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Yael80

femme
44 ans
Issy les Moulineaux
France
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Toutes les questions posées par Yael80

Rituel de la prière

Femmes et Brakhot

- Jeudi 02 mars 2017 à 11h40 vu 643 fois

Shalom Rav,

 

Je vous remercie pour votre réponse à ma précédente question sur les minhaguim. J'ai une autre question suite au visionnage de votre cours sur les femmes et les brakhot du Shéma: J'avais entendu que la braha de Baroukh Chéamar ne peut pas non plus être récitée avec le nom d'Hachem pour une femme (sépharade), est-ce le même principe que pour les brakhot du shéma?

 

Dans certains sidourim il est écrit que dans le Birkat Hamazone les femmes ne doivent pas dire "véal britekha chekhatamta bivsarénou". Que pensez vous qu'il convient de dire? Quels sont les décisionnaires qui interdisent ou autorisent?

 

D'autre part, savez vous s'il est possible de se procurer le sidour "pour femmes" du Rav (je suis en France et ai l'habitude de prier dans le Patah Eliahou ou le Erev Pifiot qui contient de nombreux commentaires sur les prières) et si cela "vaut le coup" (c'est à dire s'il n'y a pas une si grande différence, autant continuer comme j'ai l'habitude, sauf s'il y a par exemple des commentaires en français qui pourraient être profitables)

 

Merci.

Shalom Rav,

 

Chalom Ouvrakha!

 

Je vous remercie pour votre réponse à ma précédente question sur les minhaguim.

 

Avec plaisir, j'espère avoir été utile. 

 

J'ai une autre question suite au visionnage de votre cours sur les femmes et les brakhot du Shéma: J'avais entendu que la braha de Baroukh Chéamar ne peut pas non plus être récitée avec le nom d'Hachem pour une femme (sépharade), est-ce le même principe que pour les brakhot du shéma?

 

Exactement. Telle est l'opinion du Rav Ovadia. Mais la coutume la plus répandue a toujours été que les femmes Séfarades peuvent la réciter avec Brakha comme d'ailleurs celles de Kriat Chéma. Telle est la coutume du Caf Ha'haïm, du Rav Abba Chaoul, du Rav Mordékhaï Eliahou etc. 

 

Dans certains sidourim il est écrit que dans le Birkat Hamazone les femmes ne doivent pas dire "véal britekha chekhatamta bivsarénou". Que pensez vous qu'il convient de dire? Quels sont les décisionnaires qui interdisent ou autorisent?

 

Il faut le dire!

 

D'autre part, savez vous s'il est possible de se procurer le sidour "pour femmes" du Rav (je suis en France et ai l'habitude de prier dans le Patah Eliahou ou le Erev Pifiot qui contient de nombreux commentaires sur les prières) et si cela "vaut le coup" (c'est à dire s'il n'y a pas une si grande différence, autant continuer comme j'ai l'habitude, sauf s'il y a par exemple des commentaires en français qui pourraient être profitables)

 

Vous pouvez continuer dans votre Sidour. Tout est quasiment identique à quelques choses prêts tels que les deux exemples dont vous avez fait mention!

 

Merci.

 

Béhatslah'a!

 

Coutumes

Quel minhag?

- Mardi 28 février 2017 à 11h06 vu 769 fois

Shalom Rav,

 

Avec mon mari, nous étudions de plus en plus la halakha en détail et essayons de faire les choses chaque jour un peu mieux.

 

Le problème c'est que nous sommes parfois un peu "perdus" au milieu de tous ces minhaguim et ne savons pas quel rav suivre.

 

C'est assez compliqué car de mon coté je suis convertie (dans une communauté Sepharade) et mon mari n'a pas vraiment de tradition familiale. Sa famille est d'origine Algérienne du coté de son père, mais ils ne sont pas pratiquants (juste "le minimum", on peut dire qu'il est revenu vers la religion en surtout depuis que nous nous connaissons).

 

Par exemple, nous consommons le poisson avec du fromage, alors que certains sépharades ne le font pas, nous ne mangeons pas de riz à Pessah, pour le mikve on m'a appris de dire la brakha une fois dans l'eau mais j'ai su récemment que c'était une coutume ashkénaze...

 

La plupart des cours de Torah (sur internet) mentionnent la halakha d'après le Rav Ovadia Yossef, mais j'ai cru comprendre que pour les communautés originaires d'Afrique du Nord ce n'était pas forcément le plus adapté.

 

Au final, j'ai l'impression que nous faisons un peu un mélange de plein de choses et je ne sais pas si c'est bien ou s'il faut changer des choses dans nos habitudes pour mieux faire.

 

Comme nous n'avons pas vraiment de "référence familiale" fixe, nous suivons parfois un peu notre coeur ou ce qui nous semble "logique".

 

En tous les cas, nous essayons de ne pas nous appuyer seulement sur les avis et koulot "qui nous arrangent' car cela ne semble pas correct d'agir ainsi mais d'une manière générale, j'avoue que je me sens un peu perdue.

 

Et j'ai l'impression que plus nous étudions, plus nous apprenons de choses et plus nous sommes perdus.

 

Je vous remercie de vos conseils. (PS, nous habitons en France, je ne sais pas si cela change quelque chose)

Chalom Ouvrakha!

 

Oui je comprend très bien votre problème. Je vous recommande de vous fixer un Rav et de l'interroger quand vous avez des questions précises et de vous fier à lui.

Par exemple, en ce qui est du poisson et du lait puisque la majorité des décisonnaires Séfardes sont contre, je vous recommande de ne pas le faire à mojns que ce soit difficile pour vous auquel cas vous avez sur qui vous reposer.

En ce qui est de l'immersion, je vous recommande de faire la bénédiction avant puisque telle est la Halakha selon le Choulh'an aroukh.

En ce qui est du riz à Pessah' si la coutume de la famille de votre mari traditionnaliste mangeait du riz mangez vous aussi, sinon, non.

 

Je veux juste vous rassurer, ne faites pas un plat des Minhagim, l'essentiel c'est la Halakha, après cela ne change déjà plus grand chose. Toutes les coutumes sont valables l'essentiel étant dans ce qui est que la coutume suivie soit en adhésion totale avec la Halakha.

Béhatslah'a!

Médailles obtenues dans les Quizz

L'étude d'aujourd'hui est dédiée à la réfoua chélema de Rabbi Avraham Moréno Albert Ben Rivka. 

Merci de prier pour lui !!