dvorah

Chalom Ouvrakha !

1- Ce n'est pas du tout obligé de prononcer cette Halakha lorsque l'on fait Myim A'haronim.

La raison pour laquelle on le dit c'est pour en profiter pour dire des Divré Torah à table, puisque cette phrase est une Halakha tranchée par le Choul'han Aroukh au chap. 181. 

Nos Sages enseignent dans les Pirké Avot qu'une table à laquelle des Divré Torah n'auraient pas été dit serait semblable à une consommation de sacrifices morts. On s'efforce donc de réciter cette Halakha pour être sûrs que l'on a dit des Divré Torah. 

2- Il ne faut pas s'interrompre entre Mayim A'haronim même en silence (Michna Béroura chap. 181 § 15), et chapitre 179 § 1.

En effet, il est écrit dans la Guémara " Tékhéf Lanétila Brakha " c'est à dire qu'immédiatement après la Nétila il ets nécessaire de réciter le Birkat Hamazon.

Le laps de temps à partir duquel on a dépassé la norme de proximité est le temps de marcher 22 coudées c'est à dire 11 mètres environ (Chaar Hatsioun chap. 179 § 3). 

Selon les Mékoubalim ceci peut apporter des maux à l'épaule (en effet le mot épaule Catéf est constitué des même lettres que le mot Tékhéf qui signifie immédiatement. 

3- Je ne comprend pas bien votre question. Laissez un gaz avec une petite flamme. Ce n'est pas une solution ? 

Gmar 'Hatima Tova !

Chalom Ouvrakha !

1- Ce n'est pas du tout obligé de prononcer cette Halakha lorsque l'on fait Myim A'haronim.

La raison pour laquelle on le dit c'est pour en profiter pour dire des Divré Torah à table, puisque cette phrase est une Halakha tranchée par le Choul'han Aroukh au chap. 181. 

Nos Sages enseignent dans les Pirké Avot qu'une table à laquelle des Divré Torah n'auraient pas été dit serait semblable à une consommation de sacrifices morts. On s'efforce donc de réciter cette Halakha pour être sûrs que l'on a dit des Divré Torah. 

2- Il ne faut pas s'interrompre entre Mayim A'haronim même en silence (Michna Béroura chap. 181 § 15), et chapitre 179 § 1.

En effet, il est écrit dans la Guémara " Tékhéf Lanétila Brakha " c'est à dire qu'immédiatement après la Nétila il ets nécessaire de réciter le Birkat Hamazon.

Le laps de temps à partir duquel on a dépassé la norme de proximité est le temps de marcher 22 coudées c'est à dire 11 mètres environ (Chaar Hatsioun chap. 179 § 3). 

Selon les Mékoubalim ceci peut apporter des maux à l'épaule (en effet le mot épaule Catéf est constitué des même lettres que le mot Tékhéf qui signifie immédiatement. 

3- Je ne comprend pas bien votre question. Laissez un gaz avec une petite flamme. Ce n'est pas une solution ? 

Gmar 'Hatima Tova !

Chalom !

1- Oui, elles sont à ce sujet exactement comme les hommes.

2- Elles sont Mouktsé si elles ne sont pas consommable par des animaux, simplement comme elles vous dérangent et dégoûtent elles sont considérées comme étant Graf Chel Réï et dans la mesure où cela vous dérange de les laisser posées à table, vous pouvez les retirer et les jeter à la poubelle. 

Kol touv !

Chalom Ouvrakha !

1- Oui c'est pour retirer le Roua'h Raa. 

Cf. http://www.torahacademy.fr/netilat-yadaim-apres-s-etre-couper-les-ongles

Sans alternance c'est aussi valable selon certains. Mais il vaut mieux avec alternance. 

2- Si vous avez soif et que vous vous sentez mal, c'est autorisé mais pas de boisson alcoolisée. Vous pouvez aussi manger de pain ou des gâteaux jusqu'à 56 grammes ou des fruits et légumes même plus. Si vous vous sentez bien il vaut mieux ne rien manger et boire du tout !

3- Oui c'est permis pour plein de raisons qu'on pourrait un jour détailler. Y compris le fait que ce n'est pas une vraie écriture et au même titre que vous pouvez éteindre l'écran, au même titre vous pouvez effacer. Mais si vous pouvez éviter de l'effacer, qu'il ne prend pas trop de place ne l'effacez pas surtout s'il a été écrit en hébreu et avec l'intention d'être écrit en tant que tel.

Kol touv !

Chalom Ouvrakha !

1- Ce n'est pas du tout obligé de prononcer cette Halakha lorsque l'on fait Myim A'haronim.

La raison pour laquelle on le dit c'est pour en profiter pour dire des Divré Torah à table, puisque cette phrase est une Halakha tranchée par le Choul'han Aroukh au chap. 181. 

Nos Sages enseignent dans les Pirké Avot qu'une table à laquelle des Divré Torah n'auraient pas été dit serait semblable à une consommation de sacrifices morts. On s'efforce donc de réciter cette Halakha pour être sûrs que l'on a dit des Divré Torah. 

2- Il ne faut pas s'interrompre entre Mayim A'haronim même en silence (Michna Béroura chap. 181 § 15), et chapitre 179 § 1.

En effet, il est écrit dans la Guémara " Tékhéf Lanétila Brakha " c'est à dire qu'immédiatement après la Nétila il ets nécessaire de réciter le Birkat Hamazon.

Le laps de temps à partir duquel on a dépassé la norme de proximité est le temps de marcher 22 coudées c'est à dire 11 mètres environ (Chaar Hatsioun chap. 179 § 3). 

Selon les Mékoubalim ceci peut apporter des maux à l'épaule (en effet le mot épaule Catéf est constitué des même lettres que le mot Tékhéf qui signifie immédiatement. 

3- Je ne comprend pas bien votre question. Laissez un gaz avec une petite flamme. Ce n'est pas une solution ? 

Gmar 'Hatima Tova !

Chalom !

1- Non, vous ne les avez déposées que de façon passagère et pour les transporter.

2- Plier simplement oui. Faire des formes qui ne créent pas de plis c'est autorisé. Faire vraiment des plis etc. certains se montrent plus rigoureux. 

Kol touv !

Chalom Rav, Je voulais vous poser 3 questions sur différents sujets :

Chalom Ouvrakha!

1) Est ce vrai que lorsqu'on répond après Barehou lorsque quelqu'un monte à la Torah ou d'autres cas c'est un minhag ashkenaze de se soulever et en tant que séfarade on ne doit pas le faire ?

Oui c'est vrai. Telle est l'opinion du Rav Ovadia rapportée par son fils dans le Halakha Broura (Chap. 57 § 4). Telle est l'opinion du Or Letsion (Tome 2 Chap. 5 § 13) que ce n'est que le Chaliah' Tsibour qui doit s'incliner et pas le public. Toutefois si le public s'incline il ne faut pas se différencier d'eux.

La plupart des Ashkénazes se lèvent et s'inclinent mais pas autant que lors du Chmoné Essré. Ceux qui suivent l'opinion du Gaon de Vilna ne le font pas.

2) Lors du kiddouch si le père de famille boit dans le verre et verse ensuite dans les autres verres des membres de la famille est ce que le vin devient pagoum . Si oui , comment procéder ?

Si les autres ne boient pas du même verre oui. Il faut juste après qu'il ait bu qu'il reverse même une goutte de vin dans le verre puis les convives se servent de ce verre dans leur verre et le tout est résolu. 

3) Est ce vrai que Rambam dit qu'il ne faut pas abuser de la moutarde et pour quelle raisons ?

Oui, c'est pour des raisons de santé. Mais pas du tout pour des raisons de Halakha. Il conseille de n'en prendre que peu et plutôt en hiver qu'en été.

Merci beaucoup Kol Touv

Avec plaisir! Kol touv!

Chalom Ouvrakha !

Le Caf Ha’haïm (chap. 2 § 3) rapporte que le fait de manger dans des ustensiles cassés entraîne une déviation de la mémoire, chose évidemment très dérangeante et en particulier pour les hommes qui sont tenus de connaitre et retenir ce qu’ils étudient.
Le ‘Hazon Ich laisse entendre que celui qui fait des choses dont la conséquence est de perdre sa mémoire enfreint le commandement de « ne retire pas de ton cœur les propos de Torah ».

Le Rav ‘Haïm Kanyevsky (Dolé Oumachké page 362) pour sa part, écrit que ce problème n’a pas de vraie assise dans la Halakha ni dans la Kabbale. C’est dans ce sens que s’exprime aussi le Birkat yéhouda (tome 1 chap. 50).

On pourrait apporter de nombreuses preuves pour appuyer l’opinion selon laquelle il n’y a pas de problème. La première est la Halakha d’avoir un verre entier pour le Kiddouch (cf. Choul’han Aroukh chap. 183), à savoir qui n’est pas fêlé ni cassé. Si c’était un « devoir » habituel, on n’aurait pas eu besoin d’insister sur cela précisément dans les lois du Kiddouch.

Le Rav Meïr Mazouz qui va lui aussi dans le sens de l’autorisation tant que l’ustensile n’est pas vraiment cassé apporte une preuve de Rachi dans Brakhot page 41 b entête « Chiourim ».

Une autre raison pour laquelle il pourrait être interdit de consommer dans des ustensiles cassés, est rapportée par le Oumanout Néhoraï (chap. 140). Le problème est qu’on risque d’en venir à se blesser. Selon cette raison il semble évident que si l’ustensile est ébréché de sorte à ne pas pouvoir blesser en aucune manière, il n’y aura pas de souci à se servir d’un tel ustensile pour manger.

En pratique il semble que puisque l’interdit n’est pas reconnu de tous, et que même selon ceuuyx qui interdisent il est logique de supposer que ce n’est interdit que lorsque l’ustensile est vraiment cassé pas juste ébréché, il semble qu’on puisse autoriser.

Kol touv !