haroldkrygier

Chalom Ouvrah'a!

Veuillez écouter le cours suivant dans lequel on précise tout cela:

http://www.torahacademy.fr/combien-de-temps-attendre-entre-un-repas-carne-et-la-consommation-de-lait

En deux mots:

-6 heures: C'est l'opinion du Choulh'an Arouh' au chapitre 89 paragraphe 1.

-Dans la sixième heure: Certains autorisent (Yabia Omer etc.) en cas de nécessité et en particulier si la majeure partie de la sixième heure est entamée, et en particulier s'il s'agit de poulet.

- 3 heures: C'est l'opinion du Rav David Pardo, dans son livre Mizmor Lédavid.

-1 heure: Opinion rapportée par le Rama au chapitre 89.

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Voici la réponse circonstanciée à votre question.
http://www.torahacademy.fr/cuisson-four-bassari

Pour bien comprendre tout cela, il faudrait écouter le cours suivant: http://www.torahacademy.fr/gout-second

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Veuillez vous référer à ces réponses:

http://www.torahacademy.fr/se-doucher-le-chabbat

http://www.torahacademy.fr/douche-et-trois-jours-de-fetes

Les références de ce que j'ai écrit au sujet de Chabbat se trouvent au chapitre 326.

Kol touv!

Chalom!

Non, on ne récite pas le second jour, et ce même d'après l'avis Achkénaze selon lequel le deuxième jour de Roch Hachana on récite Chéhéhyanou à nouveau sur les sonneries du Chofar.

(Choulh'an Arouh' chapitre 662).

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Le principe de base, est qu'on a le droit pendant Yom Tov de porter des objets dans le domaine public dans la mesure où ces ustensiles sont nécessaires pour le jour même de Yom Tov.

Procéder à cela si ce n'est pas pour Yom Tov mais pour le lendemain est interdit.

Les décisionnaires se sont interrogés sur le fait de prendre avec soi ses clés lorsqu'pn sort de chez soi pendant Yom Tov. Est ce considéré comme étant nécessaire pour Yom Tov ou pas?

D'une part on peut considérer que oui, vu que si on nous interdisait de prendre les clés avec soi, on serait condamné à rester chez soi pour ne pas avoir à laisser la porte ouverte. De plus cette angoisse de se faire cambrioler etc. retir la joie de Yom Tov et ce serait donc une raison pour considérer que c'est en l'honneur de Yom Tov même.

C'est dans ce sens que certains décisionnaires vont trancher (rapportés dans le Michna Béroura au chapitre 518).

D'autres décisionnaires ont considéré que dès lors que la clé n'est pas nécessaire pour Yom Tov même mais que c'est jute pour éviter un domage tel qu'un cambriolage, il n'y a pas de raison d'autoriser.

Le Michna Béroura a l'air de trancher dans ce sens, et en tous cas si on peut s'arranger autrement (clé de Chabbat, ou si quelqu'un reste de toute façon à la maison...).

Même d'après cette opinion il est clair que si à la maison se trouve la nourriture de Yom Tov et qu'on compte revenir pendant Yom Tov à la maison pour la consommer, ce sera autorisé de prendre avec soi les clés, parce que si on se fait cambrioler c'est la nourriture de Yom Tov qui sera manquante, or pour une telle raison, il est clair que c'est autorisé pendant Yom Tov de transporter (Oh'el Nefech).

Pour en revenir à votre question, si on souhaite se reposer sur les propos premiers rapportés par le Michna Béroura, c'est autorisé de sortir avec ses clés pendant Yom Tov même si on sait très bien qu'on ne rentrera à la maison qu'après Yom Tov.

Si on souhaite se montrer plus riqgoureux (comme la conclusion du Michna Béroura) il est clair que seulement si on a à la maison de la nourriture et qu'on compte revenir pendant Yom Tov on pourra autoriser vu que la seule raison d'autoriser est le fait qu'on pourra se servir de cette nourriture pendant Yom Tov.

Je précise que le Piské Téchouvot rapporte au nom du sefer Halah'ot Yom Tov que si on n'a pas d'autre choix et on sera empêché de sortir si on ne peut porter les clés, il n'y a pas lieu de se montrer rigoureux et on pourra autoriser de prendre avec soi les clés bien qu'on ne reviendra pendant Yom Tov.

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Le fait de réciter le Kiddouch Lévana le Samedi soir a été rapporté dans les propos du Rama au chapitre 426. C'est parce qu'alors on est généralement bien habillés en vêtements de Chabbat.

Le fait de la réciter avec un Mynian n'est qu'un plus.

C'est pourquoi il me semble qu'il vaut mieux le réciter Samedi soir sans Mynian.

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Il existe une grande controverse entre nos maîtres au sujet des bananes quant au fait de savoir si leur bénédiction est Haadama ou Haets.

En pratique l'opinion du Choulh'an Arouh' est que dans ces deux cas la bénédiction à réciter est Haadama (Choulh'an Arouh' chapitre 203).

Toutefois a posteriori si une personne a récité Boré Péri Haets, elle est acquittée et devra goiûter immédiatement de ce fruit pour que sa bénédiction n'ai pas été récitée en vain (Michna Béroura paragraphe 3, H'ayé Adam Celal 51). Ceci étant ils précsient que dès lors qu'on en a consommé une petite quantité, il convient de ne plus en consommer tant qu'on n'a pas récité Boré Péri Haadama sur un autre légume, pour ne pas profiter de ce fruit alors que la bénédiction a mal été récitée, et qu'on n'ait peut être pas acquitté.

Au sujet des fraises, il en va de même (Cf Igerot Moché Tome 1 chapitre 96).

Kol touv!