OURIEL+g

Chalom !

Il faut veiller à ce que le four soit à peu près propre et se servir de deux Kissouyim (l'envelopper doublement).

Pour comprendre cela veuillez regarder le cours suivant : http://www.torahacademy.fr/la-cacherout-du-micro-ondes

Kol touv !

Chalom 

S'il n'y a pas de possibilité de es acheter ensuite et que vous en avez vraiment besoin, c'est autorisé. Portez les après Ticha Béav. 

A moins que ce soit des vêtements qui ne vous procurent pas de grande joie et que vous soyez Séfarade. 

SI vous êtes Achkénaze interdit de porter des vêtements fraîchement nettoyés a fortiori s'ils sont neufs.

Kol touv!

Chalom !

Depuis ce soir c'est autorisé cette année à écouter de la musique de la même façon que toutes les lois du deuil sont levées depuis ce soir pour les Séfaradim.

Pour les Achkénazes il reste l'interdiction de consommer de la viande jusqu'à demain matin.

Kol touv !

Chalom!

Bien sûr, ce n'est pas de sa faute s'il est décédé en Nissan. Nous avons donc la Mitsva de l'accompagner et de lui accorder tout l'honneur qui lui revient etc.

Béssorot tovot!

Chalom!

C'est presque impossible de vous répondre à cette longue question par écrit et sans pouvoir vous montrer de photo explicative.

Méh'ila.

Chabbat Chalom!

Chalom!

1- Sur les 100 euros. Puisque ce sont ses revenus. Les 50 euros qu'il a emprunté il s'en ai déjà servi.

2- Oui, tant que au moins la moitié de la Méguila est écrit correctement elle reste Cacher a posteriori (pas a priori). Mais c'est a condition que le début et la fin soient bien écrits et qu'il ne manque pas tout un épisode de la Méguila.

On est acquitté de la lecture mais à condition que le mot manquant ait été dit oralement même d'une Méguila non Cacher. 

Je vous cite le Choul'han Aroukh au chapitre 690 § 2

ג. צריך לקרותה כולה ומתוך הכתב ואם קראה על פה לא יצא וצריך שתהא כתובה כולה לפניו לכתחלה אבל בדיעבד אם השמיט הסופר באמצעה תיבות אפילו עד חציה וקראם הקורא על פה יצא:

הגה: אבל אם השמיט תחלתה או סופה אפילו מיעוטה לא יצא (ר''ן). ואפילו באמצעה דוקא דלא השמיט ענין שלם (בית יוסף בשם אורחות חיים):

Kol touv!

Chalom !

Oui, les décisionnaires stipulent qu'il est même permis le jour du 9 Av de dire Mazal Tov au père ou à la mère du bébé (Salmat 'Haïm Yoré Déa chap. 622, Halikhot Chlomo (chap. 15 note 67, Choné Halakhot chap. 554 note 22). 

Si la raison pour laquelle vous lui donnez ce cadeau durant ces jours ci c'est parce que c'est ces jours ci que le bébé est né ou que c'est ce jour ci que vous les rencontrez, il n'y a aucun problème. C'est dans ce sens que j'ai l'habitude de trancher, et j'ai ensuite vu que c'est dans ce sens que va le Rav 'Haïm Kanyevsky chlita (rapporté dans le Choné Halakhot chap. 551 § 28, contrairement à d'autres opinions rapportées là bas qui l'interdise).  

Le jour même du 9 Av c'est tout de même à éviter s'il vous est possible de leur donner le cadeau après. 

Kol touv !

Chalom !

Je ne comprend pas, il sort de chez lui quand il fait déjà nuit ?

Expliquez moi un peu plus le contexte pour que je puisse répondre.

Kol touv ! 

Chalom !

Qu'est ce que vous entendez par garçons des hommes Bar mitsvah ? Si oui, c'est bon !

Cf. http://www.torahacademy.fr/brachot-meguila-pour-femmes

Kol touv et Pourim Saméa'h !!

Chalom Ouvrakha !

A vrai dire je ne m’étais jamais posé cette question ! Elle est excellente !

A vrai dire dans certains Sidourim (Sidour Ich Matslia’h etc. etc.) la version est « je m’engage à jeûner demain jusqu’à la sortie des étoiles ».

Selon cette version on économise votre problème, c’est-à-dire qu’une fois les étoiles sorties vous êtes autorisé à manger. On économise d’autre part un autre problème. En effet, selon la Halakha tout jeûne qui ne se termine pas à la sortie des étoiles n’est pas un jeûne. Or, si vous vous engager à jeûner jusqu’à la fin de Arvit et que vous priez Arvit alors qu’il fait encore jour, il s’avère que votre jeûne n’est qu’un jeûne incomplet.

Pour en revenir à votre question, il est vrai que le ‘Hidda ainsi que le Ban Ich ‘Haï recommandent la version que vous avez citée. La question que vous posez est pertinente, serez vous autorisé à manger avant Arvit ou pas alors que la phrase que vous avez citée indique que vous n’en avez pas le droit.

Le Or Letsion (tome 3) indique explicitement qu’on peut manger après la sortie des étoiles. Toutefois ce n’est pas une preuve parce qu’il se peut qu’il traite du cas où l’on récite l’autre version.

Son élève le Ner Tsion s’interroge dans son livre sur Tou Bichvat et ne répond pas à la question.

A notre humble avis il semble évident que lorsque vous récitez cette phrase votre intention n’est pas de jeûner jusqu’à Arvit mais jusqu’à ce que la Halakha détermine comme étant la fin du jeûne.

Or, selon la Halakha le jeûne se termine à la sortie des étoiles. De plus, il semble évident que lorsque l’on dit la prière de Arvit on n’a pas l’intention de dire que soi même on aura déjà prié Arvit, on a l’intention de dire à l’heure à laquelle généralement on peut prier Arvit. La raison pour laquelle on mentionne Arvit c’est à notre avis pour une raison très simple.

Généralement il est interdit de consommer un repas fixe avant d’avoir prié Arvit. Donc puisqu’à l’issue d’un jeûne on mange généralement beaucoup, on fait d’abord Arvit, mais si pour une raison ou une autre vous avez une autorisation à manger avant Arvit parce que par exemple vous désignez quelqu’un qui vous rappellera de prier en Mynian etc. ce sera autorisé de manger bien que vous avez récité cette phrase.

J’ai constaté que c’est dans ce sens qu’a été le Adérét Tiférét (tome 4 chap. 33).

Kol touv !

Chaolom Ouvrah'a!

Il vaut mieux attendre Motsei Chabbat alors que vous êtes en Mynian, bien habillé etc. Comme on est en été il n'y a pas lieu de craindre que la lune soit recouverte Samedi soir et les autres soirs qui suivront.

Béhatslah'a!

Chalom!

Si le pain était au début du pain et qu'ensuite vous l'avez mis au four jusqu'à ce qu'il devienne croustillant, sa bénédiction en change pas, cela reste Hamotsi.

Si vous l'avez depuis le début alors qu'il était encore sous forme de pâte introduit dans le four dans l'intention qu'il devienne biscotte, sa bénédiction devaient Mézonot. Choulh'an Arouh' Chap. 168.

Cf aussi: http://www.torahacademy.fr/benediction-de-la-pizza

Kol touv!

Chalom Ouvrakha!

Le Choulh'an Aroukh écrit que lorsque l'on aperçoit la méditerranée, il faut réciter la bénédiction "Chéaassa Et Hayam Hagadol". (Choulh'an Aroukh Chap. 228 § 1).

Toutefois certains décisionnaires tels que le Michna Béroura réfutent cette opinion et considèrent que cette bénédiction spécifique à la "Grande mer" ne concerne que la grande mer à savoir l'océan atlantique mais par la méditerranée. Selon eux, la bénédiction à réciter sur la méditerranée est la même que la bénédicyion que l'on récite sur les autres mers à savoir "Ossé Maassé Béréchit".

En pratique de nombreux décisionnaires ont tranché dans le sens du Choulh'an Aroukh et en particulier les décisonnaires Séfarades (H'idda, Rav Ovadia H'azon Ovadia Tou Bichvat Page 469, Betsel Hah'okhma etc.).

De nombreux Achkénazes se reposent sur l'opinion du Michna Béroura rapportée plus haut.

En tout acs quelle que soit la bénédiction que l'on récite on est acquitté. 

Au sujet de la mer morte, les décisionnaires affirment en se reposant sur des enseignements de H'azal qui affirment que cette mer n'était au départ pas une mer, elle l'est devenue après la création du monde. On ne peut donc pas réciter la bénédiction de Ossé Maassé Béréchit qui est une bénédiction propre à ce qui a été créé par D. depuis la création du monde et pas qui s'est créé par la suite. 

Telle est l'opinion du Rav Oyerbakh (Halikhot Chlomo Téfila page 287), Rav Wozner Zatsal (Chévét Halévy (Tome 9 Chap. 47)), Rav Cheinberg Zatsal (Vézoth Habérakha page 155). 

Le conseil du Rav Ovadia est de penser à cette bénédiction dans son coeur. 

Béhatslah'a!

Chalom Ouvrakha !

Les décisionnaires nous font remarquer que d'une façon générale le tabac qui est vendu et qui est destiné à être aspiré par le nez est en lui même inodore voire porteur d'une odeur légèrement désagréable. 

La bonne odeur que vous sentez (menthe, fraise etc.) provient d'un parfum qui a été ajouté et qui est souvent chimique et purement synthétique. 

Il va sans dire que sur le tabac même il n'y a aucune raison de réciter une quelconque Brakha. La question sera s'il est possible de réciter la Brakha sur ce tabac compte tenu du fait que finalement après l'addition du parfum il a une odeur agréable. 

Précisons d'abord que si le parfum est bel et bien synthétique ce n'est pas du tout évident que l'on puisse réciter une Brakha dessus, même s'il est encore en état de parfum et qu'il n'a été mélangé à rien. 

Cf: http://www.torahacademy.fr/benediction-lorsque-l-on-met-un-parfum

Mais même s'il s'agit de vrai parfum naturel, les décisionnaires stipulent de ne pas réciter de Brakha. 

En effet, il existe un concept dans la Halakha qui s'appelle "Réa'h Chééin Bo Ikar", c'est à dire une odeur qui est certes perceptible mais qui n'a pas de véritable "support". Prenons l'exemple d'un vêtement qui a séché près d'un champs de fleurs et qui s'est imprégné de cette bonne odeur. Sur le vêtement lui même, il n'y a ni fleurs ni rien de très concret qui soit à l'origine de cette odeur. On ne récitera pas de Brakha.

Il en va de même au sujet de ce parfum qui se serait complètement séché et évaporé, ne laissant dans le tabac qu'une odeur. (Echel Avraham chap. 217). 

Si le tabac lui même est porteur d'une bonne odeur odoriférante sans avoir ajouté un quelconque parfum, il est évident que l'on récitera une Brakha sur son agréable odeur. 

 Béhatsla'ha !

Chalom !

Qu'est ce que vous entendez par garçons des hommes Bar mitsvah ? Si oui, c'est bon !

Cf. http://www.torahacademy.fr/brachot-meguila-pour-femmes

Kol touv et Pourim Saméa'h !!

Chalom!

La Kavana principale nécessaire pour Mitsvot Tsrikhot Kavana c'est celle de s'acquitter de la Mitsva. C'est à dire que vous avez l'intention de lire la Kriat Chéma pour vous acquitter de cette Mitsva. 

Cf aussi http://www.torahacademy.fr/peut-on-s-acquitter-d-une-mitsva-si-on-n-a-pas-d-intention cours dans lequel j'explique tout cela. 

En dehors de cette Kavana c'est important de recevoir sur soi le joug Divin, et essayer de comprendre les mots que l'on récite.

Béhatslah'a et Hannoucca Saméah'!

Chalom !

Oui c'est possible, mais il ets clair qu'a priori on s'efforce surtout pour les jours de Roch Hachana et de Kippour de nommer un Chalia'h Tsibour érudit en Torah etc. comme il est écrit dans le Choul'han Aroukh au chap. 581.

Béhatsla'ha !

Chalom!

Bien sûr, ce n'est pas de sa faute s'il est décédé en Nissan. Nous avons donc la Mitsva de l'accompagner et de lui accorder tout l'honneur qui lui revient etc.

Béssorot tovot!

Chalom!

Non, elle ne revêt aucun caractère de sainteté. Vous pouvez simplement la mettre dans un sac plastique opaque à la poubelle.

Si des versets de Torah sont inscrits ou brodés dessus, il faut les découper et les mettre à la Guéniza.

Kol touv!

Chalom!

1- Sur les 100 euros. Puisque ce sont ses revenus. Les 50 euros qu'il a emprunté il s'en ai déjà servi.

2- Oui, tant que au moins la moitié de la Méguila est écrit correctement elle reste Cacher a posteriori (pas a priori). Mais c'est a condition que le début et la fin soient bien écrits et qu'il ne manque pas tout un épisode de la Méguila.

On est acquitté de la lecture mais à condition que le mot manquant ait été dit oralement même d'une Méguila non Cacher. 

Je vous cite le Choul'han Aroukh au chapitre 690 § 2

ג. צריך לקרותה כולה ומתוך הכתב ואם קראה על פה לא יצא וצריך שתהא כתובה כולה לפניו לכתחלה אבל בדיעבד אם השמיט הסופר באמצעה תיבות אפילו עד חציה וקראם הקורא על פה יצא:

הגה: אבל אם השמיט תחלתה או סופה אפילו מיעוטה לא יצא (ר''ן). ואפילו באמצעה דוקא דלא השמיט ענין שלם (בית יוסף בשם אורחות חיים):

Kol touv!

Chalom!

Veuillez écouter le cours suivant à partir de 5min20 http://www.torahacademy.fr/lois-de-zeh-er-lemah-atsit-hachekel

On rapporte les différentes coutumes à ce sujet.

Kol touv!

Chalom Ouvrakha !

Si on est certain qu'il y a du Chaatnez c'est l'objet d'une grande discussion entre nos Maîtres (cf. Dérékh Emouna Cilaïm chapitre 10 § 75).

Si vous n'êtes pas certain que la veste contient du Chaatnez et que vous n'avez qu'un dout à ce sujet, c'est autorisé de l'essayer en ayant l'intention de ne pas en profiter. Cf. Yabia Omer (tome 6 Yoré Déa chap. 27), Chout Kol Ména'hel (Kaliv) chap. 499.

Kol touv !

Chalom!

Non, elle ne revêt aucun caractère de sainteté. Vous pouvez simplement la mettre dans un sac plastique opaque à la poubelle.

Si des versets de Torah sont inscrits ou brodés dessus, il faut les découper et les mettre à la Guéniza.

Kol touv!

Chalom!

Oui si vous avez l'objet en main c'est la meilleure façon de le rendre.

Sinon, remboursez la somme.

En grande surface, remettez le en place. Si vous tenez au courant que vous avez volé ça peut faire du H'illoul Hachem, alors essayez de rendre sans qu'ils ne aperçoivent.

Kol touv!

Chalom

Si c'est nécessaire sans aucun problème.

Si c'est juste pour le plaisir que vous souhaitez changer et que cela vous procure de la joie, attendez après le 9 Av.

Kol touv!

Chalom Ouvrakha !

A vrai dire je ne m’étais jamais posé cette question ! Elle est excellente !

A vrai dire dans certains Sidourim (Sidour Ich Matslia’h etc. etc.) la version est « je m’engage à jeûner demain jusqu’à la sortie des étoiles ».

Selon cette version on économise votre problème, c’est-à-dire qu’une fois les étoiles sorties vous êtes autorisé à manger. On économise d’autre part un autre problème. En effet, selon la Halakha tout jeûne qui ne se termine pas à la sortie des étoiles n’est pas un jeûne. Or, si vous vous engager à jeûner jusqu’à la fin de Arvit et que vous priez Arvit alors qu’il fait encore jour, il s’avère que votre jeûne n’est qu’un jeûne incomplet.

Pour en revenir à votre question, il est vrai que le ‘Hidda ainsi que le Ban Ich ‘Haï recommandent la version que vous avez citée. La question que vous posez est pertinente, serez vous autorisé à manger avant Arvit ou pas alors que la phrase que vous avez citée indique que vous n’en avez pas le droit.

Le Or Letsion (tome 3) indique explicitement qu’on peut manger après la sortie des étoiles. Toutefois ce n’est pas une preuve parce qu’il se peut qu’il traite du cas où l’on récite l’autre version.

Son élève le Ner Tsion s’interroge dans son livre sur Tou Bichvat et ne répond pas à la question.

A notre humble avis il semble évident que lorsque vous récitez cette phrase votre intention n’est pas de jeûner jusqu’à Arvit mais jusqu’à ce que la Halakha détermine comme étant la fin du jeûne.

Or, selon la Halakha le jeûne se termine à la sortie des étoiles. De plus, il semble évident que lorsque l’on dit la prière de Arvit on n’a pas l’intention de dire que soi même on aura déjà prié Arvit, on a l’intention de dire à l’heure à laquelle généralement on peut prier Arvit. La raison pour laquelle on mentionne Arvit c’est à notre avis pour une raison très simple.

Généralement il est interdit de consommer un repas fixe avant d’avoir prié Arvit. Donc puisqu’à l’issue d’un jeûne on mange généralement beaucoup, on fait d’abord Arvit, mais si pour une raison ou une autre vous avez une autorisation à manger avant Arvit parce que par exemple vous désignez quelqu’un qui vous rappellera de prier en Mynian etc. ce sera autorisé de manger bien que vous avez récité cette phrase.

J’ai constaté que c’est dans ce sens qu’a été le Adérét Tiférét (tome 4 chap. 33).

Kol touv !

Chalom !

Depuis ce soir c'est autorisé cette année à écouter de la musique de la même façon que toutes les lois du deuil sont levées depuis ce soir pour les Séfaradim.

Pour les Achkénazes il reste l'interdiction de consommer de la viande jusqu'à demain matin.

Kol touv !

Chalom !

C'est une fille certes, mais c'est une juive surtout !

Vouys avez le devoir si vous pensez qu'elle vous écoutera de lui demander de ne pas faire de Lachon Hara. 

Si vous savez que vous risquez d'avooir de mauvaises pensées ou que vous savez qu'elle est une fille non décente etc. il est évident que vous ne devez pas vous metttre en danger spirituel pour l'écarter à elle d'un interdit.

PS : c'est généralement difficile de juger qu'une personne parle de Lachon Hara lorsqu'on ne la connait pas et qu'on n'entend que des parties de phrases. 

EN effet, il se peut que ce soit du Lachon Hara Létoélét ou tout autre type d'autorisation comme par exemple s la personne dont elle parle est une mécréante etc. etc.

Béhatsla'ha !

Chalom!

Oui si vous avez l'objet en main c'est la meilleure façon de le rendre.

Sinon, remboursez la somme.

En grande surface, remettez le en place. Si vous tenez au courant que vous avez volé ça peut faire du H'illoul Hachem, alors essayez de rendre sans qu'ils ne aperçoivent.

Kol touv!

Chalom !

Si votre père vous remet cette somme en vous précisant qu'elle est réservée exclusivement pour rembourser cette dette, vous n'êtes pas tenu d'en prélever le Maasser.

Kol touv ! 

Chalom !

Vous auriez pu passer hier par une autre porte et en passant le ticket ou c'était la seule porte qu'il y avait ?

Kol touv !

Chalom Ouvrakha !

Selon la Halakha, le prix auquel vous pouvez le revenndre ne dépend pas du prix auquel vous l'avez acheté. Ceci dépend du prix sur le marché.

Vous devez le vendre au prix du marché pour le même produit, qui est vendu dans les mêmes conditions que vous le vendez. 

Si vous êtes vendeur d'une épicerie vous ferez votre moyenne par rapport aux prix des épiceries, si vous êtes vendeur dans un grand magasin, c'est par rapport aux prix dans les grands magasins que vous ferez votre moyenne.

Vous avez le droit jusquà 1 sixième de plus maximum que le prix moyen, et si vous pouvez le vendre au prix moyen c'est le mieux. 

Je vous donne des règles générales parce que votre question a été posée de façon générale. Si vous précisez plus votre question, je pourrai vous donner une réponse un peu plus circonstanciée.

Béhatsla'ha et Ktiva Vé'hatima Tova !

Chalom!

Non, elle ne revêt aucun caractère de sainteté. Vous pouvez simplement la mettre dans un sac plastique opaque à la poubelle.

Si des versets de Torah sont inscrits ou brodés dessus, il faut les découper et les mettre à la Guéniza.

Kol touv!

Chalom!

Je ne pense pas qu'il ait été traduit.

Qu'entendez vous par partager ce livre en vidéo?

Sachez que je le cite souvent (peut être pas suffisamment) dans mes cours vidéos qui se trouvent sur le site. Beaucoup de ma Hachkafa est imprégnée de ses saints propos.

Kol touv!

Ce n'est pas honnête et pas droit.

De quoi s'agit-il quels examens et pour quelles écoles et tricher de quelle façon etc.? 

J'ai besoin de plus d'informations pour vous donner une réponse précise. D'une façon générale ce n'est pas autorisé, mais s'il y a une bonne raison dites la moi. 

Kol touv!