chira

Chalom Ouvrakha !

Le tout est resté strictement Cacher.

Chabbat Chalom Oumévorakh et Bessorot tovot !

Chalom ouvrah'a!

Je ne suis pas sûr d'avoir bien compris votre question.

La pierre est une matériau qui n'est pas tenu par l'immersion rituelle des ustensiles.

Dites moi s'il vous plait si j'ai bien compris votre question.

Merci.

Kol touv.

Chalom Ouvrakha!

Votre question dépend de nombreux facteurs.

En résumé:

Selon le Rav Ovadia puisque la casserole était non Ben Yomoi (plus que 24 heures non utilisée pour de la viande) les oignons et le plat restent Parve.

Selon les autres décisionnaires on considère a priori que les oignons sont Bassari, ensuite il faut voir dans quelle quantité de soupe ou autre ils ont été mélangés. S'il y  avait 60 fois plus de sauce que d'oignons le tout est devenu Parvé, et il n'y a pas de problème, sinon, c'est un problème.

Kol touv!

Chalom!

Oui c'est autorisé s'ils mangent ce Hechcher en tout cas, puisque certains autorisent.

Chabbat Chalom!

Chalom!

Si au moment de l'immersion ces étiquettes ne vous dérangeaient pas et que vous comptiez les laisser sur votre bocal ceci ne pose aucun problème.

De nombreuses personnes laissent ce genre d'étiquettes sur leur bocal de café et autre.

Cf aussi: http://www.torahacademy.fr/hatstsa

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

L'opinion du Rav Chlomo Zalman Oyerbah' zatsal (Minh'at Chelomo Tome 2 chapitre 66) est que ce n'est pas possible vu que tant que cet ustensile est en votre appartenance il n'est pas considéré comme un ustensile de consommation mais plutôt comme un ustensile étant voué à être offert en cadeau.

D'après lui, même si vous l'avez déjà trempé, lorsque ce dernier le recevra, il devra à nouveau le tremper, mais sans bénédiction pour tenir compte de l'opinion du Issour Vahéter selon lequel cette immersion était valable bien que ce n'était pas un ustensile de consommation.

L'opinion du Mékor H'aïm (de Vilna) est qu'il est toutefois possible de faire acquérir cet objet à celui qui le recevra par l'intermédiaire d'une tierce personne, puis le tremper pour lui. En effet ayant fait cette acquisition on considère que cet objet lui appartient déjà, or pour lui c'est indéniablement un ustensile de consommation et donc on peut le tremper pour lui.

Le Rav Oyerbah' n'a pas retenu cette opinion, vu que c'est possible que ce receveur ne voudra pas s'en servir ou n'en aura pas besoin et du coup il va le revendre etc. et il va donc s'avérer que ce n'est pas pour lui aussi, un ustensile de consommation mais un ustensile commerce voué à être vendu.

J'espère avoir été clair, c'est un peu difficile à expliquer.

Kol touv!

Léchana tova tikatvi vétéh'atm!

Chalom Ouvrah'a!

Qu'entendez vous par de la vapeur est tombée? Vous parlez de vapeur ou de gouttelettes?

S'il s'agit de vapeur, ce n'est rien, et je ne comprend pas comment de la vapeur peut tomber.

S'il s'agit de gouttelettes et que celles-ci étaient bouillantes, il vous suffit de procéder à une Hagala de Kli Richon, c'est à dire verser de l'eau bouillante du Koumkoum sur cette poêle et elle devient Cacher.

Kol touv!

Cette cuillère Bassari est elle entrée en contact direct avec la poêle ou juste avec les légumes et l'ail?

Au sujet de vos légumes et de votre ail, ils sont autorisés à la consommation si vous êtes Séfarade. Ce qu'il faut analyser en fonction de votre réponse est de savoir si votre casserole et votre cuillère sont encore Cacher ou s'il va falloir les Cachériser.

Kol touv!

Chalom !

Regardez cette vidéo svp 

https://www.torahacademy.fr/tvilat-kelim-restos-et-hotels

Je vous envoie un texte que j'ai écrit au sujet de l'utilisation de ces ustensiles dans des hôtels, maisons de location etc.:

Trempage (immersion dans le Mikvé)
Le problème le plus immédiat est celui d’une vaisselle ou d’ustensiles non passés par le trempage rituel (Mikvé). (Quand nous parlerons simplement de vaisselle, cela pourra comprendre également les ustensiles de cuisine).
Si le propriétaire des lieux (maison, chambre louée, hôtel) n’est pas juif, leur utilisation est possible (sous réserve de certaines précautions que nous verrons plus loin).
Si le propriétaire, en revanche, est juif, se pose la double question de savoir s’il doit nécessairement avoir trempé cette vaisselle dès lors qu’elle est destinée à l’usage de sa clientèle et non du sien, et de savoir si le client (juif) peut s’en servir en l’état.
Pour le Darké Téchouva , le propriétaire n’est, pas plus qu’un marchand de vaisselle, tenu de procéder au trempage d’objets qui sont pour lui les objets de son activité économique et non ceux de sa consommation propre. Certains décisionnaires ont validé cet avis pour les ustensiles en verre seulement, dont l’obligation de trempage n’est que d’ordre rabbinique. D’autres, plus nombreux, ont réfuté globalement cet avis, y compris pour le verre, en soulignant le fait que la vaisselle vendue par un commerçant est un objet qui devra être trempé par son acheteur-propriétaire, au contraire de celle mise à disposition par un propriétaire de maison de location ou un hôtelier, qui est un ustensile de consommation.
Pour eux, donc, il y a obligation, pour le propriétaire ou l’hôtelier, de tremper la vaisselle destinée à l’usage de leurs clients, ou d’avoir recours à d’autres solutions théoriquement acceptables par la Halakha, telle que « offrir » la vaisselle à un non-juif qui ensuite la lui « prêtera ».
Le client sachant que la vaisselle mise à sa disposition n’a pas été trempée peut-il néanmoins l’utiliser ? Les avis sont partagés.
Certains  le permettent en s’appuyant sur le fait que l’interdiction de se servir d’une vaisselle non trempée ne nous appartenant pas est d’ordre rabbinique (alors que l’obligation de tremper une vaisselle par son propriétaire avant utilisation est d’ordre toranique). Le client peut donc s’appuyer sur l’avis du Darkei Téchouva mentionné plus haut, à savoir que l’obligation de trempage incombe stricto sensu au propriétaire-utilisateur d’une vaisselle. Dans notre hypothèse, le propriétaire n’étant pas l’utilisateur, et l’utilisateur n’étant pas le propriétaire, la vaisselle en question peut être utilisée par le locataire-client sans trempage préalable .
Il y a cependant des décisionnaires plus rigoureux , pour qui le client ne pourra pas se servir de cette vaisselle non trempée, et devra avoir amené, ou se procurer sur place, des ustensiles trempés, ou faits de matériaux dispensés de trempage comme le bois ou la pierre, ou encore « ‘Had péami », à usage unique.
Une nourriture cuite dans une casserole non trempée, ou mise dans une assiette non trempée, reste cachère selon toutes les opinions. Elle devra cependant être transférée dans un ustensile dispensé de trempage avant d’être consommée.
Le Rav Feinstein distingue entre les aliments qui n’ont pas strictement besoin de l’assiette-support pour être consommés, comme par exemple un morceau de viande qui peut être coupé et mangé de façon en quelque sorte « indépendante » de l’assiette, et il n’est alors pas nécessaire de le transférer dans un support trempé ; et les aliments qui ne peuvent être servis et consommés qu’avec l’aide d’une assiette, dont ils sont en quelque sorte solidaires, comme par exemple un potage dans une assiette creuse, et le transfert de ce potage dans une assiette ou un contenant trempé, ou en plastique, ou d’un matériau hors trempage, est alors indispensable.

Kol touv !

Chalom Ouvrah'a!

Elle reste Cacher Laméhadrin!

Cf aussi http://www.torahacademy.fr/ustensiles-en-bois-et-en-plastique

Kol touv et Chabbat chalom!

Chalom !

Si c'est suffisament haché pour qu'il n'y ait plus d'insectes entiers à l'intérieur au cas où il y aurait des insectes, c'est autorisé !

Les Goyim l'ont hachés, ça ne s'appelle pas qu'ils ont été Mévatel Issour Lékhaté'hila !

Kol touv !

Chalom !

Elle est où a présent cette bouteille ?

Kol touv !

Chalom Ouvrah'a!

Pour cette fois ci qu'ils fassent deux jours.

Pour la prochaine fois un seul jour selon les Décisionnaires qui disent qu'une personne qui se trouve pendant les trois fêtes en Israël ne célèbre qu'un seul jour de Yom Tov.

Cf http://www.torahacademy.fr/deuxieme-jour-de-yom-tov-en-israel.-rav-ovadia-a-change-d-avis

Kol touv!

Chalom !

Oui mais réservez des spéciales pour le lait et spéciales pour la viande. ainsi que je l'ai expliqué dans le cours suivant :

http://www.torahacademy.fr/cachereisation-gaziniere

Kol touv ! 

Chalom

Il s'agit ici d'un problème de Hakhana que l'on n'autorise pas a priori mais que a posteriori et sous certaines conditions très précises. 

Cf http://www.torahacademy.fr/porter-chabat-pour-yom-tov

Je crois que c'est une réponse que je vous avait posté à l'époque. 

Béhatslah'a!

Chalom!

Oui! Ce n'est pas pour s'attrister mais pour prier, c'est autorisé!

Béhatslah'a et Pourim Saméa'h!!

Chalom!

Non, il n'y a aucune nécessité d'attendre la fin du huitième jour. 

Béhatslah'a!

Chalom!

Non pour lui Simh'at Torah c'est le premier jour, bien qu'en France on ne danse pas avec la Torah le premier jour.

Ceci étant rien ne l'empêche de danser avec la Torah le lendemain et accomplir ainsi pleinement la coutume des Hakafot Chniot.

Tizkou Léchanim Rabbot Néimot Vétovot.

Oui, il n'y a aucun problème!

Veillez juste à ce qu'il soit propre.

Certains conseillent de le cachériser en versant de l'eau bouillante de la bouilloire puis un peu d'eau froide, mais ce n'est qu'une mesure de rigueur pas obligée selon la Halah'a!

Merci pour vos questions toujours passionnantes.

Pessah' caher vésaméah'!

Chalom Ouvrah'a!

Il existe à ce sujet une discussion entre nos Maîtres:

    -L'opinion du Michna béroura:

Il faut impérativement procéder au rinçage plus séchage du premier verre le soir du sédèr.

Concernant le second verre ce n'est pas la peine, vu qu'il a déjà été nettoyé la première fois.

Concernant le troisième verre (celui du Birkat hamazone): S'il est propre ce n'est pas la peine de le rincer, s'il n'est pas propre c'est la peine.

Concernant le quatrième verre: c'est identique au cas du second verre.

(Michna béroura aux chapitre 473 et 479).

    -L'opinion du Kaf hah'aïm: 

D'après la Kabbale même si les verres sont parfaitement propres, il y a une notion importante de rincer le verre, et c'est la raison pour laquelle il est bon de procéder à cela avant chaque coupe de vin.

D'autre part, pour le troisième verre, il faut impérativement procéder au rinçage même s'il est propre (contrairement à l'opinion du Michna béroura qui dit que s'il est encore propre ce n'est pas la peine de le rincer).

(Kaf hah'aïm chapitre 473 paragraphe 1).

Pessah' cacher vésaméah'! 

Chalom

Qu'il lui fasse passer l'examen en ne lui demandant rien d'écrire ou que que ce soit de ce genre. 

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Tout d'abord je voudrais préciser ce concept des fameuses Matsot 18 minutes dont vous parlez.

En général dans tous les endroits où on prépare des Matsot, on veille à ce que toutes les 18 minutes les nappes soient changées, les ustensiles nettoyés etc.

Toutefois, il se peut qu'au bout de quelques fois, les personnes étant déjà fatiguées nettoient déjà un peu moins bien les ustensiles, et il se peut que du H'amets se trouve dans ces ustensiles ce qui rendrait les Matsot impropres à la consommation.

C'est pourquoi certaines personnes veillent à ne manger que des Matsot qui ont été fait dans les 18 premières minutes de la journée, alors que tous les ustensiles étaient vraiment impeccables, de sorte à éviter ces problèmes. Les confections d'ensuite bne sont déjà plus considérées comme telles.

Il faut tout de fois savoir qu'il s'agit d'une mesure de rigueur qui ne figure pas dans les écrits des Grands Décisionnaires, et les autres bMatsot ne sont à mon humble avis pas moins Cacher.

Je ne pense pas que ce soit la peine de dépenser des sommes folles pour accomplir ce Hidour qui n'a finalement pas de fondements solides dans la Halah'a.

Kol touv.

Pessah' cacher vésaméah'!

Chalom!

Si vous êtes dépendante de vos parents vous êtes acquittée par l'allumage de vos parents.

Si vous êtes indépendante de vos parents, allumez quand vous arrivez! Essayez de faire en sorte que au moins une autre personne assiste à votre allumage.

Kol touv et H'annoucca Sameah'!

Chalom!

1-Oui, bien sur!

2- Les deux, avant et pendant!

Gmar H'atima Tova!

Chalom Ouvrah'a!

Nous précisons bien que votre question porte sur une personne se trouvant en Israël à un endroit où il y a un Erouv et votre question concerne donc uniquement les lois de préparation du jour de Chabbat pour Yom tov!

L'opinion du Hayé Adam (rapportée dans le Michna Béroura au chapitre 503 et 667) est de l'autoriser si:

1. on sort cet aliment assez de temps avant Yom Tov pour que notre acte ne soit pas forcément interprété comme un acte fait pour Yom Tov mais qu'il puisse être assimilé à un acte fait pour le jour même de Chabat. (bien que dans notre esprit on sait très bien qu'on le fait pour le lendemain).
2. Cette autorisation est observée dans la mesure où il n'y a pas d'autre choix possible facilement et pratique.

Dans Chout Mharchag (Tome 1 chapitre 61) le Rav autorise aussi de le faire puisque l'interdiction de préparer de Chabbat pour Yom Tov etc. se pose lorsqu'on a l'intention de prendre de l'avance sur la semaine, ou sur Yom Tov, et c'est pourquoi on commence depuis Chabbat, mais dans le cas où on le fait à présent parce que ceci s'impose maintenant, parce que par exemple c'est le moment où vous vouliez sortir de chez vous et donc prendre la bouteille avec vous, ceci ne pose pas de problème.

Le Orh'aot Chabbat (Tome 2) autorise aussi de le faire se reposant sur les propos du H'aYé Adam, et il rapporte aussi l'opinion du Magen Avraham au chapitre 321 duquel il ressort explicitement qu'il l'autorise.

Kol touv!

Chalom!

Oui, pourquoi pas?

Veuillez s'il vous plait me préciser un peu plus la problématique!

Merci.

Chalom Ouvrah'a

Oui, telle est l'opinion du Rav Ovadia Yossef, du Rav Oyerbarh' etc.

Cf aussi http://www.torahacademy.fr/deuxieme-jour-de-yom-tov-en-israel.-rav-ovadia-a-change-d-avis

             http://www.torahacademy.fr/pessah_7

Kol touv!

Chalom!

Cette lumière risque de vous déranger si vous la laisser s'allumer, ou vous souhaitez le faire uniquement pour économiser quelques centimes d'électricité?

Kol touv!

Chalom Ouvrakha !

Prenez celle de cette année. Celle de l'année dernière vous pouvez aussi la laisser.

Si ca vous encombre, vous pouvez la jeter dans un sachet opaque de façon discrète, ou attendre ou la brûler la veille de Pessa'h avec le 'Hamets.

Béhatsla'ha !

Chalom !

Non pas du tout obligé !

Même s'il y a du 'Hamets il n'est pas apte à la consommation d'un chien, et vous, vous ne lui donnez pas d'importance "Achchévé", en vous servant de ce sopalin. 

Kol touv !

Chalom !

Oui vous pourrez rentrer chez vous dès que Chabbat est fini après avoir dit Baroukh Hamavdil Ben Kodesh Léhol..

Kol touv !

Chalom !

Pourquoi ne mettez vous pas le vin dans la Harosset lors de sa préparation ?

Votre Harosset ets épais ou liquide ? 

Merci. 

Chalom !

Aucun problème. POurquoi faudrait-il changer l'eau ? Au nom de quoi ? 

SI vraiment vous voyez qu'elle est sale ou quoi, alors changez la, mais sinon, aucune nécessité. 

Béhatsla'ha !

Chalom !

Le Vidouy il y a un devoir d'être debout. Généralement on s'agenouille lors de Baroukh Chem Kévod Malkhouto. Au moment de Alénou Léchabéa'h dans la répétition de Moussaf il faut aussi être debout !

Les Achkénazim lors du Nétané Tokef se lèvent !

Au passage il n'y a pas de Vayaavor dans la répétition de la Amida.

Kol touv et Gmar 'Hatima Tova !

Chalom Ouvrah'a!

Le psaume Achré que l'on récite avant la prière de Minh'a, n'étant qu'un psaume et non une bénédiction, ni la Kriat chéma, ni les Psouké dézimra etc. il est permis de s'interrompre alors qu'on se trouve en plaine récitation de s'interrompre pour répondre au téléphone si on attend un téléphone important etc.

Il est sûr que s'il n'y a pas de nécessité, mieux vaut il ne pas s'interrompre. En effet, nous avons déjà tellement de mal à nous concentrer pendant notre prière, qu'il faudrait au moins essayer pendant ces quelques minutes réservées à la prière de ne pas laisser les facteurs extérieurs nous perturber.

En tous cas, d'après la Halah'a c'est permis de s'interrompre.

Kol touv!

Chalom!

Cette Brakha qui est une Birkat Hacheva'h la coutume est que chaque personne la récite elle même.

Je me souviens que le Rav Mordékhaï Eliahou zatsal lorsqu'il la récitait, il s'exclamait devant toutes les personnes qui se trouvaient à ses côtés :"J'ai l'intention de ne pas vous acquitter de cette Brakha !"

Béhatslah'a!

Chalom ouvrah'a!

Oui vous avez tout à fait raison lorsqu'on récite Al haèts pour acquitter les fruits qui appartiennent aux fruits d'Israël, cela acquitte le Néfachot sur les autres espèces de fruits tels que les amandes. (Choulh'an Arouh' chapitre 208 paragraphe 13).

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Merci pour votre Béraha.

J'espère que ce site pourra effectivement aider de nombreux juifs à progresser dans la voie de la Torah. C'est dans cette intention que nous l'avons créé Béézrat Hachèm.

D'après la Halaha stricte, il faut procéder à l'ablution des mains sans réciter de bénédiction avant de consommer' des aliments qui sont accompagnés de liquide.

Ceux qui veulent se montrer plus indulgent pourraient toutefois se reposer sur l'opinion que j'ai rapporté dans une autre réponse. Je vous invite à vous y référer http://www.torahacademy.fr/netilat-yadaim-lorsqu-on-trempe-des-gateuax-dans-du-the.

Kolo touv et à bientôt!

Chalom!

Veuillez lire cette réponse s'il vous plait http://www.torahacademy.fr/tefilat-haderekh_2

Si vous faites un nouveau trajet non prévu, vous devez la réciter. Si c'est la suite vous rentrez dans le cadre de la question de Rivka.

Hannouca saméah'!

Chalom Ouvrah'a!

Oui vous pouvez très bien réciter ensuite Al hamihya.

Le cas où c'est problématique est celui où vous auriez mangé des pommes et du gâteau. Si vous récitez d'abord Al Hamihya il se peut que vous ayez acquitté les pommes en ayant dit Véal ténouvat hassadé etc.

Mais dans votre cas, aucun problème a posteriori, c'est juste qu'à priori on vous aurait conseillé de commencer par Al Hamihya pour tenir compte des lois de priorité dans las bénédictions (Diné kdima bibrah'ot)!

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Il vaut mieux mentionner tous les prénoms qu'ils soient utilisés ou qu'ils ne le soient pas. De même que ce soient des prénoms hébraiques ou que ce soient des prénoms qui ne le sont pas.

On mentionne effectivement le prénom de la mère.

Béhatslah'a!

Chalom Ouvrakha !

Si ce sont des fruits qui se trouvent toute l'année sur le marché, on ne fait pas Chéhéiyanou, mais si ce n'est pas le cas, et qu'ils sont de la nouvelle année, on peut réciter la Brakha bien qu'ils soient secs.

Kol touv !

Chalom !

Bien qu'il s'agisse de 2 types de remerciements différents elle est tout de même censée être acquittée puisqu'il s'agit de la même Brakha !

Toutefois Rabbi Akiva Iguer (chap. 219 au nom du Ourim Guédolim) émet un doute à ce sujet. Or dans notre cas j'imagine que la personne qui a récité l'a fait après un voyage ou autre. Si elle l'a fait après une maladie il n'y aura pas de problème !

Le mieux sera d'attendre qu'une autre personne ayant besoin de faire Hagomel de toute façon après avoir guéri récite cette Brakha et vous acquitte, par exemple une femme qui a accouché. 

Sinon récitez cette Brakha devant 10 hommes mais sans mentionner le nom de D., pensez le uniquement dans votre coeur !

Béhatsla'ha et merci Hachem de l'avoir guérie !!!!

Chalom !

Vous posez une excellente question !

A vrai dire on devrait dire que l'idéal est qu'une seule personne récite la Brakha et que tous les autres répondent Amen comme c'est le cas du Kidouch etc. 

C'est d'ailleurs dans ce sens qu'a été le Méat Maïm (chap. 66).

Ceci étant la coutume de nombreux Rabbanim tels que Rav Ovadia Yossef zatsal (cf. Kol Sinaï 72) et que le Rav Mordekhaï Eliahou zatsal (que j'ai vu de mes proptres yeux faire maintes reprises) est que chaque personne récite la Brakha à part.

Certains arguments ont été rapportés à cela :

Le premier est qu'au même titre que le soir de Yom Kippour tout un chacun récite la Brakha de Chéhéyanou ainsi que les décisionnaires le préconnisent. La raison est que pas chaque personne sait avaoir l'intention de s'acquitter. Il vaut donc mieux que chacun récite sa Brakha.

Le second est qu'au même titre que lors de la Birkat Halévana chacun récite sa Brakha pareil dans notre cas. La raison en est que puisqu'on veut prouver notre attachement à la Mitsva on agit de la sorte.

J'ai été concis, on pourrait s'allonger beaucoup sur cette belle question !

Kol touv !

Chalom Ouvrakha !

Si les deux fruits sont présent devant vous au moment où vous récitez Chéhéyanou, une seule Brakha acquitte des deux fruits.

S'ils sont tous devant vous et que vous souhaitez réciter Chéhéhéyanou sur chaque espèce c'est l'objet d'une controverse entre nos Maîtres, selon certains il ne faut réciter qu'une Brakha, selon d'autres on pourrait réciter Chéhéhyanou sur chaque fruit. 

Le conseil préconisé par certains tels que le Rav Ovadia Yossef  ('Hazon Ovadia Tou Bichvat page 445) est de ne pas les apporter ensemble à table de sorte à ce que l'on récite dans un premier temps la Braha de Chéhéyanou sur l'un, puis ensuite, sur l'autre et  grace à cela chaque fruit aura une bénédiction de Chéhéyanou en propre qui sera récitée.
 

Kol touv !

chalom Rav

Chalom Ouvrakha!

une femme peut elle commencer sa tefila quelques minutes avant hatsot ayom et la terminer quelques minutes après ?
 

C'est une discussion entre nos maîtres. Certains autorisent prétendant que tout dépent du début (Rav Ovadia), d'autres disent qu'il faut avoir fini avant la fin des Zmanim (Michna Béroura).

si non si elle prie régulièrement elle doit faire 2 fois la amida à minha?

Oui. La première pour Minh'a et l'autre pour Tachloumin.

merci beaucoup chavoua tov

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Très bonne question!

Si vous étiez un homme la question aurait été effectivement très forte et le problème de pose véritablement. 

Les solutions diffèrent selon ce qu'on est Séfarade ou Achkénaze (à savoir s'il suffit de fermer les yeux ou s'il faut aussi déplacer son visage dans un autre direction, et malheureusement dans ce genre d'endroits ceci ne fait que déplacer le problème vu que dans toutes les directions on a malheureusement de la Erva face à soi). 

Erva ce n'est pas très compliqué, un Tefah' de peau qui est découvert alors qu'il devrait être recouvert, et dans certaines zones même moins d'un téfah'.

Simplement vu que vous êtes une fille il faut savoir que la majorité des décisionnaires (rapportés dans le Michna Béroura au début du chapitre 75) disent qu'il n'y a pas d'interdiction de lire la Kriat Chéma ou Téhilim etc. face à une autre femme pas habillée de façon décente (à moins qu'elle ne soit complètement déshabillée). 

En effet, le problème est que lorsqu'un homme voit une femme même partiellement dénudée ceci lui provoque des Hirhourim. ceci en se pose pas lorsque c'est une femme qui voit une autre femme partiellement dénudée. 

Béhatslah'a!

Chalom Ouvrah'a!

Le principe qui découle des propos des décisionnaires au chapitre 91 est que tout vêtement qui est suffisamment honorable pour qu'on puisse en être revêtu au moment où viennent à la maison des invités de marque, et qu'on pourrait aussi mettre en sortant dans la rue, c'est autorisé de prier avec!

Et ce, bien qu'on irai jamais à une soirée avec cette tenue. En effet, cette tenue est honorable mais non compatible à une soirée! Il est donc possible de prier avec!

Au sujet des pantoufles, le Piské Téchouvot au chapitre 91 écrit que si ces pantoufles sont propres, classes etc. de sorte à ce que vous seriez d'accord d'accueillir un invité de marques alors que celles ci sont à vos pieds etc. c'est autorisé de prier avec!

Sinon, non!

Kol touv et Chabbat Chalom!

Chalom Ouvrah'a!

Veuillez vous référer à cette réponse: http://www.torahacademy.fr/tefila-dans-le-bus

S'il vous manque des précisions veuillez me le dire s'il vous plait.

Merci

Chabbat Chalom!

Chalom ouvrah'a!

Personnellement je recommande à chaque personne qui vient lire les Téhilim qu'elle récite le Yéhi ratson avant de commencer leur lecture et qu'elles clôturent leur lecture journalière avec le Yéhi ratson de la fin.

Ce n'est pas un Yéhi ratson qui a nécessairement été institué pour le début et la fin du livre mais plutôt pour le début et la fin de la récitation de tout un chacun, même si vous ne récitez qu'un petit paragraphe!

Vous pouvez très bien sauter les mots où on prononce le premier ou le deuxième etc. livre.

Gmar h'atima tova!

Chalom Ouvrah'a!

Il vaut mieux mentionner tous les prénoms qu'ils soient utilisés ou qu'ils ne le soient pas. De même que ce soient des prénoms hébraiques ou que ce soient des prénoms qui ne le sont pas.

On mentionne effectivement le prénom de la mère.

Béhatslah'a!

Chalom !

1- Il vaut mieux mentionner tous ses prénoms, on n'a rien à perdre et tout à gagner !

2- Quand on prie pour quelqu'un qui est présent devant nous ce n'est pas la peine de mentionner son nom ainsi que nos Sages affirment en rappelant que Moché Rabbénou a prié pour sa soeur en disant les mots "El Na Réfa Na La" sans mentionner son prénom.

A plus forte raison que lorsque l'on prie pour soi même ce n'est pas la peine de mentionner son prénom.

Béhasla'ha !

Chalom !

Oui, vous pouvez répondre et c'est même conseillé !

Si vous n'êtes pas encore levée vous n'êtes pas obligée de vous r"veiller pour répondre.

Si vous êtes occupée à autre chose et que vous entendez, il sera bon de répondre ! Mais pas obligé de vous concentrer sur l'endroit où ils en sont etc. Juste il suffira que vous répondiez si vous entendez et au moment où vous entendez !

Pour un homme qui n'a pas encore prié on se montrera plus rigoureux puisqu'il est lui, tenu de répondre au Kaddich et à la Kédoucha chaque jour etc. 

Kol touv !

Chalom !

Oui c'est vrai il est rapporté que durant la Amida les anges se moquent des gens qui prient les yeux ouverts. 

Ceci étant si vous priez dans le Sidour vous pouvez conserver les yeux ouverts.

Ce n'est dit qu'au sujet de la Amida.

Cf. Michna Béroura (chap. 93 § 2) et Kaf Ha'haïm au chapitre 92. 

Béhatsla'ha !

Chalom !

Le Vidouy il y a un devoir d'être debout. Généralement on s'agenouille lors de Baroukh Chem Kévod Malkhouto. Au moment de Alénou Léchabéa'h dans la répétition de Moussaf il faut aussi être debout !

Les Achkénazim lors du Nétané Tokef se lèvent !

Au passage il n'y a pas de Vayaavor dans la répétition de la Amida.

Kol touv et Gmar 'Hatima Tova !

Chalom !

Je pense le ème, mais cela ne change pas grand chose !

Béhatsla'ha !!

Chalom Ouvrakha !

1- Oui. C'est en tant que respect et reconnaissance qu'on le donne, c'est permis sans le moindre problème. C'est un peu comme offrir un cadeau de mariage ou de Bar Mitsvah à un endeuillé. 

2- Pareil !

Bessorot tovot !!!

Chalom Ouvrakha !

Au sujet du prénom du père ou de la mère la coutume Achékanze est partagée (cf. Ziv Hachémot chap. 29 § 5), tandis que la coutume séfarade est de mentionner le prénom de la mère (cf. Caf Ha'haïm chap. 284, cf. Ben Yéhoyada Brakhot page 55).

Dans certaines communautés Marocaines la coutume est de mentionner le prénom du Niftar et le nom de famille sans mentionner le prénom de son père ou de sa mère.

En ce qui est de dire Léilouy Nichmat après l'année, il n'y a aucun problème. Le seul problème est de réciter la Hachkava. Le ARi Zal et le Ben Ich 'Haï n'aiment pas trop que l'on récite trop de Hachkavot, donc à part le minimum on essaye de ne pas en ajouter.

J'espère avoir été clair !

Béhatsla'ha et beaucoup de consolation et Réfoua Chéléma pour votre chère maman !

Chalom Ouvrakha !

Oui, une jeune fille étant en âge de se marier, a le droit de se maquiller et se parfumer pendant les 30. 

Bessorot Tovot !

Chalom !

Bien sûr, c'est de la pure Tsédaka !

Portable, que 'il est Cacher, ou bien filtré, vous ne pouvez pas lui offrir un cadeau empoisonné que les Gdolé Hador ont interdit !

Béhatsla'ha !

Chalom Ouvrakha !

Si les vacances étaient pour eux vraiment nécessaires et vitales et qu'ils n'ont pas exagéré en allant dans des endroits très chers etc. il est possible de les aider avec l'argent du Maasser.

Kol touv !

Chalom Ouvrakha!

Cette question a été traitée par mon ami le Rav Olivier Chlita de façon très circonstanciée à votre attention et en votre honneur.

Voici sa réponse:

"1)Précision et correction :

Rendre visite aux malades et recevoir des invités (lorsqu'on les aide réellement par cela)  sont bien des obligations, simplement, le cadre de leur réalisation est à définir selon les nécessités et les conditions qui se présentent.

2)S'agit-il d'une Mitsva de la Torah, des Rabbins, ou pas de Mitsva?

Selon Ramban, il s'agirait d'une Mitsva extrêmement importante entrant dans le cadre de prendre possession du pays et qui incomberait à chacun. Mais certains ont suggérés que selon lui, il n y a mitsva d'habiter que lorsque l'on prend possession du pays, puisque prendre possession implique d'y habiter. Si l'on pense qu'aujourd'hui nous sommes en période de conquête, alors cela devient une Mitsva pour chacun d'y habiter !

Le Ribash semble penser qu'il s'agit d'une Mitsva positive tout comme Ramban, sauf que la conquête pour lui ne semble pas constituer la Mitsva mais son préambule nécessaire.

Maimonide n'a pas recensé la Mitsva dans son livre des Mitsvots. Cela ne veut pas dire qu'il ne considère pas cela comme une Mitsva de la Torah, bien que beaucoup de maitre ont interprété le Rambam ainsi. Peut-être considère- t-il au contraire que c'est une Mitsva tellement générale qu'elle ne doit pas figurer dans la liste des Mitsvots particulières, selon le principe qu'il s'est fixé dans son introduction. D'autres ont tout simplement compris que pour Maimonide, la Mitsva n'est plus d'application. 

Selon d'autres compilateurs de mitsvots qui n'ont pas recensés cette Mitsva, il semblerait que cela soit une Mitsva derabanan. (Leur omission ne peut pas être justifiée comme pour le Rambam)

Selon d'autres maitres, comme Maharam de Rotenbourg et Troumat Hadeshen, il s'agirait d'un entreprise grandement louable mais pas d'une Mitsva au sens contraignant.

Selon Rabenou Hayim Hacohen et d'autres maitres, il n'y a plus de Mitsva aujourd'hui à cause de certains dangers ou parce que nous ne savons plus appliquer les lois du pays comme il le faudrait. Le Maharit a écrit que cette thèse n'est pas fiable et a été ajouté au Tossefot par un élève peu prudent, mais sa critique n'a pas été retenue.

3)Statut de la Misva: 

Même s'il s'agit d'une mitsva, les maitres ont débattu quant à savoir s'il s'agit d'une obligation de monter en Israel comme par exemple la mitsva de mettre les téfilins (comme le Mabit) ou d'une Mitsva que l'on réalise si on y habite mais qui n'est pas obligatoire, comme porter un vêtement à 4  coins et y apposer des tsitsits (comme Rav Moché Feinstein). La plupart ont l'air d'opter pour la seconde proposition.

4) conclusion

A la question pourquoi tous ne montent pas en Israel la réponse formelle est soit qu'ils se reposent sur ceux qui pensent que ce n'est pas une Mitsva, soit sur ceux qui pensent que c'est une Mitsva des Rabbins, soit sur le fait que pour beaucoup il ne s'agit pas d'une obligation mais seulement d'une possibilité de réaliser une grande Mitsva.

Quoi qu'il en soit, il serait bon de préciser que:

a) Obligation ou pas, l'importance que la Torah et les Sages donnent au fait d'habiter Israel permet largement à ceux qui souhaitent s'y installer ou convaincre les autres de s'y installer de le faire sans trop se soucier s'il s'agit d'une Mitsva ou pas!!

b) Obligation ou pas, les comportements adoptés par les maitres anciens comme récents et par la multitude de juifs craignant D. permet largement à ceux qui ne s'y installent pas encore de justifier leur démarche. Les maitres d'Israel ne sont pas des idiots, et dans ce domaine comme dans d'autres, les faits consolident eux même la loi.

c) Au final, vu l'enjeu central de cette Mitsva, elle n'est pas à traiter comme une Mitsva parmi les Mitsvots, elle tient beaucoup à la vie personnelle de chacun, de ses engagements professionnels, familiaux et communautaires, de l'obédience, du Rav, et de la conviction personnelle de chacun quant à son rôle à jouer dans le peuple juif, et du sens historico-métaphysique qu'il entend discerner dans l'enchainement des évènements qui se déroule sous ses yeux".

Kol Touv. 

Chalom !

Oui c'est autorisé s'il n'y a pas le nom de D. ou de verset. C'est justement pour cette raison que les décisionnaires recommandent d'écrire avec une écriture arrondie et non pas carrée auquel cas il pourrait être problématiques de jeter à la poubelle.

Kol touv !

Chalom!

Pour le repas c'est autorisé sans problème.

Prier le Chmoné Essré avec des vêtements de nuit, c'est un problème. (Michna Béroura dans les lois de la Téfila). 

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Non ,le seul problème est de ranger de la nourriture sous un lit, mais de la vaisselle, il n'y a aucun problème.

Cf aussi: http://www.torahacademy.fr/nourriture-sous-le-lit-et-problemes-lies-a-la-chemita

Kol touv!

Chalom!

Veuillez lire la réponse suivante: http://www.torahacademy.fr/aller-au-cimetiere-pour-une-femme-pendant-son-cycle-menstruel

Vous verrez que d'après certains décisionnaires, c'est autorisé dans tous les cas de s'y rendre.

Quand à savoir si d'après ceux qui se montrent plus rigoureux, autoriseront du fait que ces soldats sont morts Al Kiddouch Hachem, je n'ai pas vu de mention à ce sujet dans les livres des décisionnaires, et c'est possible qu'effectivement ce sera autorisé vu que toute personne morte Al Kiddouch Hachem arrive directement au Gan Eden ainsi que l'écrivent les grands Rabbanim.

Kol touv!

Chalom Ouvrakha !

Je comprend tres bien votre question !

Sachez que de nombreuses manifestations de ce genre sont faites sans le consentement des Gdole Hatorah !

La plupart des manifestations de ce genre faites ces quelques dernieres annees initiees par le Peleg Hareyouchalmi n etaient pas encouragees par la plupart des Gdole Hatorah ni par Rav Kanyevsky ni par Rav Chteinman ni par aucun grand de la Torah (excepte un grand Rav) !

Je me joint a votre etonnement et si vous allez a Mea Chearim, vous serez tous les jours en etonnement ! Que faire ? Il y a des gens qui veulent changer le monde coûte que coûte sans interroger les Zekenim !

Behatslaha !

Chalom Ouvrakha !

Ca me fait plaisir de vous lire, j'ai de temps en temps de vos nouvelels par l'intermédiaire devos élèves que vous m'envoyez pour leurs différentes questions !

Je ne sias pas à quel cours vous faites allusion mais je vous recommande celui-ci :

http://www.torahacademy.fr/haazinou-3-conseils-ultimes-pour-le-jour-du-jugement

dans lequel justement j'explique exactement que la Kabal Léatid c'est à dire le véritable engagement ne peut pas concerner tous les points, mais un seul véritable engagement !

En ec qui est du Baal Téchouva, il est dans le devoir de progresser au fur et à mesure et ne pas bruler d'étapes, il doit lors du Vidouy regretter l'ensemble des fautes bien qu'il n'est pas encore à la hauteur de tout prnedre sur lui, et en ce qui est de la résolution, il en prendra une, par exemple l'une de celels que j'ai mentionnées dans le cours auquel je viens de faire référence. 

Kol touv !

Chalom Ouvrah'a!

S'il s'agit d'un coiffeur juif, je déconseille complètement. Le coiffeur va être amené à lui toucher les cheveux, peut être même à lui faire un shampoing qui sont des actes affectueux d'une certaine façon.

Il est vrai qu'au moment où il le fait c'est dans l'intention de travailler et qu'il n'est donc pas sensé penser à cette femme mais plutôt au travail dans lequel il est investi, mais toutefois on ne se sert de ce genre de principes que pour des cas d'extrême urgence comme par exemple ce rendre chez un médecin lorsqu'il n'y a pas d'autre choix parce que celui ci est plus compétent etc.

Mais pour une simple perte d'argent, il est clair qu'il vaut mieux éviter cela.

Kol touv et Chabbat chalom!

Chalom Ouvrah'a!

Pour un adulte il est clair que c'est un problème de se déshabiller face à des livres de Kodech ainsi que l'écrivent les décisionnaires (entre autre au chapitre 315 des lois de Chabbat etc.).

Au sujet d'enfants, on pourrait écrire une réponse de plusieurs pages à ce sujet, mais en deux mots les décisionnaires (Adné Paz chapitre 7, Mah'azé Eliahou chapitre 5 et 6) l'autorisent vu que la nudité d'un bébé pour de nombreux décisionnaires n'est pas considérée comme étant une nudité, et vu que ce n'est pas une forme de mépris pour un bébé de se trouver dénudé face à des livres.

Concernant le problème qu'il peut y avoir des excréments dans la couche, le Rav Adné Paz autorise, étant donné que c'est fait de façon provisoire, juste le temps de retirer la couche.

Le conseil que donnait toutefois le Rav Ben Tsion Abba Chaoul zatsal était de tourner le bébé de sorte à ce que sa nudité donne dos aux livres et non qu'elle soit en face.

Au sujet des Nérot de Chabbat il est écrit explicitement dans le Rama au chapitre 275 que c'est interdit que les enfants soient nus face aux Nérot, et on essaye de s'efforcer que ce ne soit pas fait même de façon provisoire.

Le seul grand décisionnaire qui a voulu extrapoler et apprendre de là qu'il serait interdit qu'un enfant soit nu devant des livres de Torah est le Choulh'an Arouh' Harav au chapitre 45. Cette Halah'a il l'a écrite entre parenthèses, et certains décisionnaires font remarquer que le frère du Choulh'an Arouh' Harav a témoigné que lorsque le Choulh'an Arouh' Harav écrit des lois entre parenthèses c'est qu'il n'était pas persuadé de cela et qu'il attendait de bien approfondir le sujet avant d'écrire une conclusion certaine. C'est pourquoi comme je l'ai écrit plus haut la majorité des décisionnaires autorisent de changer des enfants face à des livres de Kodech (Gémarot, H'oumachim etc.).

Kol touv et Chabbat Chalom!

Chalom!

Oui selon la plupart des décisionnaires on est dans le devoir de rembourser bien que Egged est à priori une société qui a des milliers d'actionnaires et il s'avère donc que la part qui revient à chacun est inférieure à 1 Prouta et donc on serait dispensé, malgré tout la majorité des décisionnaires tels que mon maître le Rav Sternbukh Chlita et de nombreux autres décisionnaires considèrent une société comme étant un corps à part, et donc le fait que ce voyage vaut plus qu'une Prouta vous met dans le devoir de leur rendre. 

S'il s'agissait de cette question en France (où cela appartient à des non juifs) la Halakha aurait été différente. 

Béhatslah'a!

Chalom!

Veuillez lire la réponse suivante: http://www.torahacademy.fr/commerce

Vous pouvez leur téléphoner et les informer de cela, et il est possible qu'ils vous diront par téléphone qu'ils renoncent à cette somme, et alors vous êtes dispensée de payer.

Kol touv!

Chalom !

Généralement c'est écrit dans le contrat et c'est aussi la coutume que le propriétaire change les robinets abîmés par l'usure. 

Si le contrat indiquait l'inverse et que vous l'avez signé ce sera à vous de payer !

Béhatsla'ha !

Chalom !

Non cette prière est appropriée au moment de la Birkat Cohanim. Par contre il sera recommandé le jour même de faire une Hatavat 'Halom devant 3 hommes. De même de raconter ce rêve à une personne proche qui en donnera une bonne interprétation est aussi recommandé. 

Béhatsla'ha !

Chalom !

Selon de nombreux décisionnaires, on ne peut plus.

Toutefois l'opinion du Rav Kanyevsky chlita est que l'on peut rendre Hefker à nouveau les oeufs déjà soulevés et accomplir à nouveau La Mitsva. 

Kol touv !

Chalom !

Cf. http://www.torahacademy.fr/bougies-pour-hilloulot

Je vous souhaite une excellente année !

Tizkou Léchanim Rabbot Néimot Vétovot !

Chalom

Qu'il lui fasse passer l'examen en ne lui demandant rien d'écrire ou que que ce soit de ce genre. 

Kol touv!

Chalom ouvraha

Les décisionnaires écrivent que si sur votre brouillon vous écrivez des propos de Thora à proprement parlé comme par exemple des versets ou des Halahot etc. ceci est tenu d'être déposé dans une Géniza.

Si par contre vous n'écrivez sur votre brouillon que des annotations qui n'ont pas un véritable sens mais qui ne viennent que vous aider à vous rappeler, ceci n'est pas tenu de Géniza.

Ou si par exemple vous écrivez sur votre papier "La bénédiction sur une pomme", ceci ne doit pas être mis à la Géniza. Si par contre vous écrivez "Bénédiction sur pomme: Boré péri haèts" ceci doit être mis à la Géniza.

Pour plus de détails, je vous invite à consulter le livre magnifique "Ginzé hakodèch" au chapitre 10. 

Voici une question qu'on m'a posé l'année dernière:

"Shalom Rav,

Dans le cas d'un dvar Torah, où je recopierai en français sans le passouk (juste référence), des explications que je trouve belles, dans ce cas, il faut le déposer à la guéniza?
Est-ce que si j'écris les phrases en abrégées ou sans tous les mots, ça peut éviter la guéniza?
Est-ce que le fait de faire des renvois, change quelque chose? Du genre dans votre exemple : "la bénédiction sur la pomme (1)" et en bas de page (ou autre page) (1) = boré péri ...

Merci pour vos précisions qui m'aideront beaucoup dans ma pratique du judaïsme au quotidien!!"

Voici la réponse que je lui ai apporté:

"1- Doit être mis à la Géniza
2- Doit être mis à la géniza sauf si c'est tellement abrégé que personne ne peut comprendre ces écritures
3- Il me semble qu'on peut autoriser vu qu'il n'y a pas écrit de Halaha à proprement parler. Peut-être qu'il vaut mieux quand-même découper avant la feuille avant, de sorte à ce que l'annotation se trouve sur une autre feuille que la phrase qu'y s'y réfère. "

Kol touv et Pessah' cacher vésaméah'!

Chalom Ouvrah'a!

C'est une question très intéressante!

1- Il faut faire Nétilat Yadaïm après.

2- Il existe deux raisons pour lesquelles il ne faut pas laisser les ongles par terre et qui risquent d'entraîner une fausse couche H'ass Véchalom à une femme qui pourrait passer par là.

La première est qu'elle risque d'être gravement dégoûtée et cela pourrait lui causer cela (Nimouké Yossef). Selon cette raison lorsqu'on les lime il ne devrait pas y avoir ce problème vu qu'on ne les voit pas du tout.

La seconde est pour des raisons mystiques qui nous dépassent (Rav Oyvechits). Selon cette raison il est fort probable que ce soit interdit même s'ils sont limés et non coupés. 

C'est pourquoi je vous recommande d'essayer de les limer sur un robinet ou dans des toilettes etc.ou au moins passer le ballet après les avoir coupés.

Kol touv et Chabbat Chalom!

Chalom!

Si c'est Hefker, c'est parfait!

Vous pourrez accomplir la Mitsva Béézrat Hachèm!

Il faudra attendre que la maman ponde des oeufs et dans les trois jours de la ponte, attendre le soir (car alors on est sûr que c'est la mère qui les couvent et non le père) et alors vous devez en ayant l'intention d'accomplir la Mitsva chasser la mère et soulever les oeufs.

Kol touv!

Chalom!

Oui vous pouvez le jeter il ne revêt AUCUN caractère de sainteté.

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Vous êtes la troisième personne a me poser cette question ce soir.

Les Décisionnaires ont effectivement écrit qu'au moment du commencement de la Tékoufa (une saison) en l'occurrence ce soir, c'est dangereux de boire de l'eau qui était détachée du sol (par exemple dans une bouteille d'eau etc.

C'est rapporté dans les propos du Rama au chapitre 455 de Orah' H'aïm et dans d'autres endroits.

Il faut faire attention à ne pas boire de cette eau une demie heure avant et une demie heure après la Tékoufa. Le Yalkout Yossef écrit que la coutume Sépharade est d'être attentifs à cela. 

Le Rama écrit que si on place cette eau dans un ustensile en fer, il n'y a plus de problème.

Le Rav Moché Kalfon Hacohen de Djerba écrit que si cette eau a bouilli, il n'y a plus de problème. De même si on a ajouté à cette eau un peu de jus ou autre de sorte à ce que elle ne soit plus de l'eau uniquement, c'est permis aussi. De même si la bouteille était bien fermée et n'a pas été déjà entamée, il n'y a pas de problème non plus.

Donc vous avez certaines solutions.

Kol touv!

Oui oui.
Déjà que ses enfants déjà existants soient Bar Kayama.
De plus, qu'il ait d'autres enfants Bné Kayama.

Bref, aucun problème !!

Chalom !

Le concept de Zékhout Avot existe dans la Torah et dans les Guémarot etc. 

Pour les vivants le but de la prière est de se rapprocher de D. etc. mais pour les morts visiblement le but est différent. La prière n'est peut être déjà plus un but mais un moyen. 

Mais en tout cas je souligne que c'est une excellente question. Je vais y réfléchir Béézrat Hachem. Si l'un des internautes a des idées ou des compléments de réponse, ce sera avec plaisir !

Merci et Chabbat Chalom !