Excellente question. En un mot, il nous faut réaliser que ce ne sont pas nos soucis qui font avancer les choses mais D. Et qu'en tant qu'hommes nous avons le devoir de nous préoccuper de le Hichtadelout nécessaire. Nous parlerons prochainement Béézrat Hachem de Emouna dans nos cours et nous essayerons de faire la part des choses dans ce domaine compliqué de la façon la plus claire possible Béézrat Hachem. Kol touv!
Chalom Rav Ou se situe la limite entre la preoccupation de faire bien les choses et le souci? Car le souci des choses vient parce qu on a la volonté de faire bien les choses ou du moins de les reussir . Mais quand je ne m en fais pas du tout et je fais simplement les choses je ne risque pas d arriver très loin . Si je vois par exemple mon fils qui a des difficultés scolaire . Je dois m en preoccupper et m en soucier pour tout faire pour l aider , a savoir reviser avec lui , lui payer un melamed , trouver des fonds pour le payer si je n ai pas les moyens , l amener si necessaire voir le medecin qui pourrait l aider ,aller aux rdv etc etc etc .Donc quand vous affirmer qu il ne faut pas se faire des soucis alors qu on sait que la vie de chacun est remplie de nissionnote quotidiens , ca semble etre un bon discours mais loin de la realité et des challenges journaliers de la vie.
L'étude d'aujourd'hui est dédiée à la réfoua chélema de Rabbi Avraham Moréno Albert Ben Rivka.