !

Autre

Sidourim en ma possession - hachavat aveida

- Jeudi 19 novembre 2020 à 15h06 vu 444 fois

Bonjour Rav,

 

J'ai deux questions sur achavat aveida

 

1/ Il y avait dans une université un petit local pour étudiants juifs (également pour non juif officiellement, mais en réalité il n'avait que des juifs).

 

Dans ce local il y avait des talitot, des sidourim et autres livres à disposition de chacun.

 

Un jour l'université a décidé de fermer ce local.

 

Quelques jeunes ont vidé tous les objets Kodech de ce local et les ont rapportés chez eux.

Aujourd'hui une partie de ces objets sont chez moi, depuis plusieurs années.

Je n'ai jamais vraiment su s'il m'était permis de les utiliser. Ce sont des livres qui ont parfois été offert leylouy nichmat de quelqu'un, dans d'autres il y a des noms inscrits.

Evidemment je ne connais pas ces personnes et jamais personne n'est venu me les réclamer. En fait s'ils n'étaient pas sortis du local ils auraient surement été dans les mains des goym. Que puis je faire de ces livres, on m'a dit de les donner à une autre institution pour les étudiants de la ville en question. Mais la réalité c'est que c'est un peu compliqué pour moi de les transporter jusque-là bas?.

 

2/ J'étais une fois en vacances, et je priais dans un Minyan organisé dans un hôtel. Un ami m'avait prêté un siddour et est parti sans que j'ai eu le temps de lui rendre. J'ai ramené le livre à Paris pour le lui rendre quand je le verrai. Mais une fois à Paris, il m'a dit que ce n'était pas lui mais au gens du minyan de là-bas.

 

Que faire avec ce siddour qui est également chez moi depuis des années ?

Merci rav

Chalom !

 

1- Méikar Hadin vous pouvez vous en servir pour vous même si vous le souhaitez ! En effet, si vous ne les aviez pas récupéré ils auraient été jetés. 

De plus, la volonté de ceux qui les ont offerts est que l'on s'en serve donc si vous vous en servez c'est très bien.

 

Si vous pouvez à l'aide des noms et prénoms et téléphones inscrits en première page retrouver les propriétaires et leur demander ce qu'ils souhaitent en faire c'est recommandable mais pas obligatoire.

 

Si vous voulez les mettre à disposition d'une maison d'étude c'est très bien aussi peut être encore mieux, mais si c'est trop loin pour vous, attendez la prochaine occasion que vous aurez de vous rendre à un tel endroit et mettez les !

 

Pour ma part j'aurai quand même laissé mon téléphone au secrétariat de l'université en disant que si le propriétaire se déclare, qu'il peut me téléphone rà tel numéro !

 

2- Ca veut dire quoi "aux gens du Mynian de là bas" ? Aux organisateurs du séjour ? Si oui, c'est très facile, vous téléphonez au responsable de ce séjour et l'informez que ce livre se trouve chez vous !

 

Béhatsla'ha !

L'étude d'aujourd'hui est dédiée à la réfoua chélema de Rabbi Avraham Moréno Albert Ben Rivka. 

Merci de prier pour lui !!