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Chalom Ouvrah'a!

Non ce n'est pas la peine, vu qu'une vaisselle appartenant à un non juif ne doit pas être trempé même s'il la prête à un juif.

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Un cours sur mesure vous attend sur le site: http://www.torahacademy.fr/tremper-bocal-cafe

Kol touv!

Chalom!

Donnez moi plus de précisions.

A quelle heure vous devez partir de chez vous au plus tard?

A quelle heure vous serez en France? Où allez vous séjourner? etc.

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Non, il n'y a aucun problème.

Veillez juste à ce qu'elles soient en bon état et qu'il n'y ait pas de Tolaïm (petites bestioles) qui se sont introduites dans celles ci, ce qui peut arriver quelques fois sur une tellement longue période bien que le paquet soit encore fermé.

Pessah' Cacher Vésaméah'!

Chalom!

Le principe est le suivant:

L'interdiction de consommer un aliment H'amets ayant appartenu à un juif durant Pessah' est d'ordre Rabbinique.

Or, lorsqu'on a un doute portant sur un interdit d'ordre Rabbinqiue, la Halah'a stipule qu'on peut se montrer indulgent.

Toutefois s'il s'agit d'un doute qui n'en est pas un, parce que vous êtes quasiment certaine que cette bouteille h'a pas été vendue, il ressort des propos du Choulh'an Arouh' au chapitre 449 qu'il faut être rigoureux et l'interdire.

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

D'une façon générale il existe une interdiction de moudre pendant Yom Tov!

Ceci étant les lois sont différentes de celles de Chabbat. Vous les trouverez contenues au chapitre 404.

Au sujet de couper les légumes très fins pour en faire une salade alors que Chabbat c'est un problème à moins qu'on ne le fasse juste avant le repas (et qu'on les coupent en plus grosse dimension que d'accoutumée d'après le H'afets H'aïm), au sujet de Yom Tov ce n'est pas la peine. (Michna Béroura paragraphe 19).

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Veuillez lire la réponse dans le résumé suivant: http://www.torahacademy.fr/lois-en-vigueur-lorsque-le-9-av-tombe-un-chabbat

Un cours vidéo plus complet et expliqué sera mis en ligne ce Dimanche Béézrat Hachem!

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Il est possible d'écouter de la musique jusqu'à la fin de la fête de Pessah' et ensuite, ceci devient interdit jusqu'à Lag Baomèr.

Kol touv.

Chalom Ouvrah'a!

Concernant votre première question, elle m'a justement été posée ce soir par une élève au moment où on parlait des lois de l'allumage des Nérot de Yom Tov. Je lui ai dit que je me souviens avoir vu un Décisionnaire qui parlait de cela, mais que je ne me souviens plus de ce qu'il écrivait. 

En rentrant à la maison j'ai été surpris de voir que vous aussi l'avez posée. J'ai donc vérifié dans les sources. 

Le Chout Az Nidbérou (Tome 3 chapitre 5) écrit effectivement qu'une femme qui n'aurait pas allumé les bougies pendant Chabbat et qui doit en allumer une supplémentaire en rattrapage pendant toute la vie, doit aussi le faire concernant les bougies de Yom tov.

Concernant votre seconde question, les lois des invités sont similaires à celles du Chabbat, je vous invite à vous y référer. http://www.torahacademy.fr/allumage-des-nerot-lorsqu-on-est-invite

Je tiens à préciser que même les personnes qui ont la coutume de réciter la bénédiction après avoir allumé les bougies le Chabbat, concernant les jours de Yom tov, de nombreux grands Décisionnaires écrivent qu'il faut allumer après avoir récité la bénédiction.

Kol touv.

Chalom Ouvrah'a!

Concernant le fait de s'associer à des fiançailles pendant la période de deuil, c'est autorisé d'après certains Décisionnaires et en particulier d'origine Séfarades, mais dans la mesure où il n'y a pas de musique.

Si on souhaite rentrer dans la salle juste pour venir dire Mazal tov c'est clair qu'il n'y a pas de problème même si pendant ces deux minutes il ny a un peu de musique. A la personne endeuillée de se dire qu'elle ne souhaite pas profiter de cette musique.

Concernant le repas du mariage,  c'est interdit de s'y associer même s'il n'y a pas de musique. Seul aux très très proches parents tels que le père, la mère, le frère, la sœur, et les grands parents ont le droit de s'y associer. Les autres proches n'ont pas le droit.

Concernant le fait d'être présent pendant la Houppa c'est déjà un peu plus simple et on peut autoriser de s'y associer si on se trouve bien à l'écart (en dehors de la salle ou de la synagogue) et en particulier si celle ci a lieu en dehors de la salle de réception.

Si vous savez pertinemment que votre absence va vraiment peiner la Kalla de façon énorme, il y a lieu de réfléchir dans quelle condition on pourra autoriser, mais d'une façon générale c'est interdit.

Kol touv et Béssorot tovot!

Chalom

Comme tous travaux interdits pendant la Chémita, au jour d'aujourd'hui l'interdiction commence à partir de Roch Hachana à venir, pas un jour avant!

Uniquement concernant le fait de planter un arbre ou de le replanter il existe une interdiction depuis un mois et demie avant dans certains cas ou moins dans d'autres cas.

חרישה c'est labourer.

Kol touv! 

Chalom!

Tous les décisionnaires rapportent cette coutume. Vous pouvez la lire par exemple dans le H'azon Ovadia sur les lois du Prouzboul.

D'ailleurs dans de nombreux actes de Prouzboul, y compris celui qui a été mis en ligne, cette phrase figure.

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Oui, les Décisionnaires (Rav Nissim Karlits Chlita et autres) écrivent explicitement que c'est autorisé d'après les opinions qui autorisent à se servir de l'argent du Massèr pour l'accomplissement de Mitsvots cf http://www.torahacademy.fr/maasser-et-mitsvots.

Il s'agit là indéniablement de l'accomplissement d'une Mitsva de financer la diffusion de la Torah, par l'intermédiaire de cours de Torah. D'après certains c'est dans tous les cas autorisé puisque nous sommes tous des pauvres au sujet de la Torah, or le Maassèr a été institué pour faire profiter les pauvres, et nous sommes pauvres vu que nous sommes en manque de Torah. Ce manque vient être comblé par des cours de Torah.

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Les décisionnaires qui traitent des lois de Nétilat Yadaïm au chapitre 161 écrivent que seul un vernis qui tient bien et qui est impeccable n'est pas considéré comme étant problématique, par contre s'il s'est écaillé et qu'il dérange déjà à l'état dans lequel il se trouve, c'est un problème.

Kol touv!

Chalom ouvrah'a!

Du point de vue de la H'ouppa en elle même il n'est pas sensé être interdit de le faire du fait qu'il s'agit de l'accomplissement d'une Mitsva très importante etc.

Toutefois certains Rabbanim ont déconseillé de le faire pour plusieurs raisons (Référez vous au Yalkout yossef (sova sémah'ot page 90 qui rapporte toutes ces opinions avec les références):

  -Ne pas faire comme les non juifs qui procèdent systématiquement aux mariages dans les lieux de prière.

  -Eviter la mixité entre hommes et femmes.

  -Eviter des propos futiles dits entre les personnes qui attendent le déroulement de la H'ouppa, or il est interdit de tenir des paroles futiles dans une synagogue.

  -Eviter que les femmes se rendent à la synagogue alors qu'elles ne sont pas habillées de façon décente ce qui constitue un mépris pour un lieu tellement saint.

En pratique l'opinion du Rav Ovadia Yossef zatsal (Yabia omèr tome 3, Even haézèr chapitre 10) est que c'est autorisé si les femmes viennent habillées de façon décente, et qu'on fait attention à ce que la sainteté de la synagogue soit respectée, et que la collation soit présentée en dehors de la synagogue.

Le Rav Feinstein zatsal ( Igerot moché Even haezèr chapitre 93).

Le Rav Ovadia précise aussi que si la H'ouppa a lieu dans une synagogue il faut faire attention à ne pas s'embrasser suite à la H'ouppa tant qu'on se trouve dans l'enceinte de la synagogue ainsi qu'il est écrit dans le Rama (chapitre 91 paragraphe 1). C'est très difficile à accomplir cette loi vu que naturellement suite à la H'ouppa la coutume est que la Kalla embrasse ses parents et le H'atan lui aussi.

Un petit mot au sujet de cette Halah'a.

L'origine de cette Halaha concerne le fait d'embrasser ses enfants à la synagogue. Le problème étant que ce faisant, on montre qu'on partage notre amour dans cet endroit sacré avec quelqu'un d'autre que D. Ainsi stipule le Rama dans le chapitre 98.
Cette Halaha s'étend aussi au fait d'embrasser un adulte.

Cependant, les décisionnaires écrivent que dans des cas où on ne le fait pas par marque d'amour mais d'honneur, comme par exemple embrasser la main de son Rav dans une synagogue ou autre marque de respect ou de civilité, ceci est permis. Ainsi les décisionnaires autorisent dans le cas où un bébé est tombé et pleure, de le rassurer en l'embrassant etc.
 

Kol touv.