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Dire merci a hachem systematiquement ?
Chalom kvod harav,
Je voulais avoir votre avis sur la chita breslav, et plus précisément sur l'opinion du rav Arouch qui affirme qu'il faut dire en toute circonstance merci hachem pour le bien comme pour le mal, car tout vient d'hachem,et tout est pour le bien, et si tout ( bien comme le mal) vient d'hachem alors il faut systématiquement dire merci, comme l'opinion du choulhan aroukh kol ma déavid rahamana létav avid,
Chalom!
On ne peut qu'être d'accord avec cela, comment ne pas l'être. Il faut toujours remercier D. pour lke bien qu'il fait à notre égard.
Il faut juste éviter l'erreur tragique dont je parle dans le cours suivant: http://www.torahacademy.fr/parachat-chemini-vive-les-epreuves
Béhatslah'a!
shalom Rav,
je tient a vous dire un grand hazak ou baroukh pour votre cours qui est comme d'habitude clair et pleins de bon sens, je partage votre avis sur les deux étapes de la souffrance, c'est peut-être dure a dire mais en Israël il y'a une mode de se réjouir ( ou faire semblant) face a un drame , je prend un exemple actuel d'un Rav qui a perdu sont fils mort noyé a la mer, il a été entendu a la radio Kol Bérama et il a dit actuellement ce ne sont pas des chiva mais des chéva bérakhotes, alors que sont fils est Mort...
je vous épargne toute la hitlaavoute de ce Rav face a cette événement. Comment comprendre ce comportement? nous les ignorants ont va dire ce Rav ces un tsadik... ou peut-être ont va dire kol ma déavid rahamana létav avid, car le choulhan aroukh tranche comme cela et donc il est justifié de se réjouir ma ché yheyé, car hachem fait que le bien?
Chalom!
Il faut dire Kol Ma Déavid, et plus précisément "Barouh' Dayan Haemeth" mais de là parler de Chéva Brah'ot, c'est à mon avis un manque de bon sens.
Je n'ai jamais entendu un Gadol Israël s'exprimer de la sorte face à une tragédie telle qu'un décès.
Si ce sont des Chéva Brah'ot, pourquoi doit-il réciter le Birkat Hamazon des endeuillés et s'asseoir par terre, qu'il allume la musque et se mette à danser.
C'est justement pour dénoncer ce genre de réactions que je vous ai renvoyé à ce cours. Je ne sais pas si c'est une mode ou autre chose, mais cela ne change rien, le juif qui perd un proche à le devoir de pleurer.
Béhatslah'a et Bessorot tovot!