liorah

Chalom !

Permis pour de nombreux décisionnaires, jusqu'au Roch 'Hodech Av.
Ensuite on évite même pendant les Chabbatot !

Kol touv !

Chalom !

A partir de la fin de Pessa'h !

En ce qui est des vêtements il est interdit d'en acheter pendant 'Hol Hamoèd à moins qu'il ne s'agisse de soldes etc. qui s'arrêteront d'ici la fin de la fête ou autre cas similaire auquel cas il s'agit de Davar Haavèd et on peut autoriser.

Ou encore si vous n'avez aucun vêtement pour la fête. 

Kol touv ! 

Chalom !

A base de farine de Matsa, Mézonot. Fécule de pomme de terre : Chéhakol !

Kol touv !

Chalom !

Si vous recitez la Kriat Chema avec ses Brakhot et en mentionnant le nom de D. vous avez jusqu a la fin de l heure de la Tefila, ce qu on appelle Sof Zman Tefila.

Pour la Amida, vous devez l avoir recite aussi avant ce temps la. Sinon, vous pouvez toujours la reciter jusqu a Hatsot mais vous aurez un salaire de priere priee pas en son temps. (Choulhan Aroukh chapitre 89).

Behatslaha !

Chalom Ouvrakha !

La Guémara affirme que « Kol Béicha Erva », ce qui signifie que le fait d’écouter la voix d’une femme qui chante est en soi considéré comme étant une forme de nudité interdite à tout homme. Les décisionnaires sont partagés quant à savoir si cet interdit est d’ordre rabbinique ou toranique. Pour de nombreux décisionnaires il s’agit ici d’un interdit d’ordre rabbinique.

Selon la plupart des décisionnaires que cette femme se trouve devant nous ou dans une autre pièce voire dans une autre maison ne change rien à la donne, le simple fait d’entendre de façon claire sa voix est considéré comme un profit d’une nudité.
Je tiens à préciser d’autre part que pour la plupart des décisionnaires, le fait qu’il s’agisse d’une voix enregistrée et non de sa propre voix directement ne change rien à la donne. En effet, quoi qu’il en soit, l’homme entend la voix réelle d’une femme, et ceci est interdit (Cf. Chout Péri Hassadé tome 3 chap. 32).

Votre question nécessite tout de même d’introduire une nouvelle donnée. Celle qui consiste à savoir s’il est possible d’écouter la voix d’une femme que l’on ne connait pas, que l’on n’a jamais vu ni d’Adam ni d’Eve. De nombreuses sources (en particulier Guémara Méguila 15 a) permettent d’établir une différence entre les pensées que risque d’avoir un homme concernant une femme précise entre le cas où il l’a déjà vu, contemplé etc. et entre le cas où il n’a jamais vu cette femme. C’est pourquoi au sujet de la voix qui n’est selon certains « qu’un » interdit d’ordre rabbinique, et dont le problème principal est celui des mauvaises pensées que cela risque d’engendrer à l’homme qui l’écoute, certains décisionnaires se montrent indulgents lorsqu’il s’agit de l’écoute d’une voix féminine dont on n’a jamais vu la chanteuse ni en vrai, ni sur une photo etc. C’est dans ce sens qu’ont été le Maarkhé Lev chap. 5, le Rav Ovadia Yossef (Yabia Omer tome 1 chap. 6) etc.

Certains décisionnaires ont interdit cela en tout état de cause puisque la voix étant en soi une forme de nudité, il est interdit de profiter d’une nudité même si on ne la connait pas (cf. ‘Helkat Yaakov chap. 163, Chout Birkat ‘Haïm chap. 20 etc.).

Cela va sans dire que si vous sentez que cela vous donne des mauvaises pensées ce sera à éviter. Le Tsits Eliezer (tome 5 chap. 2) en réponse à la Téchouva du Rav Ovadia Yossef se fait le devoir de rappeler que le peuple juif tend toujours vers la sainteté et non vers ce genre de choses d’aller écouter des femmes chanter.

Kol touv !

Chalom Ouvrakha !

La Guémara affirme que « Kol Béicha Erva », ce qui signifie que le fait d’écouter la voix d’une femme qui chante est en soi considéré comme étant une forme de nudité interdite à tout homme. Les décisionnaires sont partagés quant à savoir si cet interdit est d’ordre rabbinique ou toranique. Pour de nombreux décisionnaires il s’agit ici d’un interdit d’ordre rabbinique.

Selon la plupart des décisionnaires que cette femme se trouve devant nous ou dans une autre pièce voire dans une autre maison ne change rien à la donne, le simple fait d’entendre de façon claire sa voix est considéré comme un profit d’une nudité.
Je tiens à préciser d’autre part que pour la plupart des décisionnaires, le fait qu’il s’agisse d’une voix enregistrée et non de sa propre voix directement ne change rien à la donne. En effet, quoi qu’il en soit, l’homme entend la voix réelle d’une femme, et ceci est interdit (Cf. Chout Péri Hassadé tome 3 chap. 32).

Votre question nécessite tout de même d’introduire une nouvelle donnée. Celle qui consiste à savoir s’il est possible d’écouter la voix d’une femme que l’on ne connait pas, que l’on n’a jamais vu ni d’Adam ni d’Eve. De nombreuses sources (en particulier Guémara Méguila 15 a) permettent d’établir une différence entre les pensées que risque d’avoir un homme concernant une femme précise entre le cas où il l’a déjà vu, contemplé etc. et entre le cas où il n’a jamais vu cette femme. C’est pourquoi au sujet de la voix qui n’est selon certains « qu’un » interdit d’ordre rabbinique, et dont le problème principal est celui des mauvaises pensées que cela risque d’engendrer à l’homme qui l’écoute, certains décisionnaires se montrent indulgents lorsqu’il s’agit de l’écoute d’une voix féminine dont on n’a jamais vu la chanteuse ni en vrai, ni sur une photo etc. C’est dans ce sens qu’ont été le Maarkhé Lev chap. 5, le Rav Ovadia Yossef (Yabia Omer tome 1 chap. 6) etc.

Certains décisionnaires ont interdit cela en tout état de cause puisque la voix étant en soi une forme de nudité, il est interdit de profiter d’une nudité même si on ne la connait pas (cf. ‘Helkat Yaakov chap. 163, Chout Birkat ‘Haïm chap. 20 etc.).

Cela va sans dire que si vous sentez que cela vous donne des mauvaises pensées ce sera à éviter. Le Tsits Eliezer (tome 5 chap. 2) en réponse à la Téchouva du Rav Ovadia Yossef se fait le devoir de rappeler que le peuple juif tend toujours vers la sainteté et non vers ce genre de choses d’aller écouter des femmes chanter.

Kol touv !

Chalom Ouvrakha !

Cf. http://www.torahacademy.fr/information-generale-sur-la-lecture-du-tikoune-haklali-et-du-perek-chira

Kol touv !

Chalom !

S'il est possible que le maternat ait été mis alors que l'eau était très chaude en Kli Richon, ce qui n'est pas fréquent, il faut le cachériser dans une Hagala dans un Kli Richon.

S'il s'agit d'une eau versée d'un Kli Richon, vous pouvez faire la Hagala de la même façon, c'est à dire en y versant de l'eau bouillante d'une bouilloire (puis un peu d'eau froide).

Si vous n'avez mis le maternat qu'une fois l'eau tiède, il vous suffit de bien le nettoyer et il est utilisable pendant Pessa'h !

Kol touv !

Chalom !

A partir de la fin de Pessa'h !

En ce qui est des vêtements il est interdit d'en acheter pendant 'Hol Hamoèd à moins qu'il ne s'agisse de soldes etc. qui s'arrêteront d'ici la fin de la fête ou autre cas similaire auquel cas il s'agit de Davar Haavèd et on peut autoriser.

Ou encore si vous n'avez aucun vêtement pour la fête. 

Kol touv ! 

Chalom !

Permis pour de nombreux décisionnaires, jusqu'au Roch 'Hodech Av.
Ensuite on évite même pendant les Chabbatot !

Kol touv !