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Deux questions naïves

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homme
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Vendredi 30 septembre 2016 à 14h50

Bonjour Rav

 

Pardonnez d'avance la naïveté de ces deux questions, que je me pose d'ailleurs depuis un moment.

 

1) quand on pense en son âme et conscience on qu'un projet vaut le coup et que, dans le même temps, on rencontre des difficultés incessantes pour le mener à bien, comment savoir si D.ieu désire souhaite nous protéger en nous dissuadant, ou au contraire qu'il souhaite nous rendre méritants en nous demandant au contraire de nous entêter ?

 

2) Pourquoi n'a-t-on pas l'habitude de faire la brakha a'harona sur le vin / jus de raison entre kidouch et motsi, au moins pour celui qui récite le kidouch e boit ainsi un revi'it ?

 

N'est-ce pas dommage de "perdre" une brakha ?

 

Merci beaucoup, Chabbath Chal.om et chana tova oumetouqa à vous et à toute votre famille !

Samedi 01 octobre 2016 à 21h58

Bonjour Rav

 

Chalom Ouvrakha.

 

Pardonnez d'avance la naïveté de ces deux questions, que je me pose d'ailleurs depuis un moment.

 

Ne vous gênez pas chaque question se doit d'être posée.

 

1) quand on pense en son âme et conscience on qu'un projet vaut le coup et que, dans le même temps, on rencontre des difficultés incessantes pour le mener à bien, comment savoir si D.ieu désire souhaite nous protéger en nous dissuadant, ou au contraire qu'il souhaite nous rendre méritants en nous demandant au contraire de nous entêter ?

 

Question compliquée parce que les deux choses sont possibles. Cela dépend beaucoup de plusieurs facteurs (combien le projet est vraiment fait Léchem Chamaïm, est ce qu'au plus profond de soi on est persuadé que c'est un bon projet ou pas, quelle est la nature des problèmes que l'on rencontre etc.

Je pense que la meilleure chose est de demander conseil à un Rav qui vous connait pour qu'il vous aide à réfléchir.

 

2) Pourquoi n'a-t-on pas l'habitude de faire la brakha a'harona sur le vin / jus de raison entre kidouch et motsi, au moins pour celui qui récite le kidouch e boit ainsi un revi'it ?

N'est-ce pas dommage de "perdre" une brakha ?

 

Non, comme c'est ce vin qui vient ouvrir le repas et sans lequel il n'y a pas de repas possible puisqu'il est interdit de manger sans Kiddouch il s'avère qu'il fait partie intégrante du repas et le principe est que le Birkat Hamazon acquitte tout ce qui faisait partie intégrante du repas de Brakha finale au même titre que vous ne récitez pas de bénédiction finale sur les fruits que vous mangez en fin de repas et avant le Birkat Hamazon.

 

Merci beaucoup, Chabbath Chal.om et chana tova oumetouqa à vous et à toute votre famille !

 

Kol touv et Chana Tova Oumevorékhet. 

 

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L'étude d'aujourd'hui est dédiée à la réfoua chélema de Rabbi Avraham Moréno Albert Ben Rivka. 

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