val

Chalom!

Il y a quelques années en Israël il y eu de graves infections au sujet des fraises. Selon le Rav Vaya Chlita il n'y avait aucune autorisation de les consommer telles quelles. 

Il fallait impérativement retirer la peau entièrement ou alors piller les fraises et en faire de la glace ou autre.

Au jour d'aujourd'hui je ne suis pas certain du tout que le problème soit résolu. Il faudrait se renseigner auprès du Rav Vaya. J'essayerai Bli Neder de vérifier.

Kol touv!

Chalom Ouvrakha !

Je crois savoir que la résine est du plastique. C'est l'objet d'une discussion entre les décisionnaires de savoir si l'on peut cachériser le plastique.

En pratique versez dessus de l'eau bouillante, et ensuite évitez que de la nourriture bouillante tombe directement dessus. Si ceci se passe en tout cas elle sera autorisée puisque l'évier ne sera en tout cas pas Ben Yomo depuis la fois où il était Taref. 

Bisma'hot Etslakhem !

Connaissant votre Ayin Tova je sais que vous vous associez à 100 pour cent dans notre joie et cela me fait très plaisir !

Kol touv !

Chalom Ouvrah'a!

Le problème des légumes achetés sans un bon Hechcher est qu'il est possible que les Téroumot et Maaserot n'ont pas été effectués comme il se doit.

Mais si ces épinards ont été emballés etc. à l'étranger, ils en sont de toute façon dispensés.

Cf aussi http://www.torahacademy.fr/les-endroits-concernes-par-le-prelevement-des-teroumot-oumaasserot pour mieux comprendre tout cela.

Par contre il y a un problème de bestioles qui pourraient s'y trouver. 

Le fait qu'ils aient été déjà hachés ne résout pas forcément le problème vu que généralement les épinards sont hachés en assez gros morceaux ce qui risquerait de ne pas broyer les bestioles qui pourraient s'y trouver et ce faisant d'empêcher l'annulation de cet interdit.

Au passage sur le plan du résultat final, il est vrai que dès lors qu'un insecte a été broyé il n'est déjà plus une Bérya et dès lors il est annulable dans le mélange.

Cependant, le Choulhan Arouh' tranche dans Yoré Déa chapitre 99 qu'il est interdit, à priori, d'engendrer une annulation de la sorte!

C'est pourquoi si ces insectes potentiellement présents ont déjà été broyés il n'y a plus de problème, mais de les broyer dans cette intention, ceci est interdit.

Si cependant la raison pour laquelle vous les broyez n'est pas pour éliminer l'interdit mais parce que vous désirez consommer des épinards etc. hachés, il n'y a pas d'interdit vu que vous ne venez pas à présent éliminer un interdit mais consommer vos épinards de la façon que vous auriez souhaité même s'il n'y avait pas d'interdit.

Certains Décisionnaires autorisent de hacher si vous n'êtes pas certaine que se trouvent à l'intérieur des bestioles et que vous les faites que dans un cas de doute. Mais à nouveau, il faut les hacher très finement de sorte à être sûre que les potentiels insectes seront broyés.

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Le Choulh'an Arouh' écrit que si vous avez l'intention de distribuer les pains que vous préparez alors qu'ils sont encore en état de pâte, et qu'ils n'ont pas encore été cuits, et qu'à chaque personne vous distribuez une quantité inférieure à la quantité qui nécessite de prélever la H'alla, vous êtes dispensée de prélever la Halla.

Si toutefois vous distribuez les pains alors qu'ils sont déjà cuits, vous devez prélever la H'alla avec bénédiction, bien que chaque personne recevra une petite quantité et que vous même conserverez chez vous une petite quantité. (Bien évidemment dans la mesure où la pâte initiale contenait la quantité nécessaire pour prélever la H'alla!).

Nous allons mettre en ligne dans quelques jours Béézrat hachèm un résumé écrit concis de toutes les lois relatives au prélèvement de la H'alla.

Kol touv.

Chalom Ouvrah'a!

Pour la farine la coutume est de la tamiser. Ceci étant, il existe en Israël des tamis qui sont fait exprès pour tamiser ce genre de farines plus épaisses que la farine ordinaire.

Béhatslah'a!

Chalom Ouvrah'a!

Vous pouvez tout à fait, et vous pouvez même manger ces sorbets au même moment que de la viande.

Même si vous vous serviez de cette sorbetière à chaud ceci aurait été possible.

Pour bien comprendre, je vous invite à écouter le cours suivant http://www.torahacademy.fr/gout-second. Je suis certain qu'il vous apportera beaucoup et vous aidera beaucoup dans votre cuisine au quotidien.

Kol touv.

Chalom!

En Israël on peut trouver des tamis avec le Hechcher du Rav Vaye Chlita qui sont réservés à cet effet L'espace entre les trous est plus grand.

kol touv!

Chalom!

Non ce n'est pas la peine! Les vers qui pourraient s'y trouver sont annulés dans une quantité 60 fois supérieure à eux.

Ceci m'étonnerait que les vers se trouvent en quantité supérieure à cela.

Etant donné en plus que ce n'est qu'un doute qu'il y a a peut être des vers, ceci est autorisé sans vérification au préalable.

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Dès lors que vous savez dès à présent que cette pâte est destinée à être cuite et non frite, vous pouvez dès à présent procéder au prélèvement de la h'alla.

Dès lors que vous pouvez déjà y procéder il faut le faire immédiatement pour deux raisons.

• La première est que toutes les Mitsvots doivent être accomplies avec zèle.
• La seconde est qu'il est totalement interdit de consommer cette pâte tant que la h'alla n'a pas été prélevée et pour éviter tout risque que quelqu'un en vienne à la consommer avant que la h'alla ait été prélevée, il vaut mieux le faire immédiatement.

Si cette pâte était destinée à être frite (comme par exemple des beignets, on rentre dans une grande discussion quant à savoir si on a le devoir de prélever malgré tout la h'alla ou pas et si oui, si on doit réciter la bénédiction.

En pratique l'idéal pour s'acquitter de toutes les opinions est de prélever la h'alla sans réciter de bénédiction.

Kol touv!

Chalom!

Pouvez vous s'il vous plait m'écrire le terme en lettres françaises?

Merci.

Chalom!

Il n'y a a aucune obligation de faire un bain d'après la stricte Halah'a. Il faut procéder à la H'afifa comme il se doit à savoir bien se nettoyer à l'eau chaude toutes les parties du corps, et se peigner les cheveux alors qu'ils sont encore humides etc.

Il faut savoir que pour les Séfaradim la H'afifa doit être faite Samedi soir et non pas le Vendredi. Donc tenez compte de cela pour faire une bonne H'afifa le Samedi soir (si possible avec un bain pour être sûre d'être encore plus propre). Choulh'an Arouh' chapitre 197.

Veuillez écouter le cours suivants:

http://www.torahacademy.fr/tahara-11-3

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Certains Décisionnaires écrivent que si la femme a l'habitude de se découvrir la tête généralement lorsqu'elle se trouve à la maison, en absence de personnes étrangères ce qui est autorisé d'après la stricte loi, elle peut aussi se trouver en ayant les cheveux découverts pendant cette dite période vu que la mari a l'habitude de la voir dans cette tenue (Igerot Moché Tome 2 Yoré Déa chapitre 75, Taharat Habaït en page 165).

Et ceci est à condition que la mari sait que ceci ne l'entraîne pas à avoir des pensées trop fortes (Hirhourim) sur sa femme.

Kol touv!

Chalom!

Oui si c'est du riz que vous comptez consommer pendant la fête, il n'y a aucun problème.

Si vous trouvez du blé, vous le mettrez de côté.

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Uniquement Taanit Chaot (décisionnaires contemporains se rapportant au chapitre 616).

Kol touv et Gmar H'atima Tova!

Chalom Ouvrah'a!

Le Chout Chévet Hakéhati (Tome 1 chapitre 191) l'autorise explicitement. 

Toutefois il y aurait à mon humble avis beaucoup à redire sur tous les arguments qu'il apporte, et ses preuves. J'en ai parlé ce soir avec un autre Rav qui était d'accord avec moi.

C'est pourquoi si vous souhaitez connaitre mon avis, je vous le donne sans rentrer dans toutes les démonstrations Halah'iques nombreuses sur lesquelles ce Psak se repose.

1- Si vous pouvez vous arranger autrement (exemple: le dégeler la veille de Yom Kippour) c'est l'idéal.

2- Si c'est difficile, il vous est possible de le sortir longtemps avant l'issue du jeûne, de sorte à ce qu'il soit déjà apte à la consommation alors que le jour de Kippour n'est pas encore terminé, et ce, à condition qu'à la maison se trouvent des enfants qui ne jeûnent pas et seraient donc susceptibles de pouvoir le consommer.

Je précise tout de même, qu'il serait tout à fait possible d'autoriser cela, si vous le décongelez dans l'intention d'en donner une partie aux enfants avant l'issue du jeûne. De cette façon là ce n'est pas une préparation pour la semaine mais pour le jour de Kippour même.

Kol touv et Gmar H'atima Tova!

Chalom!

Oui c'est permis dans la mesure où c'est de la nourriture et que celle ci pourra être consommée pendant Chabbat. Du coup c'est un cadeau offert pour le Chabbat et c'est autorisé. (décisionnaires au chapitre 306).

Cependant, elle n'est pas acquittée de son devoir de Michloah' Manot si elle n'a envoyé aucun ce Vendredi.

Barouh' hachem on a passé un très bon Pourim. C'est gentil de prendre de nos nouvelles. 'espère que chez vous aussi ça s'est bien passé.

Chavoua Tov!

Chalom!

Sans aucun problème.

Le seul problème qui aurait pu se poser est dans le cas où vous vous en seriez avec du H'amets à chaud ou avec du H'amets et des oignons ou autres légumes piquants au même moment.

Attention: Ne vous servez pas du slicer le Chabbat. 

Cf aussi: http://www.torahacademy.fr/slicer

Yom Tov c'est plus simple, comme je l'ai écrit dans la réponse suivante: http://www.torahacademy.fr/yom-tov_5

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Méikar Hadin il n'y a aucun problème. Si vous voulez vous montrer plus rigoureuse, vu que cela entre en contact direct avec la nourriture, c'est possible.

Kol touv!

Chalom!

Si vous le recouvrez entièrement de papier aluminium dont vous êtes sûre qu'il ne se déchirera pas, ce n'est pas la peine de tout de verser dessus de l'eau bouillante.

En tout cas, c'est permis de ne pas attendre 24 heures pour le plan de travail. 

Kol touv!

Chalom Ouvrakha !

Pour les Séfardes c'est autorisé déjà depuis l'issue de Motsei Ticha Beav de faire des lessives, se doucher, se couper les cheveux etc. en dehors de la consommation de vin et de viande qu'il est interdit jusqu'au lendemain soir (Choul'han Aroukh chap. 551 § 4).

La coutume Achkénaze est de se plier à l'opinion des décisionnaires qui l'interdisent jusqu'au lendemain midi ('Hatsot) (Michna Béroura chap. 551 § 37). Au sujet de la viande c'est pareil c'est à dire qu'ils n'interdisent le lendemain que jusqu'à 'Hatsot et pas jusqu'au soir (Rama chap. 558 § 1).

Kol touv ! 

Chalom!

Aucun problème si durant toute la période passée il n'y avait pas de pastèque sur le marché!

Cf aussi http://www.torahacademy.fr/tou-bichvat-et-cheheh-eianou

Kol touv!

Chalom Ouvrakha !

A vrai dire c'est une excellente question à laquelle je n'avais jamais pensé.
J'ai pensé dire que l'on doit mettre une Mézouza puisque l'essentiel de la pièce ce n'est pas le jaccuzi mais c'est l'utilisation de la pièce en tant que chambre, sans parler du fait que aujourd'hui les bains sont propres et que les toilettes n'ont selon certains statut de toilettes qu'à l'endroit même des toilettes etc.

J'a tout de même souhaité trouver un Rav qui irait dans mon sens, et j'ai avec joie vu que la question a été posée au Rav Ovadia zatsal et qu'il a répondu comme j'ai pensé (Mayan Omer (tome 6 chap. 2 § 31)).

Kol touv !

Chalom !

Hodou Lacem Ki Tov Ki Léolam 'Hasdo.

L'endroit où ça a eu lieu elle va s'y rendre souvent ? Je veux dire il est sur son passage ou pas ?

Chalom!

Oui (Choulh'an Aroukh Chap. 219 § 8).

Kol touv!

Chalom!

Oui. 

Pour bien comprendre cela il vous faut étudier le Choulh'an Arouh' au chapitre 205.

. על הירקות מברך בורא פרי האדמה ואפילו בשלם וכן כל פירות וקטניות שטובים חיים ומבושלים מברך עליהם לאחר בישולם כברכתם הראויה להם קודם שבישל אבל קרא וסילקא וכרוב וכיוצא בהם שטובים מבושלים יותר מחיים כשהם חיים מברך שהכל ולאחר בישולם בורא פרי האדמה ותומי (פירוש שומים) וכרתי (פירוש פור''ט בלע''ז) כשהם חיים בורא פרי האדמה לאחר שבישלם שהכל

הגה: דמחשבי נשתנו לגריעותא ואפילו בשלם עם בשר ונשתבחו אין השבח מצד עצמן אלא מחמת הבשר שבהם     

Le Rav Feinstein zatsal et de nombreux autres décisionnaires prétendent que de nos jours où on ne mange pas les oignons crus, ni cuits tels quels (je ne parle pas de fris)on doit réciter la Brah'a Chéhakola aussi bien sur les oignons crus que cuits.

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Le Shoulhan Arouh interdit de pétrir avec du jus de fruits uniquement (sans adjonction d’eau) une quantité de pâte telle qu’il aurait dû en prélever la Halla.

En effet, seule une pâte pétrie avec de l’eau est apte à recevoir l’impureté. Une pâte pétrie uniquement avec du jus de fruits nous place dans le dilemme suivant :

-D’un coté, nous ne pouvons la brûler car seule une Halla impure peut être brûlée.
-D’un autre coté, étant de nos jours, nous même considérés comme impurs, nous sommes dans l’impossibilité de l’offrir au Cohen.
En dehors d’Israël, il existe la possibilité de l’offrir à un Cohen mineur ou à un Cohen majeur venant de se tremper au Mikvé (suite à une pollution nocturne).

C’est pourquoi nous nous abstenons de pétrir de la pâte avec du jus de fruits à moins d’y avoir ajouté aussi un peu d’eau.

Cependant, les décisionnaires actuels écrivent que de nos jours, le blé ayant subi un traitement à l’eau avant d’être transformé en farine, toute pâte même pétrie uniquement avec du jus de fruits, est apte à recevoir l’impureté.

On pourrait donc autoriser de pétrir une telle pâte.

En revanche, la farine spécialement produite pour la fête de Pessah, certifiée Cacher LePessah, ne subit pas de traitement à l’eau. Il sera donc interdit de la pétrir avec du jus de fruit.

Celui qui a, malgré tout pétri de la pâte avec du jus de fruits uniquement devra, selon le Shoulhan Arouh, en prélever la Halla avec bénédiction.

Pourtant, en pratique, on prélèvera la Halla sans bénédiction étant donné que certains Richonim (décisionnaires médiévaux) dispensent tout prélèvement. Telle est la conclusion des décisionnaires autant séfarades (Ben Ish Haï, Kaf Hahaïm et autres) qu’ashkénazes (Shah', Taz et autres)

La conduite à tenir sera identique même dans le cas d’une farine traitée auparavant à l’eau, car même si nous considérons cette pâte comme apte à recevoir l’impureté, on en prélèvera la Halla sans bénédiction.

Pourtant, dans le cas où la pâte a été pétrie non avec du jus de fruits mais avec un des sept liquides rendant apte à recevoir l’impureté : vin, miel d’abeilles, huile d’olive, lait, rosée, sang ou eau, on en prélèvera la Halla avec la bénédiction suivant ainsi l’opinion de la majorité des décisionnaires qui considèrent que telle est l’opinion unanime des Richonim dans ce cas.

Ainsi tranche le Rav Mordehai Eliahou Zatsal, différant ici du Ben Ish Haï (qui dispense lui, de bénédiction dans ce cas).

Cette décision se justifie encore plus dans le cas d’une farine ayant été traitée à l’eau.

Béhatslah'a!

Chalom!

Le fait que les fruits se trouvent sous forme de confiture ne pose aucun problème.

Les décisionnaires écrivent par exemple qu'il est possible de réciter Céhhéyanou sur des fruits bouillis ou fris (Daat Torah, Ben Ich H'aï, Rav Elyachiv etc.). 

Le fait qu'ils soient coupés n'est pas dérangeant vu qu'on arrive à les reconnaître.

Le problème est que s'il s'agit de confiture commercialisée, étant donné que durant toute l'année on peut se procurer ce genre de confiture, même si on peut être certain qu'il s'agit de fruits de la nouvelle saison étant donné que toute l'année ils se trouvent sous cette forme dans les rayons des magasins on ne peut pas réciter Chéhéhyanou.

Kol touv!

Chalom!

A la maison c'est impératif qu'il prie. Mais même au Mynian c'est important à cet âge là.

Il faudrait l"encourager à la positive en lui disant qu'il est déjà grand, et presque Bar Mitsva etc. Peut être s'il peut aller avec son père cela le motivera plus.

Béhatslah'a!

Chavoua Tov !

Le Rav Yossef 'Haïm Zounenfeld zatsal a rédigé une longue réponse (rapportée dans le Kovets Beth Hillel en page 11) au sujet d'un homme qui a écrit dans son testament qu'il souhaite que ses enfants lui fassent un Pydion Néféch après sa mort. 

Il s'étend pour prouver que si telle est la volonté du père c'est à faire et il explique que ceci peut effectivement être valable même après le décès.

Il explique aussi de quelle façon y procéder concrètement. 

En ce qui est de l'endeuillé il est clair qu'il peut le faire s'il le souhaite. Je ne connais pas de source invitant en particulier l'endeuillé à le faire, mais qu'il y a du Din sur l'endeuillé durant toute la première année c'est explicite dans les textes de 'Hazal (cf. Ramabam chap. 13 § 12 des lois de Avel). 

Bessorot tovot !

Chalom!

Oui c'est autorisé. Les habits c'est interdit tant que certaines conditions ne sont pas respectées. Mais au sujet d'une salle à manger et en particulier si vous en avez besoin, c'est autorisé.

Béhatslah'a!

Chalom!

S'il ne s'agissait que du Omer nous aurions pu autoriser, mais puisque votre mari est en deuil c'est interdit de jouer de la musique. 

Le fait qu'il serve n'est pas suffisant du tout. Pourquoi voulez vous qu'il serve? Il doit être présent en tant que père, et il ne faut donc pas de musique. Mais ce n'est pas grave, les amis du Bar Mitsva chanteront et danserons sans musique.

Béhatslah'a et Mazal Tov!

Chalom !

C'est par mesure d'honneur que l'on doit aux parents !

Béhatsla'ha !

Chalom !

Pas d'obligation, ni chez vous ni chez le défunt, mais c'est une bonne chose dans la mesure du possible d'allumer chez vous aussi en son honneur !

Bessorot Tovot !

Chalom Ouvrakha !

Que D. vous consolle Béézrat Hachem à vous et à toute votre famille ! Amen Véamen !

L'interdit de recevoir ou d'offrir un cadeau provient de l'interdit de dire Chalom à un endeuillé. En effet, offrir un cadeau c'est prêter uen attention particulière àa la personne un peu comme la bénir en lui disant Chalom.

Or, la Halakha est que l'endeuillé après les 30 jours a le droit de dire Chalom aux autres mais nous n'avons pas le droit de le lui dire durant toute l'année. (Choul'han Aroukh Yoré Déa chap. 385 § 1).

Donc, vous avez le droit d'offrir des cadeaux après les 30 jours. Mais les autres ne doivent pas vous offrir sauf cas particuliers tels que cadeau d'anniversaire ou fleurs que le mari à son épouse en l'honneur de Chabbat etc.

Béhatsla'ha Rabba !

Chalom Ouvrakha !

A vrai dire c'est une excellente question à laquelle je n'avais jamais pensé.
J'ai pensé dire que l'on doit mettre une Mézouza puisque l'essentiel de la pièce ce n'est pas le jaccuzi mais c'est l'utilisation de la pièce en tant que chambre, sans parler du fait que aujourd'hui les bains sont propres et que les toilettes n'ont selon certains statut de toilettes qu'à l'endroit même des toilettes etc.

J'a tout de même souhaité trouver un Rav qui irait dans mon sens, et j'ai avec joie vu que la question a été posée au Rav Ovadia zatsal et qu'il a répondu comme j'ai pensé (Mayan Omer (tome 6 chap. 2 § 31)).

Kol touv !

Chalom Ouvrah'a!

Je comprend votre question dans la mesure où de nos jours pour sensibiliser les gens à donner leur Maasser, on met en avant les soldats vu que nous les aimons tant et que nous nous sentons tant redevable à leur égard, et les gens donnent, souvent sans savoir si l'argent parvient vraiment, et dans son intégralité aux soldats.

Il faut savoir la vérité de la Torah, et non les techniques commerciales actuelles pour ramasser de l'argent.

Les soldats n'ont pas forcément le statut de pauvres, ni d'étudiants en Torah.

Le Maaser doit être donné à des pauvres, personnes nécessiteuses, ou étudiants en Torah. Ou encore, pour des causes de Mitsva ainsi que je l'ai expliqué dans les cours sur les lois de Tsédaka et Maasser.

Notre devoir de gratitude à leur égard ne nous permet en rien de nous servir de l'argent du Maasser pour des causes qui ne sont pas valables.

Nous pouvons à présent répondre à la question forts de ces introductions pas suffisamment évidentes pour tous!

Si nous sommes sûrs que l'argent versé à ces institutions (surveillées par des Talmidé H'ah'amim) est distribué à des soldats nécessiteux, ou qu'il permet de leur apporter le nécessaire dont ils ont besoin pour bien se porter sur le front etc. c'est effectivement une bonne cause au même titre que ceci aurait été une bonne cause s'il ne s'agissait pas de soldats. (Sauf que là intervient effectivement l'aspect de gratitude que nous avons à leur égard).

Le principe à retenir est que la Tsédaka doit être donnée soit

• à des personnes que vous connaissez personnellement et dont vous connaissez la nécessité effective. ou
• à des institutions sérieuses dont vous pouvez être sûre que l'argent est réparti de façon conforme aux lois de Tsédaka (qui ne s'improvisent pas, ce sont des lois aussi précises que les lois de Chabbat etc.) et que les personnes qui se trouvent à leur tête sont honnêtes et dignes de confiance.

Or, les Décisionnaires disent que c'est à celui qui donne de s'assurer de l'intégrité des personnes auxquelles il donne, s'il veut être sûr de s'acquitter de son devoir de Maasser.

Béhatslah'a!

Chalom!

Non sauf en cas de grande nécessité comme explicité dans ce cours:

http://www.torahacademy.fr/chemita-sortir-a-l-atranger

Kol touv!

Chalom Ouvrakha !

Cf. http://www.torahacademy.fr/sortir-d-eretz-israel

Kol touv !

Chalom!

Vous posez une question assez générale. Ils sont sensés afficher sur chaque espèce de fruits qu'ils vendent d'où elle provient.

Une fois que vous connaissez la provenance de ces fruits, dites le moi et je vous dirai exactement quelles sont les précautions à prendre.

Vous êtes invitée aussi à regarder aussi le cours suivant sur la Chémita et les différentes solutions:

http://www.torahacademy.fr/guide-pratique-faire-ses-courses-pendant-la-chmita

Kol touv! 

Chalom Ouvrah'a!

D'après le H'azon Ich pour lequel les légumes de Heter Méh'ira sont complètement interdits à la consommation, oui.

D'après le Or Letsion (Rav Ben Tsion Abba Chaoul zatsal) bien que ces légumes sont interdits à la consommation, ce n'est pas nécessaire de Cachériser les ustensiles.

D'après le Rav Ovadia il est même autorisé d'après la Halah'a de les consommer (bien qu'il vaille mieux dans la mesure du possible s'en abstenir).

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Tout d'abord je pense que vous devez être rassurée si les Rabbanim vous disent qu'il est bien dans sa peau, parce qu'ils se trouvent avec lui au quotidien et qu'ils sont sensé s'y connaitre un minimum dans la psychologie de l'enfant.

En ce qui vous concerne, je pense que ce que vous devez tenter est de trouver des sujets de discussions qui le passionnent et de cette façon là le pousser un peu à la discussion.

En dehors de cela, il est important de saisir les moments où vous sentez qu'il souhaite discuter même si à ces moments là vous êtes complètement débordés.

Souvent les enfants, de cet âge en particulier ont horreur de sentir qu'on leur fait une faveur lorsqu'on leur consacre du tempos, ils veulent sentir que nous même souhaitons cette discussion.

Il faut aussi savoir qu'à l'âge de l'adolescence c'est souvent naturel que les enfants se referment un peu en particulier vis àç vis de leurs parents, et il ne faut pas trop les forcer à parler parce que cela peut entraîner qu'ils se renferment davantage. 

Enfin, vous pouvez peut être essayer de lui faire des "Matsavim" particuliers comme par exemple sortir les deux parents seuls avec lui au restaurant ou pour une partie Pizza, ou encore faire une promenade dans le quartier seul avec lui etc. Ceci peut l'ouvrir de façon naturelle.

N'oubliez pas la prière, évidemment! 

Kol touv et Béhatslah'a!

Chalom Ouvrakha !

Le Ben Ich 'HaÏ (Parachat Yitro § 9) lorsqu'il parle de la façon d'être assis lors de la prière il écrit de ne pas croiser ses jambes. 

Le Caf Ha'haïm dans les lois relatives au Beth Haknesset rapporte au nom du Knesset Hagédola de ne pas tendre ses jambes etc. mais de s'asseoir avec crainte. 

Maintenant c'est sûr qu'il y a une différence entre le moment de la Téfila et un autre moment et qu'il y a une différence entre plusieurs façons de croiser ses jambes sans faire de dessins.

C'est à dire que certaines personnes arrivent mieux à se concentrer lorsqu'ils étudient lorsqu'ils croisent leurs jambes, et ce n'est pour eux certainement pas un signe de mépris pour la synagogue. Je ne vois pas de problème de le faire dans cet état d'esprit de façon non provocatrice, et or Téfila.

Kol touv !

Chalom Ouvrah'a!

Vous posez une excellente question.

En effet, il existe une interdiction de la Torah de ne pas faire souffrir un orphelin.

En fait nos Maîtres expliquent que cette interdiction concerne tout juif, sauf que les orphelins et les veuves ainsi que les convertis sont particulièrement susceptibles, et c'est pourquoi il faut faire particulièrement attention à cela!

Toutefois le Rambam écrit explicitement dans les lois de Déot au chapitre 6 que dans le Rav peut le réprimander pour l'éduquer. C'est à dire que l'interdiction est lorsqu'on le fait souffrir pour notre propre profit, mais si c'est pour son bien, c'est autorisé. 

Même dans un tel cas, il est autorisé de le réprimander mais de façon plus ménagée et douce qu'à une autre personne.

Donc, dans un tel cas vous pouvez ou devez lui faire une réprimande si vous pensez pouvoir l'aider en le faisant mais en ménageant au maximum sa sensibilité. Et uniquement si vous le faites dans ce but précis.

Si vous avez un doute si c'est dans ce sens que vous le faites ou pour vous calmer de votre inquiétude, il vaut mieux effectivement ne rien lui dire.

Béhatslah'a!

Chalom Ouvrah'a!

Votre question se divise en plusieurs points.

Le premier consiste à savoir s'il n'y a pas un problème de mentir lorsque vous lui dites que vous ne possédez pas ce qu'elle demande alors qu'en fait vous possédez cela.

Le Rav H'aïm Kanyevsky Chlita a clairement répondu à cette question. Il dit que lorsqu'une personne a de l'argent dans sa poche mais qu'elle ne souhaite pas le donner à une personne qui la sollicite, cette personne a le droit de dire "je n'ai pas d'argent sur moi" alors qu'en fait elle en a. La raison en est que lorsque je lui dit que je n'ai pas d'argent cela ne signifie pas que je n'ai pas d'argent du tout, mais que je n'ai pas d'argent pour lui. 

Il en va donc de même dans votre cas.

Le second concerne le fait de renoncer à accomplir à une Mitsva de H'essed qui est une Mitsva de la Torah avec cette amie.

Si vous savez qu'elle emprunte et qu'elle ne rend pas, vous avez peut être une interdiction de lui prêter, vu que lorsque vous lui prêtez, vous l'aider à enfreindre un interdit (celui de ne pas rendre), et c'est interdit à cause de Lifné Iver ou de Méssayéa Lidvar Avéra.

Toutefois si vous savez qu'elle finit par vous rendre mais alors que vous avez eu besoin de lui réclamer, vous ne commettez pas cette faute, et donc vous devriez lui prêter pour vous acquitter de la Mitsva de H'essed.

Toutefois ce n'est pas nécessaire, de lui prêter en ce sens où vous me dites que vous avez honte de lui réclamer et vous savez que si vous ne lui réclamez pas elle ne vous rendra pas. Vous n'avez pas d'obligation de vous gêner et vous mettre dans une situation tellement désagréable pour faire du H'essed avec cette personne.

Peut être uniquement Lifnim michourat hadin, c'est à dire par mesure de piété extrême vous devriez malgré tout lui prêter quitte à vous rentrer ensuite dans cette situation désagréable, mais ce n'est en tous les cas pas obligatoire du tout.

Le dernier conseil que je peux vous donner, est de lui offrir ce dont elle a besoin s'il s'agit de petites sommes, et c'est indéniablement du H'essed vu que vous la dépannez au moment où elle a besoin de ces aliments.

Si cette personne est financièrement pauvre, vous pouvez de surcroît lui donner ces aliments et déduire cette somme de l'argent que vous devez donner au Maasèr vu que c'est une Tsédaka que vous faites avec elle.

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Pour la nuit ce n'est pas suffisant et surtout pour les Séfaradim. En journée on aurait pu se montrer indulgent dans un cas de nécessité.

Il faudra trouver une autre solution.

Kol touv!

Chalom!

Merci pour vos compliments.

Il faut demander au patron du magasin ou au moins à la caissière générale s'ils autorisent ce genre de transactions. C'est possible qu'ils acceptent pour tout type de calculs qu'ils ont.

Sans leur demander c'est un problème de vol. 

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Si vous souhaitez vraiment savoir ce que je pense de tout cela, rendez vous sur le site Dimanche matin! Le cours qui sera en ligne traite justement des démons et de ce genre de problèmes!

Voici le lien de ce cours http://www.torahacademy.fr/demons-et-perruque

En un mot, il est clair que le Ayn Hara existe et qu'il est à l'origine de nombreux problèmes ainsi que la Gémara l'écrit explicitement.

Il faut savoir qu'il y a une Ségoula écrite dans la Gémara tel que croiser les mains l'une dans l'autre et réciter les mots

"אנא מזרעא דיוסף קאתינא דלא שלטא ביה עינא בישא"

Ce qui signifie "Je suis descendant de Yossef dont on dit de lui que le Ayn Hara n'avait pas d'emprise sur lui".

Les Ségoulot écrites dans la Gémara c'est clair qu'elles sont bonnes et importantes et qu'on doit s'y fier, en étant certain qu'elles ne sont pas de la superstition.

Au sujet de cette histoire du plomb, il y a des femmes qui savent le faire.

De source dans la Gémara il n'y a pas, mais c'est une coutume ancestrale de procéder de la sorte pour retirer le Ayn Hara.

Est ce que ça marche? Je ne sais pas!

Une chose est sûr, les grands Rabbanim tels que le Rav H'aïm Knyevsky et le Rav Steinman Chlita ne conseillent pas d'avoir recours à ce genre de procédés. D'après eux, il y a tellement d'autres bonnes choses à faire pour éviter le Ayn Hara que c'est vraiment de la perte de temps voir même de la simplicité d'esprit de ce rendre chez ces personnes.

En revanche, j'ai interrogé le Rav Moché Tsadka Chlita qui m'a dit que c'était permis de le faire et que c'est une coutume ancestrale, et qu'il n'y a adonc aucun problème de le faire!

En tous cas, n'oublions pas que ce que D. attend de nous principalement est que nous nous transformions nous même et non que nous cherchions sans cesse des échappatoires à ce travail personnel en trouvant tout type d'autres moyens indirects de s'en sortir!

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

   1- Le fait de se laver les mains quand on se rend au Kotel n'est pas lié aux lois du Kotel, mais c'est lié aux lois de la prière. Lorsqu'on prie l'une des trois prières journalières on a le devoir de se laver les mains avant. 

Le Pélé yoets écrit que le fait de se laver les mains contribue beaucoup à la purification intérieure de chaque juif un peu comme le Mikvé. D'après lui, il convient avant chaque étude ou prière même s'il ne s'agit pas d'une des trois prières journalières, de procéder à une nétilat Yadaïm (sans bénédiction bien évidemment!).

   2- Au moment où on se trouvait dans le Beth Hamidach (à l'intérieur) il existait une loi qui est que c'est interdit de sortir du Beth Hamikdach alors qu'on donne le dos au Kodech.

Au jour d'aujourd'hui on ne peut entrer dans le Kodech et on se trouve en dehors de Har Habaït il n'y a plus d'obligation d'agir de la sorte. Toutefois de nombreuses personnes par piété s'efforcent malgré tout de le faire dans la mesure du possible.

Kol touv et merci pour vos questions toujours intéressantes!