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Chalom !

Selon Rav Ovadia il n'y a aucun problème et vous ne devenez pas Bassari.

Certains sont plus stricts et recommandent de s'en acheter si vous en trouvez sans gélatine. 

Béhatsla'ha !

Chalom Ouvrah'a!

Concernant les verres, il n'y pas de problème qu'ils ne soient pas trempés du fait qu'ils appartiennent à un non juif, et ils ne doivent donc pas être trempés. Il n'y a pas non plus lieu de craindre qu'ils aient cuits des aliments interdits à l'intérieur vu que ceux sont des verres à café. (Donc ce n'est pas la peine que les verres soient en carton!)

Toutefois évitez à priori de le boire dans une tasse en porcelaine (si vous faites attention à ne pas boire de lait non Chamour) puisqu'il y a  lieu de craindre que du lait non Chamour ait été absorbé dans les parois. Ce qui n'est pas le cas du verre d'après les Séfaradim, vu que d'après eux le verre n'absorbe pas.

Au sujet du fait que ceux sont des non juifs qui les aient préparés d'après de nombreux Décisionnaires il n'y a pas de problème du fait que le café peut être comestible même sans cette cuisson, et surtout du fait que l'essentiel est l'eau et non le café or l'eau bouillie par un non juif n'est pas interdite. Le Ari zal se montrait plus rigoureux à ce sujet, mais la Décision la plus répandue est d'autoriser.

Le seul problème qui existe est le fait que vous pouvez être l'objet de la suspicion des personnes qui vous verront entrer dans ce restaurant et qui pourraient être amenés à penser que vous allez consommer des aliments non Cacher. Cet interdit est appelé "Marit Haayin".

Toutefois s'il ne s'agit pas d'un restaurant mais d'un simple café, dans lequel on ne sert pas d'aliments mais plutôt des cafés, coca etc. il y a lieu d'autoriser.

Kol touv!

Chalom!

Si vous l'avez acheté en dehors de l'année de la Chmita, il vous est possible de vous en servir à plusieurs conditions.

  -La première est que vous préleviez les Troumot et Maasserot de ce thé.

  -La seconde est que vous fassiez attention aux problèmes d'insectes. A savoir, que vous nettoyez et vérifiez bien les feuilles de thé ou que vous les fassiez infuser dans un filtre très fin de sorte à ce que les insectes ne puissent pas passer.

Béhatslah'a!

Chalom Ouvrah'a!

Non, ce n'est pas le coq qui récite toute cette phrase.

Le coq commence son chant à partir de ce qui est écrit que sa première voix est : "Séou chéarim etc.".

La phrase que vous citez "Au moment où D. etc." c'est une introduction qui nous explique à quel moment exactement le coq se réveille et se met à chanter.

Lorsqu'on dit qu'il se réveille, on fait allusion au coq.

Kol touv!

Chalom!

Si vous l'avez acheté en dehors de l'année de la Chmita, il vous est possible de vous en servir à plusieurs conditions.

  -La première est que vous préleviez les Troumot et Maasserot de ce thé.

  -La seconde est que vous fassiez attention aux problèmes d'insectes. A savoir, que vous nettoyez et vérifiez bien les feuilles de thé ou que vous les fassiez infuser dans un filtre très fin de sorte à ce que les insectes ne puissent pas passer.

Béhatslah'a!

Chalom Ouvrah'a!

1- Pourquoi ne vérifiez vous pas toutes les olives une après l'autre?

2- Les olives ont atteint le tiers de leur pousse avant Roch Hachana, ils ne sont donc pas concernés par Kédouchat Chéviit. Les prochaines olives qui pousseront seront concernées par Kédouchat chéviit.

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Dans les grandes lignes il me semble que: 

1- Vous devez chaque enfant selon ses nécessités.

2- Les enfants ne sont pas tenus à se communiquer les uns les autres combien vous les aidez.

3- Si vos enfants qui étudient la Torah ont besoin d'argent, il faut les aider en priorité, pour qu'ils puissent continuer à étudier la Torah d'avantage, et de cette façon en dehors de soutenir vos enfants vous soutenez la Torah. (ceci ne signifie pas que vous êtes tenue de tout donner rien qu'à eux et de ne rien donner aux autres enfants).

S'ils n'ont pas besoin d'être soutenus, alors bien qu'ils étudient la Torah ce n'est pas la peine de les aider particulièrement.

4- Ne vous inquiétez pas trop pour le futur, soyez juste prévoyante. C'est à dire qu'il faut laisser chaque mois un peu d'argent de côté, pour pouvoir assurer Béézrat Hachèm en temps et en heure leur mariage, éventuellement un apport pour l'achat d'un appartement de façon à peu près égale à ce que vos avez donné aux autres enfants.

Kol touv!

Chalom !

Je vous ait répondu par téléphone.

Nous vous avons recommandé un zoom très circonstancié en ce qui concerne les démences d'une ecperte.

J'espère qu'il vous a plu !

Béhatsla'ha !

Chalom

Oui, le Rav Ben Tsion Abba Chaoul zatsal a écrit une Téchouva dans laquelle il réfute les preuves du Rav Ovadia Yossef zatsal qui interdit.

En pratique il autorisait à certaines personnes qui lui posaient la question à l'oral. A certaines autres personnes qui l'ont interrogé à l'oral il disait qu'il vaut mieux pas!

L'épouse du Rav Mordeh'aï Eliahou zatsal porte la perruque et met un chapeau dessus.

Evidemment votre remarque Tsniout est indispensable parce que sans cela aucun Décisionnaire (ni Séfarade ni Achkénaze) n'autorise!

Chalom

La Mitsva de Hachavat Avéda (restituer un objet à celui qui l'a perdu ne concerne que les juifs. Toutefois pour des raisons de Kiddouch Hachèm (sanctification du nom de D.) il y a un sens à leur rendre tout de même lorsqu'il s'agit d'une perte de valeur, ainsi que l'écrivent les Décisionnaires, mais ce n'est pas obligatoire!

Concernant l'argent, si vous l'avez trouvé alors qu'il n'y a aucun signe ni rien prouvant que cela leur appartient vous pouvez le prendre pour vous même, vu qu'ils ont détaché leur esprit de cet argent (Yéouch) sachant que personne ne saurait que c'est le leur et ne leur rendrait, de surcroît s'ils sont non juifs.

En somme, même s'ils souhaitent le récupérer vous n'êtes pas du tout tenue de leur rendre (même s'ils avaient été juifs).

Si vous avez une façon de savoir de façon certaine à qui il appartenait, et que vous souhaitez sanctifier le nom de D. vous pouvez essayer de savoir à qui il appartenait, mais à nouveau ce n'est qu'une H'oumra, pas obligatoire, et pas recommandée si vous ne pouvez pas vraiment savoir à qui cela appartenait et qu'il y a des risques qu'ils vous mentent pour récupérer eux même cet argent.

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Dans les grandes lignes il me semble que: 

1- Vous devez chaque enfant selon ses nécessités.

2- Les enfants ne sont pas tenus à se communiquer les uns les autres combien vous les aidez.

3- Si vos enfants qui étudient la Torah ont besoin d'argent, il faut les aider en priorité, pour qu'ils puissent continuer à étudier la Torah d'avantage, et de cette façon en dehors de soutenir vos enfants vous soutenez la Torah. (ceci ne signifie pas que vous êtes tenue de tout donner rien qu'à eux et de ne rien donner aux autres enfants).

S'ils n'ont pas besoin d'être soutenus, alors bien qu'ils étudient la Torah ce n'est pas la peine de les aider particulièrement.

4- Ne vous inquiétez pas trop pour le futur, soyez juste prévoyante. C'est à dire qu'il faut laisser chaque mois un peu d'argent de côté, pour pouvoir assurer Béézrat Hachèm en temps et en heure leur mariage, éventuellement un apport pour l'achat d'un appartement de façon à peu près égale à ce que vos avez donné aux autres enfants.

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Il existe effectivement un devoir de nourrir son animal domestique avant soi même. Le fait que pour soumettre cet animal il faut le faire souffrir, cela n'autorise à mon avis en rien d'outrepasser les lois de la Torah. Si c'est trop contraignant d'avoir un chien, essayez peut être un autre animal domestique. 

Lorsque vous me dites que le chien ne se nourrit que des restes de votre repas, il me semble qu'il faut faire la part des choses.

Si c'est vous qui décidez de ne lui donner que les restes à vous de vous arranger pour être en phase avec la Torah. Si c'est votre chien qui refuse de manger tant que vous n'avez pas mangé vous même ceci est autorisé. En effet, vous n'avez aucune obligation à ce que votre chien ait magné avant de manger vous même, vous avez l'obligation de lui donner à manger avant d'e manger vous même. Si vous êtes prête à lui donner à manger, et que lui, refuse, c'est son problème à lui et non le votre. 

Kol touv!

Chalom Ouvrakha !

Excellente question!

En ce qui est des fleurs qui sont pour la décoration ou encore pour la beauté etc. il n'y a pas de problème de Kilaïm (Choul'han ARoukh chap. 297).

S'ils sont consommabes et généralement consommés dans l'endroit dans lequel on se trouve, il y a un problème de Kilaïm et il faut déraciner l'une des deux espèces s'y trouvant. 

Kol touv !