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Talbel

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Toutes les questions posées par Talbel

Bénédictions

Bénédiction sur l'eau avant le début du repas?

- Vendredi 24 avril 2015 à 15h18 vu 760 fois

Vous dites que le SchOuL'HaN 'AROuKh conseille de faire la bénédiction sur l'eau avant de manger en pensant acquitter l'eau du repas.

N'est-ce pas un problème de BeRaKhaH ScheEINaH TseRIKhaH?

Chalom Rabbi Talbel!

 

Non, ce n'est pas une interdiction de Brah'a Chééna Tsrih'a dans la mesure où la raison pour laquelle on récite tette bénédiction c'est pour sortir du doute.

 

C'est à dire que une bénédiction non nécessaire est une bénédiction non nécessaire, mais dès lors qu'elle est nécessaire pour une raison ou pour autre, ainsi que ce qu'on a précisé, c'est nécessaire et il n'y a donc pas de problème!

 

 Je précise tout de même sachant que vous êtes ashkénaze que les décisionnaires Ashkénaze affirment que leur coutume n'est pas de faire cela.

 

Ainsi j'ai interrogé mon maître le Rav Sternbuh' Chlita, qui m'a dit qu'il ne faisait pas cela!

 

Chabbat Chalom!

Emouna (foi en D.)

Tazria: Ce que pense la Torah de la contraception...

- Lundi 20 avril 2015 à 19h37 vu 779 fois

Chalom!

 

Quelques question sur le cours de TaZRiA'-MeTsoRA':

 

1) Pouvez vous donner une définition plus claire de la différence entre ce qui s' appelle "éviter les souffrance" et "dicter à D. sa conduite"?

Vous dites qu'on ne peut pas dicter à D. sa conduite, mais qu'il faut se sortir des souffrances.

Vous dites qu'il faut éviter les souffrances quand on le peut, mais vous dites aussi que ça n'a aucun intérêt (de même que la contraception).

L'histoire de se mettre des cailloux dans les chaussure n'est elle pas une manière de se faire souffrir?

Mais pourtant vous n'avez pas appelé ça "dicter à D. sa conduite", pourquoi?

 

2) Je ne comprends pas selon votre exposé quelle différence entre la jouissance matérielle ou spirituelle. De toute façons, c'est D. qui a décidé combien on jouira au Chef de l'année et il ne nous reste plus qu'à répartir.

Votre intention est-elle de dire que la jouissance spirituelle cause de la jouissance pour l'année suivante (l'année en cours étant déjà jugée).

 

3) Si j'ai bien suivi, celui qui arrête de travailler à la Cessation aura moins de jouissance dans l'argent, mais plus dans la jouissance de la Cessation. Celui qui observera la Cessation aura donc autant de plaisir qu'en faisant autre chose mais n'en aurait pas pour l'année à venir?

Vous avez pourtant dit que la jouissance spirituelle était supérieure. Peut-être est-elle plus intense mais de moindre quantité car il est impossible de changer le taux de jouissance déterminé au Chef de l'année.

Vous n'avez jamais fait mention de ce sur quoi nous étions jugés au Chef de l'année.

 

4) Vous dites bien que la souffrance du genre de celle de l'éducation est [plus facilement percevable comme] positive, car y aurait-il des souffrances négatives à subir sans en apprendre quelque chose?

Ceci dit, pourquoi ne pas choisir de ne pas souffrir dans un certain domaine qui nous paraît trop dur, tout en sachant qu'on souffrira tout autant dans un autre (si ce n'est qu'on veut dicter à D. sa conduite, mais je reviens au 1er point.

 

La Talmid de Bruxelles.

Chalom!

 

Chalom Ouvrah'a!

 

Cela me fait très plaisir de vous lire et surtout que je constate que vous épluchez chaque phrase que j'ai dite avec une extrême attention, et de façon très organisée et intelligente. Bravo!

 

Quelques question sur le cours de TaZRiA'-MeTsoRA':

 

Cf le cours http://www.torahacademy.fr/tazria-ce-que-pense-la-torah-de-la-contraception...

 

1) Pouvez vous donner une définition plus claire de la différence entre ce qui s' appelle "éviter les souffrance" et "dicter à D. sa conduite"?

 

Je pense qu'on pourrait dire que les choses qui viennent naturellement telles que les maux de tête, la douleur au moment de l'accouchement etc. il faut essayer d'éviter. Par contre imposer à D. qu'on ne veut pas d'enfant alors qu'il n'y a rien de si naturel à avoir des enfants et la preuve est que de nombreuses personnes peuvent avoir une relation sans pour autant que la femme tombe enceinte.

 

Mais ce n'est qu'une petite piste de réflexion, ce sujet est effectivement compliqué et très nuancé.


Vous dites qu'on ne peut pas dicter à D. sa conduite, mais qu'il faut se sortir des souffrances.
Vous dites qu'il faut éviter les souffrances quand on le peut, mais vous dites aussi que ça n'a aucun intérêt (de même que la contraception).
L'histoire de se mettre des cailloux dans les chaussure n'est elle pas une manière de se faire souffrir?
Mais pourtant vous n'avez pas appelé ça "dicter à D. sa conduite", pourquoi?

 

Parce que concernant les cailloux c'est une façon positive et édifiante (en tout cas c'est ainsi que le conçoit le Rav Segal Chlita à son niveau). De même que le Michmar mentionné au nom du Rav Abba Chaoul zatsal.

 

2) Je ne comprends pas selon votre exposé quelle différence entre la jouissance matérielle ou spirituelle. De toute façons, c'est D. qui a décidé combien on jouira au Chef de l'année et il ne nous reste plus qu'à répartir.
Votre intention est-elle de dire que la jouissance spirituelle cause de la jouissance pour l'année suivante (l'année en cours étant déjà jugée).

 

C'est que la jouissance spirituelle on la ressent avec conviction et elle donne un sentiment d'avoir bien fait.

 

3) Si j'ai bien suivi, celui qui arrête de travailler à la Cessation aura moins de jouissance dans l'argent, mais plus dans la jouissance de la Cessation. Celui qui observera la Cessation aura donc autant de plaisir qu'en faisant autre chose mais n'en aurait pas pour l'année à venir?
Vous avez pourtant dit que la jouissance spirituelle était supérieure. Peut-être est-elle plus intense mais de moindre quantité car il est impossible de changer le taux de jouissance déterminé au Chef de l'année.

 

Je ne comprend pas pourquoi vous faites intervenir l'année future. Si une personne procède de la cessation, elle rique de perdre le plaisir que D. lui a prévu parce qu'elle n'a pas fait le Hichtadlout qu'elle aurait dû faire ainsi que l'écrit le H'ovat Halevavot.


Vous n'avez jamais fait mention de ce sur quoi nous étions jugés au Chef de l'année.

 

A quoi faites vous intention par Chef de l'année?

 

4) Vous dites bien que la souffrance du genre de celle de l'éducation est [plus facilement percevable comme] positive, car y aurait-il des souffrances négatives à subir sans en apprendre quelque chose?
Ceci dit, pourquoi ne pas choisir de ne pas souffrir dans un certain domaine qui nous paraît trop dur, tout en sachant qu'on souffrira tout autant dans un autre (si ce n'est qu'on veut dicter à D. sa conduite, mais je reviens au 1er point.

 

Je pense qu'il y a une différence entre souffrir en comprenant ce pour quoi on souffre, et souffrir sans comprendre le sens de cette souffrance ni son intérêt.

 

La Talmid de Bruxelles.

 

Merci pour ces questions enrichissantes et profondes, auxquelles je suis conscient n'avoir répondu qu'en partie parce qu'elles nécessitent vraiment un approfondissement qu'on fera ensemble Bli Neder la prochaine fois que vous serez en Israël si vous le voulez bien.

 

Kol touv et à très bientôt!

 

Médailles obtenues dans les Quizz

L'étude d'aujourd'hui est dédiée à la réfoua chélema de Rabbi Avraham Moréno Albert Ben Rivka. 

Merci de prier pour lui !!