jacob cohen

Chalom!

Si vous souhaitez le faire alors qu'il y a du lait au moment où vous venez remuer à présent, il faut éviter.

Kol touv!

Chalom!

Non, il ne faut pas craindre, vu que ce n'est pas l'habitude. On n'est pas מחזיק אוסור là où il n'y a pas lieu de craindre. 

Surtout que quand bien même elle aurait utilisé à une chose interdite, c'est plausible que ceci fait plus de 24 heures que cela n'a pas été utilisé dans ce sens et donc dans tous les cas le goût est abîmé et ne peut pas vous rendre interdit votre eau chaude.

Kol touv!

Le Ben ICh H'aï l'interdit même en jour ordinaire.

Cf aussi: http://www.torahacademy.fr/plusieur-questions-sur-shabbat

Kol touv!

Chalom!

Non aucun problème. Je ne pense pas que sur le goulot il y ait de la graisse de fromage et de viande.

Le Rama (chapitre 98 paragraphe 2) recommande que lorsque deux personnes  sont attablées à une même table, et que l'un mange du lait d'autre de la viande, que ces deux ne boivent pas d'un seul même verre parce que la graisse se colle sur les parois de l'ustensile.

Je pense toutefois que si vous nettoyez bien le goulot entre les utilisations que ce'est permis. 

Chalom!

D'après de nombreux décisionnaires le Rov Tachlich ce n'est pas une raison de ne pas Cachériser ce qui est devenu Taref de façon exceptionnelle, mais c'est plutôt une façon d'établir quelle va être le mode de cvachérisation.

Si par exemple on se sert généralement d'un ustensile en Irouy Mikli Chéni, on le cachérisera avec un Irouy bien que quelque fois on s'en soit servi directement sur Kli Richon.

Mais de dire qu'il n'est pas nécessaire de cachériser une marmite dont on sait qu'elle a déjà été utilisée avec du Taref sous prétexte que généralement on ne s'en sert pas avec du Taref, cela, non.

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Le moment approprié à la Mitsvat Ona est la nuit et non la journée.

Toutefois il y a certains cas où on conseille ou permet d'avoir des relations en journée, comme cas d'ovulation en journée, ou lorsque la nuit la femme est systématiquement fatiguée etc.

Dans ces cas, on peut autoriser d'avoir des relations en journée (après avoir eu l'accord d'un Rav), toutefois c'est à condition que les volets soient fermés et qu'il y ait une totale obscurité dans la chambre, parce que c'est totalement interdit d'avoir des relations alors qu'il y a de la lumière, et ce, même si c'est en pleine nuit.

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

La Halah'a est que en dehors des trois vérifications nécessaires en début de mariage, ensuite ce n'est plus nécessaire de procéder à des vérifications, à moins que la femme ai un jour vu du sang en pleine relation, alors il faut à nouveau procéder à ces trois vérifications.

Choulh'an Arouh' chapitre 186

Kol touv!

Chalom!

Non, avec les heures que je suis tenu de passer sur le site pour apporter des réponses rapides et complètes à toutes les personnes qui m'interrogent, les cours que je donne chaque soir, et mon étude personnelle, je n'ai plus de temps pour cela.

Mais j'espère qu'un jour je trouverai le temps pour pouvoir le sortir, tout est déjà quasiment près.

En attendant, vous avez beaucoup de matière dans les cours vidéos se trouvant dans la catégorie: http://www.torahacademy.fr/purete-familiale

Kol touv et merci de vous intéresser!

Chalom!

Non, vous écoutez la Paracha comme d'habitude.

Vous vous êtes déjà acquitté de Zah'or en temps et en heure le Chabbat Zah'or.

Chabbat Chalom!

Chalom!

Oui, parce que sinon le temps de digestion va passer et vous allez perdre la bénédiction de Boré néfachot sur votre repas, à moins que vous ne buviez toutes les quelques minutes.

Bref, vous me posez ce que j'appelle dans mes cours la question de la salle de sport. C'est trop long d'expliquer cela à l'écrit, mais je ferai un jour ce cours sur le site en vidéo, et vous allez mieux comprendre.

Kol touv!

Veuillez s'il vous plait lire la réponse suivante dans laquelle vous verrez que les pieds ne sont pas considérés  comme étant une nudité.

http://www.torahacademy.fr/tsniout-des-pieds

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

D'après le Choulh'an Arouh' et la plupart des décisionnaires vous pouvez y répondre. Le fait d'avoir sur les mains du Rouah' Raa n'empêche pas de répondre. (Choulh'an Arouh' fin du chapitre 4 et au chapitre 225).

D'après la Kabbale, le Caf Hah'aïm etc. c'est interdit de mentionner le nom de D. tant que le Rouah' Raa règne sur les mains il faut donc d'abord procéder à la Nétilat Yadaïm

Kol touv!

Chalom!

Le Yéhé Chémé Rabba c'est plus encore que la rédemption finale, c'est la finalité de cette rédemption à savoir que le nom de D. soit complet et glorifié etc.

Béhatslah'a!

Chalom!

Non, il n'y a pas d'interdiction.

L'interdiction est de sortir du Beth Haknesset lorsque le Sefer Torah est ouvert.

Toutefois si vous n'avez pas encore entendu et répondu à tous les Kaddich que vous devez entendre au quotidien, il vous faut rester à la synagogue pour pouvoir y répondre!

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Les décisionnaires au chapitre 54 ont été extrêmement sévère à l'égard de celui qui ose s'interrompre entre Itchtabah' et le Yotser. Ce n'est donc que dans des cas bien précis tels que celui qui n'avait pas de Téfilin au début de la Téfila etc. qu'on peut autoriser cela, ou autres cas, comme par exemple si on entend le tonnerre à ce moment là etc.

Mais uniquement pour boire c'est interdit. Il faudrait dans un tel cas faire la Bérah'a avant le commencement de la prière (surtout pas pendant les Psouké Dézimra, parce que l'interruption alors est encore plus problématique!).

Même étudier ou dire des Téhilim à ce moment là est interdit ainsi que l'écrit le Rav Ovadia Yossefr dans Yabia Omer Tome 5 chapitre 6, ainsi que d'autres décisionnaires.

Kol touv!

Chalom!

Vous posez une question très générale.

La gémara de Chabbat (dans le premier chapitre rapporte un verset dans lequel il est écrit qu'une personne qui détourne son oreille d'écouter des propos de Torah, sa prière est objet de dégoût pour D.

Donc être attentif aux Drachot des Rabbanim, et exploiter chaque moment de libre pour écouter des cours de Torah ou étudier si vous en avez le niveau.

En dehors de cela, le H'afets H'aïm écrit que lorsque notre bouche se salit à caude de propos de médisance, calomnie, gros mots etc. ensuite cette bouche a moins d'impact lorsque des propos de prière sortent d'elle.

En dehors de cela, il est clair que chaque faute nous écarte de D. (ce n'est pas lui qui s'écarte de nous, c'est nous qui nous écartons de lui). Plus on est loin moins nos prières peuvent avoir d'impact.

On pourrait beaucoup s'allonger mais pour l'instant vous avez au moins quelques pistes de réflexion.  

Kol touv!

Chalom!

"Tsadekenou" ne veut pas dire qu'il nous juge bien mais plutot qu'il nous juge favorablement.

C'est a dire avec misericorde!

Ca change tout!

Kol touv!

Chalom!

Non c'est interdit, parce qu'en dehors du fait que vous contribuez à ce dérangement et que vous cautionnez ce que ces personnes font, vous êtes aussi en tort du fait que l'une des raisons pour lesquelles c'est interdit de passer devant une personne qui prie est parce que la Chéh'ina se trouve face à elle!

Ce n'est donc pas parce que certaines personnes méprisent cette Chéh'ina (sans mauvaise intention bien sûr) que vous devez le faire vous aussi!

Kol touv! 

Chalom Ouvrah'a!

C'est l'objet de tout un chapitre dans le Choulh'an Arouh' Yoré Déa.

En un mot, c'est interdit de dire Chalom à celui qui porte le deuil de ses parents pendant 12 mois depuis l'enterrement.

Lorsqu'il s'agit du décès d'autres proches ce n'est interdit que pendant 30 jours.

Dire Bonjour c'est à dire sans se servir du terme Chalom, certains autorisent.

Dire "Layla Tov" ou bonne nuit c'est autorisé.

Dire Mazal Tov ou Réfoua Chéléma c'est autorisé.

La raison en est qu'on sait très bien que l'endeuillé n'est pas en Chalom durant ces 12 mois alors à quoi bon lui dire Chalom.

Kol touv!

Chalom!

Obligée? Non.

Toutefois c'est bien qu'elle le fasse dans la mesure du possible et en particulier s'il n'y a pas d'autres frères qui s'y rendent.

Kol touv!

Chalom!

Avez vous préciser à l'oral que vous alliez donné ou uniquement dans votre coeur?

Veuillez s'il vous plait lire la réponse suivante dans laquelle vous verrez que les pieds ne sont pas considérés  comme étant une nudité.

http://www.torahacademy.fr/tsniout-des-pieds

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a! 

Un cours urgentissime vous attend à ce sujet:

http://www.espacetorah.com/video_type/est-il-permis-de-parler-de-medisance-entre-conjoints/

Ecoutez le attentivement!

Kol touv!

Chalom Ouvrah'a!

Je souhaite tout d'abord prendre beaucoup de gants et vous inviter tous à le faire lorsque vous parlez ou vous posez des questions au sujet des Gdolim.

En effet, à nous de nous soumettre à la Torah et non pas à eux de se plier à notre mode de pensée. 

Souvenez vous en effet de ce que H'ah'amim vont nous enseigner dans la Paracha de la semaine, Parachat Choftim, quand bien même nos H'ah'amim nous diraient de la gauche qu'elle est droite, il faudrait nous plier à eux et être convaincus que la vérité est dans leur camp.

A vrai dire vous n'êtes pas le premier à me poser cette question ni concernant ce sujet ni d'ailleurs concernant d'autres sujets dont on se serait attendu de la part des Gédolim qu'ils imposent leur pensée.

Je pense en fait, à mon très humble niveau que ces problèmes les ont bien évidemment terriblement dérangés, simplement qu'ils ont préféré ce taire lorsqu'ils savaient qu'ils ne seraient pas entendus.

Si vous souhaitez un exemple épineux. Celui de la Tsniout, des perruques provocatrices, des minijupes qui commencent à malheureusement être adoptées par de nombreuses femmes soit disant religieuses et H'arédiot, ce n'est pas faute que les Gédolim aient donné leur opinion, les personnes ne souhaitant pas écouter n'ont malheureusement pas écouté, et ils constituent un nombre énorme malheureusement. 

Or, il est écrit dans les enseignements de nos maîtres que de la même façon qu'il y a une Mitsva à dire les remontrances qui seront écoutées, de la même façon il est recommandé d'éviter de dire des remontrances qui ne le seront pas, et c'est à mon avis dans ce sens qu'ils préfèrent se taire au sujet de ces problèmes.

Le fait que ces établissement soient sous leur égide ne les engagent malheureusement pas forcément. J'ai connu un cas similaire où le Rav Elyachiv en personne aurait téléphoné au directeur d'un séminaire en demandant qu'il accepte telle élève Séfarades, et le directeur ne l'a pas fait. C'est vous dire que malheureusement il n'y a pas partout suffisamment de crainte de D.

En dehors de cela, ce n'est pas parce que les gens ne font pas de bruit que cela signifie que les Gédolim ne se mêlent pas de ces problèmes. Généralement les Gédolim sont très discrets et effacés, ils ne font pas de bruit. Ceux qui font du bruit sont les personnes qui sont intéressées pour tout types de raison à faire mousser l'affaire. Si pour une raison ou pour une autre ces personnes ne sont pas intéressées à faire mousser ces sujets, ceux ci restent une simple discussion téléphonique entre le Rav et les directeurs ou directrices de ces établissements.

Kol touv!

Chalom!

Non, avec les heures que je suis tenu de passer sur le site pour apporter des réponses rapides et complètes à toutes les personnes qui m'interrogent, les cours que je donne chaque soir, et mon étude personnelle, je n'ai plus de temps pour cela.

Mais j'espère qu'un jour je trouverai le temps pour pouvoir le sortir, tout est déjà quasiment près.

En attendant, vous avez beaucoup de matière dans les cours vidéos se trouvant dans la catégorie: http://www.torahacademy.fr/purete-familiale

Kol touv et merci de vous intéresser!

Le Ben ICh H'aï l'interdit même en jour ordinaire.

Cf aussi: http://www.torahacademy.fr/plusieur-questions-sur-shabbat

Kol touv!

Chalom!

La première raison de vous réjouir est que il y a un terroriste de moins sur terre. Malheureusement c'est une goutte dans la mer, mais c'est peut être quelques juifs de moins qui pourraient être assassinés.

Je ne pense d'autre part pas que le concept de Tinok Chénichba puisse retirer le libre arbitre. Un Tinok Chénichba qui n'observerait pas Chabbat ne rendrait pas le vin avec lequel il serait rentré en contact, Yayn Nesseh', mais de là penser que s'il commet des crimes, il n'est pas condamnable?? 

Il y a des limites à ce que l'on peut accepter par faute d'apprentissage. 

Voilà ce que j'en pense!

יכרתו כל אויבנו וכל מבקשי רעתנו אמן

Chalom Ouvrah'a!

Ca fait longtemps que j'ai pas eu le plaisir de vous lire.

Juste deux points:

1- Je ne sais pas si c'est vrai que le H'ida a écrit cela.

2- Je ne suis pas convaincu que être Mah'mir c'est Din et que être indulgent c'est être h'essed.

Béhatslah'a!