Chalom rav,
J'ai entendu dire que une fille qui suit rav ovadia ne pourra pas repondre amen a la brakha de lechev bassouka etant donne qu'elle n'ont aucune obligation a cela.
Pouvez vous m'en donner une source et m'expliquer en quoi est ce interdit de dire amen a cette brakha ?
Pour moi c'et comme allel on ne peut pas mais on essaye d'aller dans un mynian pour y repondre amen
Merci rav
Chalom !
Ecoutez ce cours et vous allez tout comprendre:
http://www.torahacademy.fr/quand-recite-t-on-chehehiyanou-a-roch-hachana
Le problème soulevé par le Rav est celui de l'interruption.
Mais en tout état de cause vous êtes acquittée de la Brakha même sans y avoir répondu Amen (Choul'han aroukh chap. 215).
Béhatsla'ha !
chalom rav,
je n'ai pas reussi a comprendre la logique : par peur de faire un efssek dans le kidouch alors qu'une femme sepharade ne le recite pas avant donc il n'y a pas de effek alors on nous interdit de repondre amen a cette braka ?
pouvez vous me donner la source de halakha svp parce que certaine personne ne me croit pas.
et je voulais savoir si c'etait pareil pour toute les brakhots qu'une femmes ne doit pas faire comme le hallel, monter a la torah, talit ... merci beaucoup rav
Chalom !
La référence précise c'est 'Hazon Ovadia (Souccot page 151).
Je vais essayer de vous expliquer en quelques mots.
Lorsque vous entendez le Kiddouch récité par le Baal Habayit, ce qui vous permet ensuite de boire de ce vin,c'est le fait que vous avez eu l'intention de vous acquitter de son Kiddouch. C'est donc un peu comme si c'est vous qui avez récité la bénédiction de Boré Péri Hagéfén.
Prenons le cas où vous réciter Boré Péri Hégéfén sur du vin et avant de boire du verre vous vous amusez à dire des mots qui n'ont rien à faire ici, vous serez d'accord que ces mots constitueront une interruption et ceci vous obligera à réitérer la Brakha de Hagéfén.
Dès lors, coomment ce fait est ce que l'homme qui a fait la Brakha sur le verre de vin puisse le boire en fin de Kiddouch alors qu'après Boré Péri Héguéfén il s'est interrompu pour réciter la Brakha de Léchév Bassouka ?
La réponse est que dès lors que nos Maîtres ont institués que cette Brakha a sa place ici, c'est à dire avant de goûter du Kiddouch, ce n'est déjà plus considéré comme une interruption.
A présent, on en revient à la femme. Si la femme était concernée par cette Brakha au même titre que els hommes, elles pourraient toyt à fait répondre Amen puis goûter du verre du Kiddouch. C'est d'ailleurs ce que font les femmes Achkénazes pour lesuqelles il est autorisé à une femme de réciter la Brakha sur la Soukka.
Par contre si l'on considère que els femmes ne sont pas concernées par cette Brakha, ainsi que le pense le Choul'han Aroukh, du coup si elles répondent Amen, ceci est considéré comme étant une interruption entre la Brakha de Boré Péri Héguéfén et la consommation du vin puisqu'elle a dit un mot qui n'a rien à faire là pour elle.
Ceci étant, elle peut répondre Amen simplement elle ne porra ensuite pas boire de ce vin.
Je reprécise qu'elle s'acquitte de la Brakha même sans avoir dit le mot Amen.
En ce qui est de la Brakha sur le Talith, pourquoi serait elle empêchée de répondre amen après la Brakha récitée par un homme ? Elle n'a ici pas de problème d'interruption ! Donc bien sûr qu'elle doit répondre.
Dites moi svp si à présent c'est plus clair !
Kol touv !
c'est tres tres claire comme toujours
merci infiniement rav et hag sameah