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pierrem

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Toutes les questions posées par pierrem

Chabbat

Bal à chabbat

- Vendredi 09 mars 2018 à 15h00 vu 755 fois

Chalom Rav après l'histoire du lashon hara j'ai une question de halacha sur chabbat pour retomber sur ses pieds... ou pas.

Une amie non-juive m'a invité à un bal (12 euros l'entrée) qui tombe chabbat.

Je sais que évidemment ce sera très déconseillé d'y aller pour plusieurs raisons (environnement non juif, pb tsniout, contraire à l'esprit du chabbat, etc...), mais je me posais la question de savoir si c'était interdit au niveau de la halacha stricte dans la mesure ou :

 

--> elle me paye le billet à l'avance

--> elle porte ce billet et se "charge de tout"

---> le bal est à côté de chez moi Il me semble donc que je pourrais en organisant à l'avance ne pas enfreindre aucuns des "interdits fondamentaux",

Je précise que j'ai très peu d'amis juifs, famille non pratiquante donc pour moi c aussi une manière de ne pas être seul ce jour là...

Merci bien CDL

Chalom !

 

Je comprend votre calcul de Halakha. Sachez simplement que ce que vous appelez très déconseillé c'est aussi un déconseil fondamental.

Je vous recommande plutôt de passer du temps avec vos amies juives, et de vous faire de nouvelles amies juives.

Où habitez vous ? 

 

Je vous assure vous n'avez rien à gagner à passer un Chabbat dans cet environnement. Je lis à vos questions que vous êtes très consciencieuse, il faut à présent être bien guidée pour pouvoir progresser davantage Béézrat Hacem !

 

Kol touv !

Tsédaka et Maasser

tsedaka pourquoi des limites ?

- Jeudi 15 mars 2018 à 23h51 vu 610 fois

Chalom rav

Je suis encore célibataire revenus modestes de 1000 euros par mois.

Je donne 200 euros par mois soit 20 pour cent à un ami dans le besoin qui a mal tourné hélas.

Dans ma situation dois je lui donner encore plus pour l'aider ou économiser en vue de pouvoir fonder un foyer ?

En effet le bon sens voudrait la deuxième solution.

Mais j'ai entendu quelque part que dans le judaïsme la fin ne justifie pas les moyens.

Donc la fondation hypothétique d'un foyer quelque part ne m'appartient pas et je devrais me concentrer d'abord sur les défis qui se posent à moi dans l'immédiat à savoir aider cet ami donc lui donner encore plus.

Qu'en pensez vous ? Kol touv

Ps d'un autre côté je me dis à l'instant que la fondation d'un foyer je peux commencer à la préparer et y travailler des maintenant également. Bref ou est la priorité ?

Chalom Ouvrakha !

 

Tout d'abord vous avez raison que le fait de fonder un foyer est une priorité pour vous, et si vous pensez que des problèmes parallèles peuvent être une raison de tarder cette échéance c'est une erreur.

Donc déjà, dans votre esprit commencez à chercher une personne adéquate pour fonder un foyer de Torah etc. Béézrat Hachem et priez d'ores et déjà que D. vous aide à y parvenir Béézrat Hachem. 

 

En ce qui est de votre première question, je me tiens de vous dire que Baroukh Hachem vous êtes d'une générosité inégalable, mais malgré tout l'opinion est qu'il ne faut pas donner plus que 1 cinquième de ses revenus. Il s'agit effectivement d'une Takana de 'Hakhamim dont le but est de faire que l'homme n'en arrive pas à une situation où il a besoin de demander de la Tsédaka pour lui même.

 

Cf. Guémara Kétoubot Daf 50 a.

 

Béhatsla'ha ! 

Lachon Hara (médisance)

Lashon hara fête entre amis

- Mardi 27 février 2018 à 01h12 vu 964 fois

Chalom Rav

Merci pour votre site et vos vidéos !

 

Une de mes meilleures amies avait organisé une fête entre amis à laquelle j'étais invité.

 

Pour des raisons qui la concernent et qui me sont inconnues, elle m'a fait part qu'elle avait fait exprès de ne pas inviter une fille appelons la A.

 

J'avais eu avec A un léger différend quelques années auparavant mais qui s'était résolu en entente cordiale, et depuis ces années je ne revoyais plus A (statu quo).

 

Le problème est que mon amie a été pressée par les amis de A qui lui demandait " pk n'invites tu pas A ? ".

 

Et mon amie, ne pouvant assumer de dire la vraie raison ou de dire "parce que je ne l'aime pas", ou "pas envie", m'a utilisé contre mon gré et à mon insu en disant quelque chose comme "pour que Pierre (moi) soit à l'aise" voire même si elle m'a menti "pk Pierre (moi) ne veut pas".

 

L'ayant appris de la bouche même de ma meilleure amie qui trouvait ca normal, j'ai aussitôt été choqué.

 

A la soirée en question A est finalement venue, je l'ai pris à part et lui ai dit que je n'avais rien contre elle, nous avions dépassé nos problèmes, que je l'appréciais etc...

 

La question est : dois je aller pour dissiper tout malentendu jusqu'à " balancer " ma meilleure amie en disant à A que la vérité c'est que ma meilleure amie a trouvé une excuse pour ne pas l'inviter ? Car je me dis que si je ne fais pas ca, A gardera toujours un doute, elle se dira toujours que je me suis rattrapé. Ceci dit en faisant ça je mettrai ma meilleure amie dans une situation gênante.

 

Car elle et A se cotoient au quotidien alors que moi comme je disais je suis très éloigné maintenant de A.

 

En d'autres termes principe absolu ou bon sens accomodant ?

 

Voilà j'espère avoir été clair, il me semble que cela concerne les problèmes de lashon hara et que c'est un cas intéressant.

 

Merci beaucoup de votre éclairage, CDL,

Chalom Ouvrakha !

 

Vous avez raison que c'est un cas complexe.

Votre amie a tout d'abord très mal fait de dire que c'est vous qui ne voulez pas que A vienne. C'est interdit de dire des choses de ce genre.

A la rigueur elle aurait pu dire qu'elle le fait pour que vous vous soyez à l'aise mais comme venant de sa propre initiative, sans même vous avoir interrogé à ce sujet.

C'est clair que vous n'êtes pas tenu d'avoir votre immage abîmée aux yeux de A sous prétexte que votre amie n'a pas voulu l'inviter et qu'elle s'est servi de ce prétexte.

 

Il faudrait d'abord savoir si A a entendu ce prétexte ou pas.

 

Si oui, je vous recommande de demander à votre meilleure amie de dire à A qu'il y a eu un malentendu, et qu'elle n'a pas été invitée parce que votre amie pensait que celà vous dérangerait mais qu'aorès coup il s'est avéré que cela ne vous dérange pas du tout etc. et je pense que de cette façon tout sera résolu de la façon la meilleure.
 

Si je n'est pas été clair ou que cela ne s'arrange pour une raison ou une autre revenez vers moi (même si tout s'arrange vous pouvez avec plaisir revenir vers moi, au contraire ça me fera plaisir de savoir que mon conseil a marché et surtout que le Chalom est revenu au sein du peuple juif). 

 

Kol touv !

Questions liées aux problèmes d'argent

et merci!!

- Jeudi 12 avril 2018 à 01h52 vu 657 fois

merci pour ce site (j'ai oublié le principal)

Avec plaisir !

Problème avec un supérieur au travail

- Jeudi 12 avril 2018 à 01h51 vu 1033 fois

Bonjour Rav!

 

Je suis guitariste dans un restaurant tous les soirs sur Paris.

 

Le patron a quatre restaurants mais est rarement présent dans le mien, confié à la responsabilité d'un employé "en chef".

 

Mon contrat avec le restaurant est totalement libre c'est à dire que je ne suis pas salarié mais à mon compte.

 

Le problème est que mon responsable est infect avec moi, se conduit comme si le resto lui appartenait, et semble faire tout pour que je le quitte, me met régulièrement la honte devant les clients, etc...

 

Ma question encore une fois concerne les lois du lashon hara.

 

Ai-je le droit d'en parler au patron ?

 

J'ai entendu il y a pas longtemps un excellent cours sur Espace Torah où un rabbin disait que subir une honte paradoxalement était bien car nos péchés étaient pardonnés etc...

 

Donc j'hésite je me dis que subir cette situation m'apporte des mérites, qui plus est ce responsable casse pieds a peut etre des problèmes et il est vrai travaille beaucoup, est peut-être jaloux de moi car à l'heure je suis beaucoup mieux payé que lui etc...

 

J'hésite donc entre subir ça en espérant que ca m'apporte des mérites et au passage ca me dérange pas pour gagner l'argent. J'avais même pensé lui faire un cadeau comme j'ai entendu aussi qu'il fallait offrir un cadeau à ses "ennemis".

 

Ou alors je me dis mieux vaut ne pas jouer au héros et prévenir le patron pour que le responsable se "calme" un peu.

 

Je me demande en plus de ça si j'ai le droit halachiquement parlant d'en parler aux autres serveurs et aux clients habitués du restaurant, qui sont témoins souvent des "rudesses" du responsable.

Chalom Ouvrakha !


Je comprend votre doute. 

 

Le conseil d'offrir un cadeau peut effectivement être excellent ! Quelque fois cela peut de façon magique résoudre grand nombre de conflits etc. 

 

Mais si cela n'aide pas, je ne pense pas que vous devez vous laisser écraser, pour ajouter des mérites. C'est un peu comme si je vous disais de manger tous les jours que du pain et de l'eau pour vous ajouter des mérites, ou ne pas prendre de doliprane lorsque vous avez mal à la tête pour souffrir davantage et obtenir expiation de vos fautes et avoir des mérites. 

 

Ce dont on parle lorsque'on dit qu'en se taisant quelque fois on s'ajoute des mérites c'est lorsque cela arrive de façon occasionnelle, mais vous n'avez pas le devoir de mettre votre joie, bonheur etc. en péril pour avoir des mérites. Les mérites que vous pourrez accumuler en étant sereine seront infiniment plus importants !

 

Veuillez écouter ce cours il vous donnera quelque pistes de réflexion :

 

http://www.torahacademy.fr/conference-tou-bichvat

 

Kol touv et Béhatsla'ha !

Médailles obtenues dans les Quizz

L'étude d'aujourd'hui est dédiée à la réfoua chélema de Rabbi Avraham Moréno Albert Ben Rivka. 

Merci de prier pour lui !!