mikael

Chalom!

Etudier la Torah en son honneur et pour l'élévation de son âme.

Organiser des cours de Torah en son honneur.

Donner de la Tsédaka et accomplir des Mitsvots avec encore plus d'enthousiasme en son honneur.

Veiller à ce que le Kaddich soit dit pour lui par ses proches si possible ou autre personne sinon.

Organiser un repas dans lequel on inviterait des Talmidé H'ah'amim et des pauvres et autres personnes à réciter des bénédictions sur les aliments 

Kol touv!

Chalom!

Vous êtes la centième personne à me poser la question, je vois que je n'ai pas d'autre choix que de faire un cours à ce sujet, j'essayerai rapidement de vous faire un exposé à ce sujet vidéo sur le site.

Kol touv!

Chalom!

Veuillez lire les réponses suivantes: 

http://www.torahacademy.fr/ecouter-de-la-musique-classique

http://www.torahacademy.fr/musique-goy

Merci.

Chalom!

Voici la réponse qu' a écrite un ami H'ah'am à votre attention, il souhaite que son nom ne figure pas.

Ces deux ouvrages font assurément parti des livres dits "extérieurs" dont Rabbi Akiva promet à celui qui les lit qu'il n'a point le droit au monde à venir.  (sanhédrin 90)

Voir aussi les propos sévères de Maimonide à ce sujet. Hilkhot Avoda Zara chap 2

Vu que Maimonide a consulté un certains nombres d'ouvrages à caractère idolâtre confirmé, certains maitres, comme l'auteur du Beer Chéva, se sont penchés sur cette apparente contradiction entre ce que professe
Maimonide et ce qu'il fit lui -même.  la réponse proposée est que la consultation de ce genre d'ouvrage est autorisée de manière exceptionnelle pour celui qui souhaite savoir quoi répondre à l'hérétique ou à ce qui lui ressemble., comme le suggère la fameuse Michna des pirké Avot. (cette même Michna recommande juste avant d'être assidu à l'étude de la Torah, ce qui me fit dire un jour que le meilleur moyen de savoir quoi répondre à un hérétique est d'avoir une connaissance profonde de la Torah. )

Conclusion: a priori, interdiction pour cas exceptionnels, consulter un H'akham qui puisse conseiller personnellement si la lecture est utile ou non.

Kol touv!

Chalom!

Bli Neder on fera un cours à ce sujet, vu que je vois que cette question travaille beaucoup d'internautes.

En s'amusant, un jour le Rav Acher Weisse Chlita disait, les hommes ont le droit et le devoir d'étudier la Gémara et regardez malheureusement combien sont peu nombreux ceux qui s'y investissent suffisamment. Les femmes en sont dispensées et regardez combien sont celles qui aimeraient tellement l'étudier...

A méditer...

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Dans le traité de Brakhot 56a il est dit que celui qui rêve qu'il perd une dent devra s'attendre au décès d'une personne de son entourage Hachem Ychmor.

Si cette perte est indolore, c'est que ce décès ne l'affligera pas outre mesure, il s'agît d'une personne qui n'est pas chère.

Si vous aviez des maux de dents, c'est assez normal que vous ayez rêvé de cela, et c'est dans ce sens que certains décisionnaires écrivent que si tel était le cas, il n'est pas nécessaire de jeûner. En effet, on rêve la nuit de ce qui nous préoccupe en journée.

Sinon le mieux est dans la mesure du possible, de jeûner Tanit H'alom. Mais ce n'est valable que le lendemain et non le surlendemain. 

Vous pouvez aussi procéder à Hatavat H'alom. 

Il est bon d'accompagner ces prières d'une tsedaka et s'il vous est difficile de jeûner, vous pouvez mettre à la tsedaka la somme des repas journaliers.

Bsorot tovot.

Chalom!

Je n'ai pas entendu cela, et cela m'étonnerait vraiment qu'il ait dit cela!

Le Rav Chlita, on le fait parler beaucoup plus que ce qu'il ne parle...

Kol touv!

Chalom!

De nombreuses réponses ont été données à ce sujet.

La plus évidente et élémentaire est que D. attend qu'on fasse notre travail de se rapprocher de lui, puis vient le moment du cadeau, dans lequel il nous offre de façon miraculeuse ce cadeau de Kippour dans lequel Il nous expie toutes nos fautes.

Sinon, ce serait trop facile. l'homme fait ce qu'il veut, puis on le pardonne, et une fois qu'il est déjà propre on le juge, ce n'est déjà plus un jugement juste. Il est complètement erroné. 

Hier soir j'ai entendu une belle réponse du Rav Chlomo Amar Chlita à ce sujet.

Il a dit que le jour de Roch Hachana symbolise la crainte du jugement. Selon lui, impossible de faire une  vraie Téchouva, qui est pourtant la Mitsva des 10 jours de pénitence et de Kippour, sans avoir une crainte qui nous habite. Voilà pourquoi c 'était obligé que cette période soit introduite par ce jugement difficile et inquiétant!

KJol touv et Gmar H'atima Tova!

Chalom Kvod Harav

Chalom Ouvrah'a!

A la creation du monde, Hachem avant de faire pousser les arbres a attendu les prieres de Adam Harichon.

C'est vrai, Rach le dit au sujet de tous les végétaux!

Qu est ce que cela signifie, D. a t il besoin des prieres de l' homme pour agir?

Non, la preuve c'est qu'il a créé l'homme sans que quiconque n'ait prié!

Toutefois une fois l'homme créé, le but des épreuves dans le monde et des insuffisances du monde est que l'homme se sente manquant et qu'il se mette à prier du fond du coeur pour que D. l'exauce.

Je vous invite à écouter le cours suivant: http://www.torahacademy.fr/terrorisme-a-paris-quelle-doit-etre-notre-reaction dans lequel je développe cette idée.  A savoir que la prière ne vient pas pour remédier à nos difficultés, mais au contraire nos difficultés existent pour qu'on se mette à prier.

Et plus generalement, D. a t il besoin de mes Mitsvots?

Il n'a pas besoin, mais cela lui procure beaucoup de satisfaction. Un peu comme votre fils qui vous offre un cadeau avec l'argent de poche que vous lui avez donné. Vous seriez heureux. Bien que vous n'en n'avez pas réellement besoin de ce cadeau.

Cf aussi: http://www.torahacademy.fr/behaaloteh-e-comment-peut-on-faire-kiffer-d. C'est un ecours qui vaut vraiment le coup depusi le début jusqu'à la fin!

Qu estce que D. en a a faire que moi etre si petit fasse sa volonte ou pas?

Vous n'êtes pas si petit!

Vous n'êtes pas moins qu'un prince!

Le fils chéri de D.

Kol touv et Gmar H'atima Tova!

Chalom!

Vous posez une excellente question.

Simplement elle se repose sur un axiome avec lequel je ne suis pas d'accord.

D'après votre question la prière ce n'est qu'un moyen de demander à D. d'assouvir nos besoins. Vous avez à un tiers raison. 

La Téfila d'après nos Sages c'est aussi l'occasion de remercier D. et de lui rendre hommage. (Chévah' et Hodaya).

Vous comprenez que le fait que D. sait qu'on doit le remercier ce n'est pas une raison de ne pas le remercier.

J'ai l'habitude de dire que la prière c'est la façon de communiquer avec D. Et ce dialogue est extrêmement important! Il passe par le fait qu'on le remercie et qu'on le sollicite puis qu'on lui rende hommage. 

Au sein d'un couple pour ne prendre que cet exemple, imaginez que la femme sache que son mari a besoin de telle ou telle chose, pensez vous que ce serai sain que l'homme ne le demande pas à sa femme sous prétexte qu'elle le sait sans qu'il ai besoin de lui demander? La pauvre si son mari se comporte de la sorte!

Généralement dans ce genre de cas les femmes disent "Mais pourquoi il ne demande pas explicitement? Pourquoi que par allusion? etc."

Et bien c'est un peu la même chose concernant toutes les relations de tout genre, y compris notre relation avec D; qui se veut être une relation d'amour.

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

A l'époque des prophètes c'était relativement simple. Il suffisait de se rendre chez le prophète et il nous indiquait notre vocation précise.

Aujourd'hui nous n'avons malheureusement plus de prophète, et c'est à nous de nous débrouiller pour découvrir notre mission sur terre. Je dirai peut être que c'est le piment de notre vie.  A savoir une aventure intéressante et pleine de suspens.

Les éléments à connaitre sont les suivants.

Votre vocation à titre de juif est de servir D. et d'accomplir l'ensemble de Ses Mitsvots. De vous rapprocher de Lui au maximum par le biais de ces Mitsvots et de parfaire votre être dans tous les domaines. 

En dehors de cette vocation générale, chaque juif va exprimer cette vocation générale en se spécialisant dans un certain domaine, et en mettant une note particulière dans un domaine précis, tout en ne délaissant pas le reste. C'est ainsi que la Gémara raconte que tel ou tel Rav était particulièrement attaché à la Mitsva du Talith ou à celle de l'observance du Chabbat etc. 

Pour comprendre quelle est votre vocation, le H'ovat Halevavot écrit que c'est en grande partie ce qui vous attire et ce pour quoi vous trouvez du plaisir qui va vous permettre de comprendre quelle est votre mission. 

Pour ne prendre qu'un exemple, si vous trouvez du goût dans l'étude de la Gémara c'est visiblement que l'essentiel de votre étude doit être dirigée vers cette étude. Si au contraire vous préférez largement l'étude de la Halah'a c'est certainement que c'est dans ce domaine que vous devrez vous spécialiser etc.

Il écrit ceci au sujet du choix d'un métier, et c'est la même chose au sujet de chaque choix. D. pour nous permettre d'arriver à notre finalité, il nous a donné des indices, ce qui nous plait c'est l'un des meilleurs indices qui peut nous permettre de déterminer notre mission sur terre.

Je sais que de nombreuses personnes pensent l'inverse de cela, c'est pourquoi je prend le temps de détailler pour vous écarter de cette mauvaise conception des choses selon laquelle il faut à tout prix négliger ec qui nous plait et ne réfléchir que selon l'intelligence rigide et stérile.

Au sujet des Vaérot, le Ari zal nous précise que les Avérot avec lesquelles on  ale plus de mal, et dans lesquelles on trébuche le plus, c'est la preuve que c'est pour réparer ces Avérot qu'on est venu sur terre, pour les corriger et s'en écarter.

Chaque personne selon ses désirs et ses échecs peut donc comprendre pour quelle réparation elle est venue sur terre.

Enfin être proche d'un Rav peut vous permettre en discutant avec lui de mieux comprendre quelle est votre mission sur terre.

Béhatslah'a!