Votre compte

בס"ד

Accueil > Yossef.Paris
Envoyez à un ami

Envoyer cette page à un ami

X

Yossef.Paris

homme
60 ans
PARIS
France
Badges
  • Badge question réponse

5médaille d'or
1médaille d'argent
1médaille de bronze

Toutes les questions posées par Yossef.Paris

Fêtes juives

Bircat Ilanot

- Mardi 04 avril 2017 à 10h24 vu 728 fois

Chalom Rav,

Il y a deux arbres cacher prés de chez moi.

Puis-je faire Bircat Ilanot avant pessah, ou vaut-il mieux attendre Hol Amoed?

Vaut-il mieux attendre un hypothétique minyan pendant hop amoed pour bircat Ilanot ou la faire seul avant la fête?

Pessah cacher vessameah. Kol touv.

Chalom Ouvrakha !

 

C'est quoi des arbres cacher ?

 

Quoi que vous fassiez de ecs deux choses est bonne.

Le mieux, peut être tout de suite sans Mynian pour faire preuve d'empressement et éviter de rater la Mitsva plus tard.

Kol touv !

Viande à melavé malka

- Jeudi 04 août 2016 à 15h28 vu 924 fois

Chalom Rav, J'ai l'habitude de faire délavé malka avec de la viande. dois-je m'abstenir d'en manger cette semaine ou pas?

Kol touv

Chalom!

 

Je vous fait un copier collé de la partie qui vous concerne du cours écrit qui figure sur le site:

 

http://www.torahacademy.fr/lois-de-ben-hametsarim

 

Les restes carnés des repas de Chabat, pourraient, selon certains décisionnaires être  consommés durant la semaine, y compris la semaine du 9 Av.

Cependant, en pratique, on s’en abstiendra, plus particulièrement de nos jours où les congélateurs proposent une alternative d’application aisée.

En revanche, celui qui a la coutume de consommer chaque samedi soir un Melavé Malka à base de viande, pourra se baser sur les nombreux décisionnaires qui l’autorisent. Cette autorisation est valable même pour le Melavé Malka de Chabat Hazon.

 

Kol touv!

Matsa achira: Permis pendant Pessah'?

- Mardi 19 avril 2016 à 04h12 vu 1227 fois

kvod harav, Est-il permis de consommer de la matsa achira à pessah, du moins pendant ho amoed? Hag sameah.

Chalom

 

L'opinion du Choulh'an Arouh' est de l'autoriser.

 

Le problème est que je pense qu'il n'existe pas de Matsa Achira faite à partir de farine Chmoura, or à partir d'une farine non Chmoura ce n'est pas Méhadrin.

 

Au sujet des fameux Papouchado, en dehors du Hechcher qui n'est pas excellent puisque c'est celui de la Rabbanout de H'olon, certains Rabbanim se sont opposés à cela pendant Pessah', prétendant entre autre que le farine n'est pas Chmoura, mais aussi qu'il y aurait des éléments chimiques qui favosiraient la fermentation et feraient en sorte qu'il y ait fermentation en moins que 18 minutes. Les Papouchado seraient donc H'amets d'après eux.

 

En conclusion, le Rav Ovadia zatsal a autorisé ces Papouchade. Le Rav Bakchi Doron Chlita (Chout Bynian Av) les a interdit.

 

Kol touv!

havdala et lechev bassouca

- Mardi 29 septembre 2015 à 21h06 vu 925 fois

Bonsoir rav,

 

Faut-il faire lechev bassouca dans le kiddouch de la havdala de mostaé yom tov chéni?

 

Kol touv et moadim bessimha

Chalom Ouvrah'a!

 

Non, on ne récite pas la bénédiction de Léchev Bassouka tant qu'on ne consomme pas une quantité de plus de 56 grammes de pain pour les Séfarades ou au de 172 grammes de gâteaux, et pour les Ashkénazes à partir de plus de 56 grammes de gâteaux, mais sur du vin uniquement ou du jus de raisin, non.

 

Kol touv et Moadim Lésimh'a!

Nouveau vêtement hol hamoed?

- Lundi 06 avril 2015 à 13h49 vu 1246 fois

Chalom rav,

Nous sommes le premier jour de hol hamoed pessah, et je constate que je n'aurai pas assez de chemises blanches pour chevii chez pessah et chabbat.

J'ai des chemises neuves en réserve.

D'autre part je suis dans l'année de mon père.

Puisqu'il est interdit de faire de la lessive, puis-je faire porter ces nouvelles chemises par un voisin une demi-heure et les porter pour la fête?

Merci de votre réponse.

Kol Touv.

Chalom Ouvrah'a!

 

Je vous avait écrit une réponse à ce sujet: http://www.torahacademy.fr/vetements-sur-lesquels-on-ne-fait-pas-chehe-heyanou.

 

Les trois conditions ne sont pas déjà réunies?

 

Sinon, il faudrait que cette personne les portent plus de temps ainsi que je l'ai écrit dans cette même réponse!

 

Kol touv et Bessorot tovot!

Faut il offrir des cadeaux à hanouka?

- Jeudi 11 décembre 2014 à 21h51 vu 1911 fois

chalom rav,

y a t-il une tradition d'offrir des cadeaux aux enfants à hanouka, ou bien est ce un comportement copié des goyim?

Chalom Ouvrah'a!

 

Il me semble que ce ne serait pas une véritable erreur de dire que pour certaines personnes cette attitude a été copiée des non juifs dont leur fête tombe justement à cette même période.

C'était peut être une façon de décomplexer nos enfants.

 

Toutefois si on creuse un peu plus, il existe une coutume de donner des Dmé H'anoucca, à savoir des pièces de Hannoucca aux enfants ces jours ci de H'annouca, ainsi que l'écrit le Moed léh'ol h'aï  chapitre 27 paragraphe 77. Il donnes des explications à cette coutume d'après la Kabbale.

 

Avouez que ce n'est pas très lointain de cadeaux.

 

Dans le livre Piské Téchouvot au chapitre 670, il rapporte ce qu'écrit le Avné Nézer que l'une des raisons pour laquelle on joue avec les enfants aux toupies pendant H'annouca est pour qu'ils restent reveillés jusqu'à l'heure de l'allumage de la Hanoucia et qu'on puisse ainsi diffuser le miracle aux membres de la maison etc. Et en particulier dans les endroits où on allume la Hanouccia à l'intérieur et les seules personnes qui participent à l'allumage en dehors des parents, sont les enfants.

 

C'est un peu dans ce sens, veut dire le Piské techouvot, qu'on leur promet des pièces en cadeau, de sorte à les tenir réveillés jusqu'alors.

 

Il existe aussi un Choulh'an Arouh' explicite qui demande d'offrir aux enfants des "sucreries" en l'honneur de Yom Tov afin de les réjouir. (Choulh'an Arouh' chapitre 519). C'est peut être dans ce sens qu'on offre à nos enfants à Hanouka des cadeaux pour les réjouir.

 

Retenez de toutes façons que offrir un cadeau à ses enfants est une Mitsva de H'essed, dans la mesure où on tâche bien de ne pas TROP les gâter. Si en plus on fait en sorte d'associer dans leur esprit le plaisir du cadeau avec le plaisir spirituel d'un événement juif de cette portée, c'est indéniablement une bonne chose de faite pour leur éducation.

 

H'annouca Saméah'!

H'ol hamoèd

Nouveau vêtement hol hamoed?

- Lundi 06 avril 2015 à 13h49 vu 1246 fois

Chalom rav,

Nous sommes le premier jour de hol hamoed pessah, et je constate que je n'aurai pas assez de chemises blanches pour chevii chez pessah et chabbat.

J'ai des chemises neuves en réserve.

D'autre part je suis dans l'année de mon père.

Puisqu'il est interdit de faire de la lessive, puis-je faire porter ces nouvelles chemises par un voisin une demi-heure et les porter pour la fête?

Merci de votre réponse.

Kol Touv.

Chalom Ouvrah'a!

 

Je vous avait écrit une réponse à ce sujet: http://www.torahacademy.fr/vetements-sur-lesquels-on-ne-fait-pas-chehe-heyanou.

 

Les trois conditions ne sont pas déjà réunies?

 

Sinon, il faudrait que cette personne les portent plus de temps ainsi que je l'ai écrit dans cette même réponse!

 

Kol touv et Bessorot tovot!

Soukkot

havdala et lechev bassouca

- Mardi 29 septembre 2015 à 21h06 vu 925 fois

Bonsoir rav,

 

Faut-il faire lechev bassouca dans le kiddouch de la havdala de mostaé yom tov chéni?

 

Kol touv et moadim bessimha

Chalom Ouvrah'a!

 

Non, on ne récite pas la bénédiction de Léchev Bassouka tant qu'on ne consomme pas une quantité de plus de 56 grammes de pain pour les Séfarades ou au de 172 grammes de gâteaux, et pour les Ashkénazes à partir de plus de 56 grammes de gâteaux, mais sur du vin uniquement ou du jus de raisin, non.

 

Kol touv et Moadim Lésimh'a!

Pessah'

Matsa achira: Permis pendant Pessah'?

- Mardi 19 avril 2016 à 04h12 vu 1227 fois

kvod harav, Est-il permis de consommer de la matsa achira à pessah, du moins pendant ho amoed? Hag sameah.

Chalom

 

L'opinion du Choulh'an Arouh' est de l'autoriser.

 

Le problème est que je pense qu'il n'existe pas de Matsa Achira faite à partir de farine Chmoura, or à partir d'une farine non Chmoura ce n'est pas Méhadrin.

 

Au sujet des fameux Papouchado, en dehors du Hechcher qui n'est pas excellent puisque c'est celui de la Rabbanout de H'olon, certains Rabbanim se sont opposés à cela pendant Pessah', prétendant entre autre que le farine n'est pas Chmoura, mais aussi qu'il y aurait des éléments chimiques qui favosiraient la fermentation et feraient en sorte qu'il y ait fermentation en moins que 18 minutes. Les Papouchado seraient donc H'amets d'après eux.

 

En conclusion, le Rav Ovadia zatsal a autorisé ces Papouchade. Le Rav Bakchi Doron Chlita (Chout Bynian Av) les a interdit.

 

Kol touv!

Bircat Ilanot

- Mardi 04 avril 2017 à 10h24 vu 728 fois

Chalom Rav,

Il y a deux arbres cacher prés de chez moi.

Puis-je faire Bircat Ilanot avant pessah, ou vaut-il mieux attendre Hol Amoed?

Vaut-il mieux attendre un hypothétique minyan pendant hop amoed pour bircat Ilanot ou la faire seul avant la fête?

Pessah cacher vessameah. Kol touv.

Chalom Ouvrakha !

 

C'est quoi des arbres cacher ?

 

Quoi que vous fassiez de ecs deux choses est bonne.

Le mieux, peut être tout de suite sans Mynian pour faire preuve d'empressement et éviter de rater la Mitsva plus tard.

Kol touv !

Hannouka

Faut il offrir des cadeaux à hanouka?

- Jeudi 11 décembre 2014 à 21h51 vu 1911 fois

chalom rav,

y a t-il une tradition d'offrir des cadeaux aux enfants à hanouka, ou bien est ce un comportement copié des goyim?

Chalom Ouvrah'a!

 

Il me semble que ce ne serait pas une véritable erreur de dire que pour certaines personnes cette attitude a été copiée des non juifs dont leur fête tombe justement à cette même période.

C'était peut être une façon de décomplexer nos enfants.

 

Toutefois si on creuse un peu plus, il existe une coutume de donner des Dmé H'anoucca, à savoir des pièces de Hannoucca aux enfants ces jours ci de H'annouca, ainsi que l'écrit le Moed léh'ol h'aï  chapitre 27 paragraphe 77. Il donnes des explications à cette coutume d'après la Kabbale.

 

Avouez que ce n'est pas très lointain de cadeaux.

 

Dans le livre Piské Téchouvot au chapitre 670, il rapporte ce qu'écrit le Avné Nézer que l'une des raisons pour laquelle on joue avec les enfants aux toupies pendant H'annouca est pour qu'ils restent reveillés jusqu'à l'heure de l'allumage de la Hanoucia et qu'on puisse ainsi diffuser le miracle aux membres de la maison etc. Et en particulier dans les endroits où on allume la Hanouccia à l'intérieur et les seules personnes qui participent à l'allumage en dehors des parents, sont les enfants.

 

C'est un peu dans ce sens, veut dire le Piské techouvot, qu'on leur promet des pièces en cadeau, de sorte à les tenir réveillés jusqu'alors.

 

Il existe aussi un Choulh'an Arouh' explicite qui demande d'offrir aux enfants des "sucreries" en l'honneur de Yom Tov afin de les réjouir. (Choulh'an Arouh' chapitre 519). C'est peut être dans ce sens qu'on offre à nos enfants à Hanouka des cadeaux pour les réjouir.

 

Retenez de toutes façons que offrir un cadeau à ses enfants est une Mitsva de H'essed, dans la mesure où on tâche bien de ne pas TROP les gâter. Si en plus on fait en sorte d'associer dans leur esprit le plaisir du cadeau avec le plaisir spirituel d'un événement juif de cette portée, c'est indéniablement une bonne chose de faite pour leur éducation.

 

H'annouca Saméah'!

Période du 9 Av.

Viande à melavé malka

- Jeudi 04 août 2016 à 15h28 vu 924 fois

Chalom Rav, J'ai l'habitude de faire délavé malka avec de la viande. dois-je m'abstenir d'en manger cette semaine ou pas?

Kol touv

Chalom!

 

Je vous fait un copier collé de la partie qui vous concerne du cours écrit qui figure sur le site:

 

http://www.torahacademy.fr/lois-de-ben-hametsarim

 

Les restes carnés des repas de Chabat, pourraient, selon certains décisionnaires être  consommés durant la semaine, y compris la semaine du 9 Av.

Cependant, en pratique, on s’en abstiendra, plus particulièrement de nos jours où les congélateurs proposent une alternative d’application aisée.

En revanche, celui qui a la coutume de consommer chaque samedi soir un Melavé Malka à base de viande, pourra se baser sur les nombreux décisionnaires qui l’autorisent. Cette autorisation est valable même pour le Melavé Malka de Chabat Hazon.

 

Kol touv!

Bénédictions

Kavanot

- Mercredi 02 septembre 2015 à 18h08 vu 993 fois

Bonjour rav,

 

Pouvez vous m'expliquer le mécanisme des kavanot des berahot quand on doit penser à la fois au nom d'Hachem ( adon hakol etc,) comme rapporte michna broura, et à la fois par exemple à rendre quitte les autres membres de la famille du motsi, ou encore des kavanot de shinouï makom.

 

Merci beaucoup. Kol touv

Chalom!

 

Excusez moi j'ai du mal à cerner votre question.

Pouvez vous m'expliquer plus en détail quelle est la problématique pour que je puisse Béézrat Hachem y répondre.

 

Merci et Kol touv!

Shinouï Makom vers un balcon?

- Mardi 21 avril 2015 à 14h54 vu 841 fois

Bonjour rav,

Est ce que sortir sur le balcon sans toit, (cacher pour la soucca) s'appelle Shinouï Makom pour les berahrot telles que mezonot ou chéakol?

Merci d'avance

Chalom Ouvrah'a!

 

Au sujet de Mézonot ce n'est pas évident qu'il y ait un statut de Chinouy Makom (d'après le Choulh'an Arouh': Oui. D'après le Rama: Non et en pratique même les Séfarades ne réitèrent pas la bénédiction dès lors que la quantité consommée a été de Cazaït. décisionnaires au chapitre 178).

 

Au sujet de Chéhakol il y a effectivement un problème de Chinouy Makom dès lors qu'on sort d'un lieu couvert vers un autre lieu non couvert.

 

Toutefois l'opinion du Rav Oyerbah' zatsal et nombreux autres décisionnaires est que lorsqu'il s'agit d'un balcon qui est le prolongement de la maison, à savoir qu'il fait partie intégrante de la maison ou lorsqu'il y a une cour attenante à la maison et entourée de barrières, on considère qu'il n'y a pas de loi de Chinouy Makom.

 

Message pour tous les internautes: J'imagine que certains ne connaissent pas les lois de Chinouy makom du tout, ne vous en faites pas, on fera des cours à ce sujet dans la rubrique bénédictions à l'occasion Béézrat Hachèm.

 

Kol touv!

Fêter un anniversaire : C'est juif ???

- Samedi 16 décembre 2017 à 22h07 vu 10357 fois

Chalom Rav,

 

Ma fille de 15 ans m'a rapporté que sa prof de kodesh lui a affirmé que le jour de son anniversaire, elle a le pouvoir de bénir.

 

Donc elle a demandé à ma fille de la bénir. Elle lui a dit que le mazal est plus fort ce jour là, et qu'on a donc le pouvoir de bénir.

 

Rentrée à la maison toute contente et prête à bénir tout l'immeuble, je lui ai répondu qu'un Juif a le pouvoir de bénir n'importe quel jour, c'est à dire de demander à Hachem -- et à Hachem seul -- d'agir en faveur de cette personne, de la guérir ou de lui venir en aide. Je lui ai dit aussi qu'il n'y avait aucun rapport avec le mazal.

 

Ma question est simple: qui a raison de la prof de kodesh habad ou de moi ? Et se passe-t-il quelque chose de particulier le jour de l'anniversaire? (J'ai jugé nécessaire de préciser que la prof est habad, puisque j'ai constaté que dans les minyanim habad, on faisait monter à la Tora de préférence les gens dont c'est l'anniversaire en hébreu ce jour là.)

 

Kol Touv et Hanouka Sameah ! 

Chalom Ouvrakha !

 

J'aimerai séparer les propos en trois parties distinctes.

 

La première concerne le mpoint dont vous parlez, à savoir si ce jour est particulier ou non.

 

Il est écrit dans le Talmid Yérouchalmi (Roch Hachana chap. 3 § 8), interprété par le Korban Haéda : « C’est rare qu’une personne soit endommagée le jour de son anniversaire, parce que le Mazal qui règne ce jour-là, l’aide.

 

Se basant sur ces propos le Hillel Omer (Ora’h ‘Haïm chap. 139) affirme « Il se trouve que le jour d’anniversaire est propice à l’annulation de tous les mauvais décrets. C’est un jour de réussite et de Mazal ! ».

 

Le Ben Ich ‘Haï (Parachat Réé § 17) écrit « Il y en a qui ont la coutume de célébrer chaque année leur jour d’anniversaire comme étant un Yom Tov, et c’est un bon signe, et telle est la coutume chez nous ! ».

 

Le Rabbi Tsadok Hacohen de Loublin écrit (Résissé Layla, Divré ‘Halomot § 20) : « Le jour où l’homme est né, c’est le jour il est au summum de son Mazal, et il n’a rien à craindre ce jour là etc. Comment ce fait-il alors que l’on dise que souvent les Tsadikim décèdent justement le jour d’anniversaire ? C’est justement parce que pour les Tsadikim le jour du décès est le jour où ils s’élèvent et où ils méritent la lumière éternelle etc. ».

 

La seconde est de savoir qu'est ce que nous devons faire ce jour-ci ? 

 

Le ‘Hatam Sofer (Choul’han Aroukh Or Ha’haïm chap. 568 s’exprime en ces termes « Le jour du décès d’un juif c’est un jour de jugement pour lui, et il a besoin de réparation. A fortiori le jour d’anniversaire, jour où l’homme est venu au monde, c’est certain que c’est un jour d’introspection et c’est un peu comme son jour de Roch Hachana pour toujours ! ».

 

Le Mélitsé Ech (page 54) recommande « Le jour d’anniversaire, l’homme suppliera D. de lui permettre de progresser en Torah et en Yrat Chamaïm, et il est recommandé qu’il se rende auprès de Tsadikim pour qu’ils le bénissent ! ».

 

Le Rav Palagi écrit (Tsédaka Lé’haïm Maarékhet Ayin § 556) : « Il multipliera la Tsédaka ce jour-ci ! ».

 

Le Or’hot David (page 59) écrit : « L’homme doit ce jour-ci prendre des engagements, s’introspecter et s’engager à se bonifier et à corriger ses manquements ! ».

 

On dit du Kétav Sofer (le fils du ‘Hatam Sofer) qu’il avait la coutume de faire un Siyoum Massékhet chaque année le jour de son anniversaire (‘Hout Haméchoulach).

 

Dans l’introduction au livre Ktav Sofer (sur la Paracha Ohel Léa page 49) il est rapporté que le jour où le ‘Hatam Sofer est arrivé à l’âge de 54 ans (en hébreu 54 = נד, les même lettres que le mot דן  qui signifie juger), on l’a aperçu en train de pleurer intensivement, il s’est alors exprimé en ces termes : « J’ai aujourd’hui 54 ans et je me jugesur ce que je sais n’avoir ni Torah ni sagesse etc. ». Lorsque son élève l’a entendu il s’est mis lui aussi à pleurer en s’exclamant « si le feu à une emprise sur les cèdres, que répondront les petits arbustes ?! ». 

 

Enfin, qu'en est-il de célébrer des festivités en l'honneur de l'anniversaire. Je ne veux pas vous refroidir, surtout que des propos du Ben Ich 'Haï précités il ressort qu'il n'est pas tellement d'accord avec les avis que je vais à présent rapporter. Peut être s'agit-il ici d'une discussion entre nos Sages. Ou peut être que tout dépend de l'état d'esprit dans lequel on célèbres son anniversaire en famille. 

 

Le Admour de Monkatch (Divré Torah chap. 88) écrit : « on n’a jamais entendu ni vu auprès de nos Maîtres et de nos ancêtres qu’ils organisent des fêtes le jour d’anniversaire ».

 

Le Adérét écrit (Néféch David Parachat Vayéchév page 195) : « J’étais très en colère lorsqu’on souhaitait me bénir et me réjouir le jour de mon anniversaire, ce qui n’est pas en adhésion avec l’esprit du peuple saint qui prétend « Il eu mieux valu que l’homme ne naisse pas plutôt qu’il naisse… (Guémara Erouvin)», et donc, pourquoi doit-on se réjouir le jour d’anniversaire alors qu’on ne sait pas si on a apporté quelque chose au monde. Ce ne sont que les Tsadikim qui peuvent se réjouir ce jour-ci… ».

 

Le Arougat Habossem (Ora’h ‘Haïm chap. 215) écrit : « On n’a jamais entendu une telle coutume dans le camp des Israélites, ce n’est qu’une coutume d’ignorants….

 

Le Yad Moché (Rav Moché HaCohen de Gerba) écrit : « De nos jours aussi de nombreuses personnes ont la coutume de fêter leur jour d’anniversaire, en particulier dans les villes d’Europe, et ceci laisse supposer que c’est une coutume ancestrale, mais nous les juifs, beaucoup d’entre nous fixons ce jour comme un jour de jeûne et de repentir, parce que c’est cela l’essentiel, aller après le bon et non après l’agréable.

 

'Hannoucca Saméa'h !

 

Rituel de la prière

Hachem Elokeckhem Emet

- Dimanche 12 octobre 2014 à 16h25 vu 987 fois

Bonjour, A la fin du chéma, le chaliah tsibour doit nous rendre yotsé de "Hachem Elokeckhem Emet".

Comment savoir s'il a eu les cavanot nécessaires? Doit-on faire confiance au chaliah tsibour en toute circonstance ou bien doit on les dire nous mêmes dans le doute?

D'autre part si on prie seul doit-on les dire quand même?

Kol touv.

Chalom Ouvrah'a!

 

Votre question très intéressante ne concerne pas que ces mots, mais aussi le kaddich et la Kédoucha lorsqu'on est soi même en pleine prière et qu'on ne peut s'interrompre etc.

 

Il est vrai que c'est difficile de savoir si l'officiant est suffisamment calé en Halah'a pour savoir qu'il a ces intentions.

 

Des propos du Rav Moché Feinstein (dans ses Téchouvot) il ressort explicitement que même si l'officiant n'a pas eu ces intentions de façon claire, le fait qu'il soit officiant fait qu'il a une intention générale de jouer son rôle, et ceci suffit pour nous acquitter.

 

Des propos de certains autres Décisionnaires il ressort qu'ils ne sont pas d'accord avec cela et qu'il faut que l'officiant ait ces intentions.

 

En général on considère qu'un officiant un peu érudit est tout de même en mesure de savoir ce minimum. On considère aussi qu'un officiant qui est un pur ignorant ne connait pas cela.

 

Le H'ida tranche que si on est tout seul, ou dans la Kriat chéma al hamita etc. on peut dire ces mots là bien qu'on est tout seul. C'est ce qu'on fera si on a un officiant qui est un parfait ignorant.

 

Kol touv!

Manger avant les Birkot Hachah'ar?

- Jeudi 12 février 2015 à 11h17 vu 948 fois

Chalom rav,

Quelles sont les berackhot que l'on peut faire avant les berackhot du matin pour une femme? Par exemple, mon épouse prend son petit déjeuner ( mezonot, chehakol, al hamihia ) après nétilat yadaim et avant les berachkot. doit-elle modifier ou non sa façon de faire. Merci beaucoup. Kol touv

Chalom ouvrah'a!

 

Il est écrit d'après la Halah'a que c'est interdit de manger avant d'avoir procédé à l'office de Chah'arit (Choulh'an Arouh' chapitre 89)!

 

Toutefois de grands Décisionnaires écrivent que cette loi concerne uniquement les hommes et pas les femmes.

 

En effet les femmes n'étant pas tenues de prier toutes les prières et pouvant se contenter de prier q'une seule prière par jour d'après certaines opinions, elle pourrait très bien décider de prier Minh'a et non Chah'arit. Or, ce n'est pas pensable de lui demander de jeûner jusqu'à l'heure de Minh'a.

 

C'est pourquoi elles ne sont pas concernées par l'interdiction de manger avant leur prière.

 

Et ce, en particulier si elle est complètement dispensée de prier parce qu'elle a beaucoup d'enfants etc. ainsi que j'ai expliqué dans le cours suivant:

 

http://www.torahacademy.fr/les-femmes-celibataires-mariees-doivent-elle-prier

 

Mais malgré tout si elle souhaite bien faire l'idéal est de s'efforcer dans la musure du possible de ne rien consommer avant les Birkot hachah'ar vu qu'elle est tenue par ces bénédictions et c'est donc bien de prier ce qu'on peut avant de se préoccuper de ses besoins matériels. 

 

Si elle ne peut se concentrer tant qu'elle n'a pas consommé quelque chose, il est clair qu'on peut se montrer d'autant plus indulgent.  Cf aussi http://www.torahacademy.fr/cafe...au-lait-avant-tefila

 

Kol touv!

Prier en bermuda et veste

- Mardi 28 juillet 2015 à 11h35 vu 916 fois

Chalom rav,

est-il permis de prier en bermuda, couvrant le genou donc, ou interdit?

Kol touv.

Chalom!

 

Veuillez lire la réponse suivante.

 

http://www.torahacademy.fr/vetements-d-ete

 

Kol touv!

Deuil

Nouveaux vêtements pdt le deuil?

- Dimanche 08 mars 2015 à 16h16 vu 1912 fois

Chalom Rav, Je viens de finir les chiva de mon père.

Je n'ai pas très bien compris, dans les livres que j'ai consultés,les interdictions de porter de nouveaux vêtements pendant l'année de deuil.

Est ce que c'est un din qui ne concerne que ceux sur lesquels on fait Chehe'heyanou comme les costumes ou les vêtements hachouvim ou alors sur toute sorte de vêtement comme les chemises. quel est le din pour ceux achetés avant le deuil.

Est ce que c'est pareil que pendant les trois semaines? Kol Touv.

Erev tov!

 

Que D. vous console à vous et à toute votre famille et que vous ne connaissiez plus de souffrances. Amen!

 

Non, ceci ne dépend pas de la bénédiction de Céhéhyanou. Un endeuillé a le droit de réciter la bénédiction de Chéhéyanou sur un nouveau fruit par exemple etc. le problème est le profit que ecla procure de porter un vêtement neuf.

 

Les Sépharades autorisent de le porter une fois que se 

  1. Se sont écoulés les trente jours depuis l'enterrement
  2. Que les amis disent à l'endeuillé que le temps de porter des nouveaux vêtements est arrivé et que cela suffit de continuer à porter toujours les même vêtements.
  3. De le porter la première fête qui se présente suite à ces trente jours.

 

Les trois conditions sont nécessaires ainsi que l'écrit le Rav Ovadia Yossef zatsal dans Yabia Omer (Tome 1 chapitre 25 paragraphe 3).

 

La coutume Achkénaze est de l'interdire durant les 12 premiers mois.

 

Si il y a un cas de grande nécessité il est possible même avant cela de demander à un ami de porter ce nouveau vêtement pendant deux ou trois jours et ensuite c'est autorisé de le porter. (Béer Hagola au nom du Col-Bo rapportés dans le Choulh'an Arouh' chapitre 389).

 

Béssorot tovot!

Nouveau vêtement hol hamoed?

- Lundi 06 avril 2015 à 13h49 vu 1246 fois

Chalom rav,

Nous sommes le premier jour de hol hamoed pessah, et je constate que je n'aurai pas assez de chemises blanches pour chevii chez pessah et chabbat.

J'ai des chemises neuves en réserve.

D'autre part je suis dans l'année de mon père.

Puisqu'il est interdit de faire de la lessive, puis-je faire porter ces nouvelles chemises par un voisin une demi-heure et les porter pour la fête?

Merci de votre réponse.

Kol Touv.

Chalom Ouvrah'a!

 

Je vous avait écrit une réponse à ce sujet: http://www.torahacademy.fr/vetements-sur-lesquels-on-ne-fait-pas-chehe-heyanou.

 

Les trois conditions ne sont pas déjà réunies?

 

Sinon, il faudrait que cette personne les portent plus de temps ainsi que je l'ai écrit dans cette même réponse!

 

Kol touv et Bessorot tovot!

Calcul des 11 mois

- Mercredi 16 décembre 2015 à 22h34 vu 1278 fois

Bonjour Rav.

Pouvez vous me confirmer la date de l'année de mon père, décédé le 8 adar et enterré le 8 adar de l'année dernière. Je crois que l'année aura lieu le 8 chevat et les 12 mois le 8 adar 1. Est-ce exat? Merci.

Chalom Ouvrah'a!

 

Le 12 ème mois se termine le 8 Chévat. Toutes les lois de deuil ne sont désormais plus en pratique à partir de ce moment là.

 

Au sujet de la date de décès pour les années à venir (voire pour celle ci si vous pouvez la marquer) ceci est effectivement le 8 Adar.

 

Veuillez lire cette réponse http://www.torahacademy.fr/premiere-annee-deuil

 

Merci.

Chalom Baït

Maassé Yadeha

- Dimanche 31 décembre 2017 à 10h25 vu 938 fois

Bonjour rav,

Ma femme gagne beaucoup plus que moi, et il me semble que amassé yadeha appartient au mari. Comment s'arranger avec le réel problème de chalom baït ?

Kol Touv.

Chalom !

 

Je ne comprend pas pourquoi ceci est censé conduire à un problème de Chalom BaÏt.

Expliquez moi mieux votre question svp.

Merci. 

Comportement

Fêter un anniversaire : C'est juif ???

- Samedi 16 décembre 2017 à 22h07 vu 10357 fois

Chalom Rav,

 

Ma fille de 15 ans m'a rapporté que sa prof de kodesh lui a affirmé que le jour de son anniversaire, elle a le pouvoir de bénir.

 

Donc elle a demandé à ma fille de la bénir. Elle lui a dit que le mazal est plus fort ce jour là, et qu'on a donc le pouvoir de bénir.

 

Rentrée à la maison toute contente et prête à bénir tout l'immeuble, je lui ai répondu qu'un Juif a le pouvoir de bénir n'importe quel jour, c'est à dire de demander à Hachem -- et à Hachem seul -- d'agir en faveur de cette personne, de la guérir ou de lui venir en aide. Je lui ai dit aussi qu'il n'y avait aucun rapport avec le mazal.

 

Ma question est simple: qui a raison de la prof de kodesh habad ou de moi ? Et se passe-t-il quelque chose de particulier le jour de l'anniversaire? (J'ai jugé nécessaire de préciser que la prof est habad, puisque j'ai constaté que dans les minyanim habad, on faisait monter à la Tora de préférence les gens dont c'est l'anniversaire en hébreu ce jour là.)

 

Kol Touv et Hanouka Sameah ! 

Chalom Ouvrakha !

 

J'aimerai séparer les propos en trois parties distinctes.

 

La première concerne le mpoint dont vous parlez, à savoir si ce jour est particulier ou non.

 

Il est écrit dans le Talmid Yérouchalmi (Roch Hachana chap. 3 § 8), interprété par le Korban Haéda : « C’est rare qu’une personne soit endommagée le jour de son anniversaire, parce que le Mazal qui règne ce jour-là, l’aide.

 

Se basant sur ces propos le Hillel Omer (Ora’h ‘Haïm chap. 139) affirme « Il se trouve que le jour d’anniversaire est propice à l’annulation de tous les mauvais décrets. C’est un jour de réussite et de Mazal ! ».

 

Le Ben Ich ‘Haï (Parachat Réé § 17) écrit « Il y en a qui ont la coutume de célébrer chaque année leur jour d’anniversaire comme étant un Yom Tov, et c’est un bon signe, et telle est la coutume chez nous ! ».

 

Le Rabbi Tsadok Hacohen de Loublin écrit (Résissé Layla, Divré ‘Halomot § 20) : « Le jour où l’homme est né, c’est le jour il est au summum de son Mazal, et il n’a rien à craindre ce jour là etc. Comment ce fait-il alors que l’on dise que souvent les Tsadikim décèdent justement le jour d’anniversaire ? C’est justement parce que pour les Tsadikim le jour du décès est le jour où ils s’élèvent et où ils méritent la lumière éternelle etc. ».

 

La seconde est de savoir qu'est ce que nous devons faire ce jour-ci ? 

 

Le ‘Hatam Sofer (Choul’han Aroukh Or Ha’haïm chap. 568 s’exprime en ces termes « Le jour du décès d’un juif c’est un jour de jugement pour lui, et il a besoin de réparation. A fortiori le jour d’anniversaire, jour où l’homme est venu au monde, c’est certain que c’est un jour d’introspection et c’est un peu comme son jour de Roch Hachana pour toujours ! ».

 

Le Mélitsé Ech (page 54) recommande « Le jour d’anniversaire, l’homme suppliera D. de lui permettre de progresser en Torah et en Yrat Chamaïm, et il est recommandé qu’il se rende auprès de Tsadikim pour qu’ils le bénissent ! ».

 

Le Rav Palagi écrit (Tsédaka Lé’haïm Maarékhet Ayin § 556) : « Il multipliera la Tsédaka ce jour-ci ! ».

 

Le Or’hot David (page 59) écrit : « L’homme doit ce jour-ci prendre des engagements, s’introspecter et s’engager à se bonifier et à corriger ses manquements ! ».

 

On dit du Kétav Sofer (le fils du ‘Hatam Sofer) qu’il avait la coutume de faire un Siyoum Massékhet chaque année le jour de son anniversaire (‘Hout Haméchoulach).

 

Dans l’introduction au livre Ktav Sofer (sur la Paracha Ohel Léa page 49) il est rapporté que le jour où le ‘Hatam Sofer est arrivé à l’âge de 54 ans (en hébreu 54 = נד, les même lettres que le mot דן  qui signifie juger), on l’a aperçu en train de pleurer intensivement, il s’est alors exprimé en ces termes : « J’ai aujourd’hui 54 ans et je me jugesur ce que je sais n’avoir ni Torah ni sagesse etc. ». Lorsque son élève l’a entendu il s’est mis lui aussi à pleurer en s’exclamant « si le feu à une emprise sur les cèdres, que répondront les petits arbustes ?! ». 

 

Enfin, qu'en est-il de célébrer des festivités en l'honneur de l'anniversaire. Je ne veux pas vous refroidir, surtout que des propos du Ben Ich 'Haï précités il ressort qu'il n'est pas tellement d'accord avec les avis que je vais à présent rapporter. Peut être s'agit-il ici d'une discussion entre nos Sages. Ou peut être que tout dépend de l'état d'esprit dans lequel on célèbres son anniversaire en famille. 

 

Le Admour de Monkatch (Divré Torah chap. 88) écrit : « on n’a jamais entendu ni vu auprès de nos Maîtres et de nos ancêtres qu’ils organisent des fêtes le jour d’anniversaire ».

 

Le Adérét écrit (Néféch David Parachat Vayéchév page 195) : « J’étais très en colère lorsqu’on souhaitait me bénir et me réjouir le jour de mon anniversaire, ce qui n’est pas en adhésion avec l’esprit du peuple saint qui prétend « Il eu mieux valu que l’homme ne naisse pas plutôt qu’il naisse… (Guémara Erouvin)», et donc, pourquoi doit-on se réjouir le jour d’anniversaire alors qu’on ne sait pas si on a apporté quelque chose au monde. Ce ne sont que les Tsadikim qui peuvent se réjouir ce jour-ci… ».

 

Le Arougat Habossem (Ora’h ‘Haïm chap. 215) écrit : « On n’a jamais entendu une telle coutume dans le camp des Israélites, ce n’est qu’une coutume d’ignorants….

 

Le Yad Moché (Rav Moché HaCohen de Gerba) écrit : « De nos jours aussi de nombreuses personnes ont la coutume de fêter leur jour d’anniversaire, en particulier dans les villes d’Europe, et ceci laisse supposer que c’est une coutume ancestrale, mais nous les juifs, beaucoup d’entre nous fixons ce jour comme un jour de jeûne et de repentir, parce que c’est cela l’essentiel, aller après le bon et non après l’agréable.

 

'Hannoucca Saméa'h !

 

Autre

Havrouta par Skype

- Dimanche 23 février 2020 à 00h47 vu 428 fois

Bonjour Rav.

 

J'ai depuis peu une hernie discale qui m'empêche de rester debout ou assis plus de 15mn. Je prie la amida assis. Je ne peux pas assurer une havrouta quotidienne au beth hamidrach.

 

Par contre je peux étudier par Skype depuis chez moi. Je cherche donc une havrouta pour un seder en matinée ou en après-midi. La durée est à déterminer, de préférence une heu toi plus par jour.

 

Je suis ouvert à toute proposition concernant le sujet ou la guemara à étudier. Vous pouvez communiquer mon adresse mail à qui vous la demandera ou mon numéro de téléphone éventuellement.

 

Kol touv

Réfoua Chéléma !

 

Avec plaisir, si quelqu'un est intéressé qu'il me contacte, de même si j'entend je vous envoie la personne Bli Neder !

 

Béhatsla'ha !

demande de cours

- Vendredi 18 septembre 2015 à 10h28 vu 861 fois

Chalom rav et chana tova.

 

Loin de moi l'idée d'interférer dans votre planning des chiourim, mais pourriez vous faire un cours sur chinouï makom?

 

j'ai beaucoup de cheelot telles que, manger dans une voiture qui roule longtemps, ou qui entre dans un garage, cela s'appelle-t-il chinouï makom.

 

merci par avance. Kol touv

Chalom!

 

D'accord je le ferai prochainement en votre honneur!

 

C'est assez compliqué, dans les séminaires j'enseigne cela en deux heures, mais on réfléchira comment le faire sur le site!

 

Non, tant que vous restez dans votre voiture ce n'est pas Chiunouy Makom, surtout que vous êtes Holeh' Déréh' (Choulh'an Arouh' chapitre 179).

 

Kol touv et Gmar H'atima Tova!

Vêtements sous le lit?

- Dimanche 25 septembre 2016 à 18h30 vu 732 fois

Chalom Rav, Est-il exact qu'il est interdit de ranger des vêtements sous le lit? Kol touv.

Chalom!

 

Non. Il faut juste éviter que les vêtements se trouvent directement posés sous sa tête. C'est mauvais pour la mémoire (Michna Béroura au chap. 2).

 

Mais sous le lit, le lit fait déjà écran, et de surcroît si vous veillez à ce que ce ne soit pas dirigé sous sa tête, c'est autorisé.

Kol touv!

Appareils électriques au Mikvé

- Lundi 31 juillet 2017 à 01h17 vu 854 fois

Chalom rav,

 

J'ai trempé aujourd'hui au Mikvé tous mes anciens appareils électriques.

 

Seulement voila, je viens de découvrir en rentrant, un petit résidu de pâte cuite sur le dessus d'une crêpière, sur le coté qui est en contact la pâte à crêpe.

 

Idem pour un grille pain au fond duquel restent des miettes collées.

 

Dois-je les retremper?

 

Kol touv.

Chalom !

 

Je suppose que vous êtes Makpid sur ces résidus c'est à dire que cela vous dérangerait de vous en servir alors que ces résidus restent collés.

Si tel est le cas vous ne vous êtes pas acquitté de l'immersion !

 

Cf. aussi : http://www.torahacademy.fr/mikve-vaisselle

 

Kol touv !

Médailles obtenues dans les Quizz

L'étude d'aujourd'hui est dédiée à la réfoua chélema de Rabbi Avraham Moréno Albert Ben Rivka. 

Merci de prier pour lui !!