altalena

Chalom !

On autorise les Kitniot pour les enfants que s'ils en ont vraiment besoin pour la santé. 

Je ne pense pas que ce soit le cas du yahoort au chocolat. 

Bref, si tel est le cas ce sera permis pour eux.

Béhatsla'ha !

Chalom !

Dans la référence que vous m'apportez il ne s'attarde pas sur le sujet. Par contre il renvoie à un autre livre qu'il a lui même rédigé qui s'appelle " Tfilat Hanachim " et au chapitre 10 § 6 il rapporte toutes les opinions. 

Ces opinions je les ait moi même rapportées dans le cours suivant :

http://www.torahacademy.fr/les-jeunes-filles-doivent-prier-la-tete-couverte

Sa conclusion est qu'étant donné que la coutume est qu'elles ne se couvrent pas la tête, tel peut être le comportement à avoir.

Ceci étant comme je l'ait affirmé dans mon cours et lui même le reconnait la coutume du Rav Mazouz et du Rav Ovadia Hadaya ainsi que la recommandation du Rav Ovadia Yossef est de réciter les Brakhot la tête couverte et en particulier pour une femme mariée.

Béhatsla'ha !

Chalom Ouvrakha !

Vous posez une excellente question. Je vais essayer d’être le plus concis possible.

Le Choul’han Aroukh (Ora’h ‘Haïm chap. 216 § 1) tranche explicitement que lorsque l’on vient profiter de la bonne odeur d’un fruit (qu’il s’agisse d’un fruit de l’arbre, ou comme dans votre cas d’un fruit de la terre), la bénédiction à réciter est « Baroukh Hachem … Hanoten Réa’h Tov Bapérot ». Il précise que lorsque vous vous servez d’un fruit dans l’intention unique de la consommer, il n’y aura pas de bénédiction à réciter sur son odeur. Si, par contre, vous vous êtes servie de ce fruit avec une double intention (de le manger d’une part, et de profiter de sa senteur d’autre part), vous pourrez réciter aussi la bénédiction sur la bonne odeur de celui-ci. A fortiori, si au moment où vous vous servez de ce fruit c’est uniquement pour profiter de sa bonne odeur que ce sera permis.

Il apparaît donc clairement de ces propos que si vous souhaitez vous servir d’un pot de confiture pour réciter la bénédiction sur la bonne odeur, ceci sera autorisé. (Cf. Béour Halakha ibid. entête « Vélo Nitkaven »).

Ceci étant, il est vrai que le Kaf Ha’haïm (ibid. § 27) rapporte que certains décéisionnaires déconseillent de réciter la Brakha sur des fruits du fait qu’il existe une controverse sur la formulation exacte de cette Brakha, certains prétendent qu’il faudrait dire « Acher Natan Réa’h » au passé et non pas au présent tel que le stipule le Choul’han Aroukh. C’est d’ailleurs la version vers laquelle le ‘Hafets ‘Haïm semble tendre (ibid. § 9).

Toutefois le Rav Ovadia Yossef (Halikhot Olam Vaét’hanan), stipule que ceci n’est pas une raison suffisante pour ne pas autoriser la récitation de cette Brakha. C’est dans ce sens qu’a été le Rav Moché Lévy (Birkat Hachem tome 3 chap. 12 § 15).  

Enfin je précise que le mieux le Motsei Chabbat est de réciter cette Brakha sur du Hadass (myrte) ainsi que l’écrit le Choul’han Aroukh (chap. 297 § 4).

Kol touv !

Chalom !

Dans la référence que vous m'apportez il ne s'attarde pas sur le sujet. Par contre il renvoie à un autre livre qu'il a lui même rédigé qui s'appelle " Tfilat Hanachim " et au chapitre 10 § 6 il rapporte toutes les opinions. 

Ces opinions je les ait moi même rapportées dans le cours suivant :

http://www.torahacademy.fr/les-jeunes-filles-doivent-prier-la-tete-couverte

Sa conclusion est qu'étant donné que la coutume est qu'elles ne se couvrent pas la tête, tel peut être le comportement à avoir.

Ceci étant comme je l'ait affirmé dans mon cours et lui même le reconnait la coutume du Rav Mazouz et du Rav Ovadia Hadaya ainsi que la recommandation du Rav Ovadia Yossef est de réciter les Brakhot la tête couverte et en particulier pour une femme mariée.

Béhatsla'ha !

Chalom Ouvrakha !

Je vous ai finalement eu au téléphone !

Mazal Tov pour votre fils qui était un ami de ma classe à l'école ! Je suis très heureux pour lui !!!

Je vous ait dit qu'il n'y a aucun problème à participer bien que cela tombe le soir du Yertseit et que d'une façon générale les AChkénazes ne s'associent pas à des joies le soir du Yer Tseit, pur le mariage de votre fils c'est autoirsé !

Béhatsla'ha !

Gmar 'Hatima Tova !

Chalom Ouvrakha !

Si votre question consiste à savoir s’il est autorisé de se rendre à l’opéra, alors que s’y trouvent des femmes, la question doit être découpée en plusieurs-sous questions.

Est-il tout d’abord autorisé à un homme d’aller à un endroit où il va regarder des femmes, ceci est formellement interdit, à moins qu’il ne regarde pas mais qu’il ne fasse que voir, nuance pas toujours évidente à respecter. Le fait qu’elles soient non juives ne change pas grand-chose à la donne.

Est-il autorisé d’écouter la voix d’une femme non juive qui chante devant nous ? Non. A moins que l’on ne considère qu’étant donné que les voix des hommes et des femmes s’entremêlent, du coût on n’entend pas précisément la voix d’une femme en particulier. Mais bon, ce n’est pas très Glatt tout cela !

Enfin, est ce très juif tout cela d’aller écouter des non juifs chanter et passet tellement de temps à cela ? C’est une question que vous devez vous poser vous-même. Personnellement pour cette simple raison je n’y aurais pas été, mais bon, je ne pas vous imposer cela !

Kol touv !

Chalom !

Oui c est bien sûr autoirs si c est dit gentiment et avec affection!

La Halakha veut que chaque personne ait une place fixe pour la Tefila. Il faut juste ne pas se battre pour cela Hass Vechalom !

Kol touv !

Chalom Ouvrakha !

Le Choul'han Aroukh tranche (Even Haézer chap. 7 § 17) que lorsqu'un non-juif a une relation avec une juive, la fille qui nait d'une telle union est considérée comme étant Pégouma au Cohen.

C'est à dire qu'a priori ils ne doivent pas se marier, et ce n'est que s'ils se sont déjà mariés que ce n'est pas la peine de les séparer. 

Le fait qu'il se soit converti au judaïsme après la conception n'est pas siuffisant. S'il s'était converti avant, le mariage aurait été possible même a priori. 

Béhatsla'ha et Ktiva Vé'hatima Tova !